Pour toutes sortes de raisons, ceci n’étant pas là, ces personnes tenteront de se faire reconnaître comme de belles personnes puisqu’elles éprouvent un manque viscéral à ce niveau. Ce qui les amène à vivre sous influence des uns et des autres soit, par crainte ou soumission, cherchant toujours une validation.
Elles se scruteront, se critiqueront, se culpabiliseront jusqu’à ce qu’elles fassent une démarche afin de se reconnaître comme une personne de qualité et auront intégrées qu’elles sont dignes d’amour.
Ceci n’étant pas fait, au moindre événement ou elles auront dépassé ou cru dépasser les bornes par un comportement ou des paroles moins souhaitables, elles se taperont sur la tête. Ça fera mal en dedans, très mal. Avec un peu de temps, le quotidien reprendra sa place jusqu’à la prochaine incartade.
Le manque de sécurité face à leur personne engendre une peur dont résulte la culpabilité. Ces personnes sont dans le vide et cherche ailleurs une reconnaissance, une confirmation…qui ne pourra pourtant pas réellement les sécuriser.
Nous en conviendrons, dire que l’on est humain et qu’un humain est un être parfaitement imparfait, c’est tout à fait vrai. De là, à l’assimiler quand la culpabilité se manifeste, c’est une autre histoire. Ça demande un travail de fond qui cependant est faisable.
Demain : La nécessité, mère de tous les courages