Paradoxalement, elle donne un grand pouvoir aux autres en leur accordant une emprise sur soi. Ceux qui l'exercent auront beau fanfaronnés qu'ils ont eu " le gros bout du bâton" comme le dit l'expression, mais ce n'est qu'une impression. Ils se trompent royalement.
Se mettre en colère, c'est avoir peur des autres au point de vouloir les contrôler. C'est d'être très peu connecté à soi, en ne réglant pas au fur et à mesure ce qui ne va pas. Les personnes colériques deviennent ainsi, des bombes à retardement.
Quand tout devient plus calme, elles s'en veulent de leurs interventions ou bien, elles rationalisent se donnant une explication logique, acceptable, morale à leur attitude continuant de se cacher ainsi leur vérité.
Ainsi, les personnes colériques cherchent à justifier leurs réactions avec des appuis moraux. Intellectualiser la situation dans le but est de montrer et de se faire croire qu'elles maîtrisent la situation sans tenir compte de leurs véritables ressentis ainsi elles ne font pas face aux décisions à prendre afin de changer la situation.
Céder à la colère est un moyen tout aussi dévastateur pour soi que pour les autres.
Mardi: Le corps parle un langage qui nous est parfois difficile d'entendre