Dans mon travail de coach de vie et d'hypnothérapeute, j'entends souvent les attentes des clients qui sont à l'affût de la recette miracle. "Trop occupés" pour mettre en place de nouvelles stratégies, soient ce qui sous-tend aux comportements qu'ils veulent changer.
Comme s'ils avaient un jour contracté un virus et cherchent l'antidote. Non, nos comportements, attitudes, états d'âme ne sont pas le fruit d'un brutal "bogue". Par ricochet, le changement devra susciter une implication plus ou moins longue, c'est selon. Selon quoi?
Selon, le rythme des personnes, leur attachement à cette image qu'elles ont véhiculée pendant des années, leurs croyances, leur envie (ce qui ne résiste pas à l'effort) ou leur volonté réelle de changer, leur détermination, etc.
Trop de personnes ont tendance à oublier qu'elles contribuent aux modes de fonctionnement qu'elles manifestent.
Donc, pour développer de nouvelles compétences, la répétition de divers éléments est nécessaire. Tout changement n'est pas si long à mettre en place par ailleurs, ça prend une réelle implication et de la constance pour en vivre les résultats.
La vie est ainsi faite qu'ils auront à faire face à des situations similaires ( les anciennes) comme si, la vie voulait tester leur volonté de changement et les aider à pratiquer leurs nouveaux comportements. Cependant, certaines personnes se laissent entraîner dans leurs anciens modes de fonctionnement oubliant du coup, ce qu'elles sont à intégrer et leur "volonté" de changement.
De ce fait, ces personnes se laissent tomber. Non qu'elles ne seraient pas capables d'agir différemment, mais elles "choisissent la facilité", soit leurs anciens comportements. Facilité qui à plus long terme viendra avec un lourd tribut.
Chaque expérience nous permet de nous découvrir au plus profond de nous-mêmes. Rien n'est anodin, bien au contraire.
Si l'on se donnait un peu plus de temps et que l'on s'aimait suffisamment, on pourrait apprendre à mettre de la lumière au lieu d'épaissir cette "obscurité" dans laquelle on patauge.
Illuminer cette "obscurité" permet de découvrir de précieux trésors qui jusqu'ici nous étaient inconnus.
Mercredi: Doit-on tenir compte des blessures émotives liées au passé?
Comme s'ils avaient un jour contracté un virus et cherchent l'antidote. Non, nos comportements, attitudes, états d'âme ne sont pas le fruit d'un brutal "bogue". Par ricochet, le changement devra susciter une implication plus ou moins longue, c'est selon. Selon quoi?
Selon, le rythme des personnes, leur attachement à cette image qu'elles ont véhiculée pendant des années, leurs croyances, leur envie (ce qui ne résiste pas à l'effort) ou leur volonté réelle de changer, leur détermination, etc.
Trop de personnes ont tendance à oublier qu'elles contribuent aux modes de fonctionnement qu'elles manifestent.
Donc, pour développer de nouvelles compétences, la répétition de divers éléments est nécessaire. Tout changement n'est pas si long à mettre en place par ailleurs, ça prend une réelle implication et de la constance pour en vivre les résultats.
La vie est ainsi faite qu'ils auront à faire face à des situations similaires ( les anciennes) comme si, la vie voulait tester leur volonté de changement et les aider à pratiquer leurs nouveaux comportements. Cependant, certaines personnes se laissent entraîner dans leurs anciens modes de fonctionnement oubliant du coup, ce qu'elles sont à intégrer et leur "volonté" de changement.
De ce fait, ces personnes se laissent tomber. Non qu'elles ne seraient pas capables d'agir différemment, mais elles "choisissent la facilité", soit leurs anciens comportements. Facilité qui à plus long terme viendra avec un lourd tribut.
Chaque expérience nous permet de nous découvrir au plus profond de nous-mêmes. Rien n'est anodin, bien au contraire.
Si l'on se donnait un peu plus de temps et que l'on s'aimait suffisamment, on pourrait apprendre à mettre de la lumière au lieu d'épaissir cette "obscurité" dans laquelle on patauge.
Illuminer cette "obscurité" permet de découvrir de précieux trésors qui jusqu'ici nous étaient inconnus.
Mercredi: Doit-on tenir compte des blessures émotives liées au passé?
Flux RSS
