Au travers nos expériences actuelles se manifestent souvent la peur de perdre ainsi que différentes autres craintes.
D'où viennent donc celles-ci? Voici quelques fragments de réponse.
Quand nous n'avons pas pris le temps de revisiter nos expériences douloureuses antérieures afin d'en saisir les apprentissages et faire la paix avec celles-ci, les vestiges qui y sont associés se manifesteront à nouveau, au présent.
Prenons pour exemple, une relation amoureuse qui s'est conclue par beaucoup de peine, des sentiments d'abandon et de trahison.
Pour se protéger, la personne blessée mettra tout sur le dos de celle qui est partie d'une façon brutale. Ce faisant, quand elle aura un nouveau partenaire, elle va l'épier, décortiquer, prêter des intentions à ses moindres paroles, faits et gestes par peur que se reproduise le vécu de la précédente relation ou elle refusera de s'investir dans une nouvelle relation par peur de souffrir.
Pourtant, prendre en considération son sentiment d'être blessée, accepter l'issue de la relation douloureuse, tout en réévaluant ses propres comportements, son implication, etc. l'aiderait. Parce que forcément, outre ses ressentis cette personne qui a été laissée a contribué à ladite relation en ne voulant pas voir, en refusant de se dire, etc.
Une relation a toujours deux bouts. Elle ai eu une participation face à ce qu'elle a vécu. Qu'elle en soit ou pas lucide, cette personne aura altéré aussi, sa perception, en ce qui a trait à sa capacité de développer une relation saine.
Ce qui ne veut pas dire que l'autre a agi avec respect. Cependant quand on est blessé si on ne fait pas l'autopsie de la situation , que l'on refuse d'admettre notre participation, on dit non aux "fruits de l'expérience".
C'est à partir de ces constats que la personne peut justement améliorer son mode de fonctionnement. En faire abstraction, la fait souffrir plus que de raison, engendre des peurs et des craintes hypothéquant ainsi son devenir.
La relation amoureuse est un exemple parmi tant d'autres. Nous sommes impliqués et participons à ce qui nous fait souffrir. Ayons le courage de prendre conscience de nos propres comportements afin d'en changer. Ainsi, nous vivrons le coeur léger et sans peur puisque nous nous ferons davantage confiance.
Lundi: Nous avons notre mot à dire
D'où viennent donc celles-ci? Voici quelques fragments de réponse.
Quand nous n'avons pas pris le temps de revisiter nos expériences douloureuses antérieures afin d'en saisir les apprentissages et faire la paix avec celles-ci, les vestiges qui y sont associés se manifesteront à nouveau, au présent.
Prenons pour exemple, une relation amoureuse qui s'est conclue par beaucoup de peine, des sentiments d'abandon et de trahison.
Pour se protéger, la personne blessée mettra tout sur le dos de celle qui est partie d'une façon brutale. Ce faisant, quand elle aura un nouveau partenaire, elle va l'épier, décortiquer, prêter des intentions à ses moindres paroles, faits et gestes par peur que se reproduise le vécu de la précédente relation ou elle refusera de s'investir dans une nouvelle relation par peur de souffrir.
Pourtant, prendre en considération son sentiment d'être blessée, accepter l'issue de la relation douloureuse, tout en réévaluant ses propres comportements, son implication, etc. l'aiderait. Parce que forcément, outre ses ressentis cette personne qui a été laissée a contribué à ladite relation en ne voulant pas voir, en refusant de se dire, etc.
Une relation a toujours deux bouts. Elle ai eu une participation face à ce qu'elle a vécu. Qu'elle en soit ou pas lucide, cette personne aura altéré aussi, sa perception, en ce qui a trait à sa capacité de développer une relation saine.
Ce qui ne veut pas dire que l'autre a agi avec respect. Cependant quand on est blessé si on ne fait pas l'autopsie de la situation , que l'on refuse d'admettre notre participation, on dit non aux "fruits de l'expérience".
C'est à partir de ces constats que la personne peut justement améliorer son mode de fonctionnement. En faire abstraction, la fait souffrir plus que de raison, engendre des peurs et des craintes hypothéquant ainsi son devenir.
La relation amoureuse est un exemple parmi tant d'autres. Nous sommes impliqués et participons à ce qui nous fait souffrir. Ayons le courage de prendre conscience de nos propres comportements afin d'en changer. Ainsi, nous vivrons le coeur léger et sans peur puisque nous nous ferons davantage confiance.
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