Le calme permet de ressentir la connexion à cette Grande Sagesse qui nous habite. C’est dans le calme que l’on s’y connecte, nourrit cette relation qui nous fait nous sentir être, éclairé et confiant.
L’absence de calme ouvre la porte à l’affolement, aux décisions impulsives, à l’anxiété, au sentiment de vide et plus encore.
Être en lien avec cette Source qui nous habite est crucial. C’est ce qui nous permet de donner libre cours à notre unicité, de façonner ce « je en devenir ». C’est un « je »bien senti qui va vers les autres. Si l’on ne se connaît pas, l’on vit en fonction d’une image préfabriquée. Qui suis-je? Qui va vers les autres?
On doit d’abord être quelqu’un pour soi avant d’être quelqu’un pour les autres faute de quoi nous sommes quiconque, nous ne sommes personne.
« N’être personne, pour personne, constitue une des plus grandes souffrances qui soit. » Theresa de Calcutta