En octobre 2014, ma très chère amie depuis plus de 30 ans, m'apprenait qu'elle était atteinte d’alzheimer, le diagnostic était tombé.
Ce ne fut pas une surprise pour moi. L'on se voit au resto pour déjeuner que quelques fois par an dû à mon manque de disponibilité. Cependant, on se parle régulièrement au téléphone. J'avais pu constater lors de nos échanges ses absences, répétitions et quelques étrangetés.
Cependant, quand elle a été diagnostiquée avoir l'alzheimer, c'est tout un choc. Elle était effondrée et c'est facile à comprendre.
Par ailleurs, ceux et celles qui suivent mes écrits ont sans doute perçu que pour moi, un humain est un être unique et que tout en tenant compte des traitements prescrits par la médecine, je suis convaincue qu' il ne faut pas s'enfermer dans les pronostics qu'on donne face à telle ou telle autre maladie. Ceux-ci une fois énoncés, précipitent souvent les personnes atteintes de maladies dans l'aboutissement présumé, issu de ces fameuses prédictions ravageuses.
Donc, tout en l'accompagnant dans sa détresse, la réconfortant de mon mieux, je lui ai proposé que l'on passe une journée ensemble. J'avais une idée à lui soumettre qui à mon sens pouvait être très aidante. Elle a acquiescé et nous avons rapidement décidé du moment de ladite rencontre.
Mardi: Le bâton de pouvoir et l’alzheimer 2e de 4