Quand arrive la belle saison, la nature émergeant d’une période prolongée de dormance, devient l’archétype d’une oeuvre qui se matérialise différemment d’une année à l’autre, dans une splendeur sans égal.
En plus d’être un régal pour nos sens, elle est invitation pour chacun de nous à réaliser ce potentiel intégré dans notre essence dont la quintessence ne demande qu’à se déployer. La liberté d’y répondre affirmativement est nôtre.
L’autre option est de faire taire ce doux murmure et quand les vacances seront terminées, se replonger dans la routine, sur le pilote automatique.
Ce faisant, un grand vide aux couleurs de l’amertume et de la désolation sera régulièrement présent, même au travers la performance quotidienne caractérisée par ce que l’on nomme « la réussite ».
C’est le rappel d’un rendez-vous manqué.