Même quand nous sommes adultes, c’est tentant de leur faire porter notre « mal de vivre ». Ah si j’avais …
On oublie trop souvent qu’eux aussi ont eu des manques dans leur jeunesse. On oublie aussi que lorsque l’on est adulte, c’est maintenant à nous que revient la responsabilité de nous donner des moyens pour améliorer ce qui a besoin de l’être, guérir ce qui crie si fort en nous.
On oublie aussi qu’un jour, nous serons peut-être parent et que si nous ne nous occupons pas de notre « qui je suis en devenir » là maintenant, nous répèterons les mêmes égarements. Sans doute qu’il y aura quelques variantes, mais à notre tour, nous ne saurons pas comment aimer, valoriser, entendre...