Ceux-ci nous accompagnent et teintent nos perceptions à notre insue.
À titre d’exemple, prenons un chien, un p’tit animal de compagnie.
Certaines personnes auront automatiquement la perception du côté fou du chien, au fait qu’il aura tendance à gruger certains meubles, qu’il faudra le sortir tous les jours. D’autres y verront un compagnon qui est là, le soir en entrant à la maison ainsi la solitude devient moins présente. Un autre y verra une opportunité de rencontrer des gens en allant dans les parcs à chiens. Pour quelqu’un qui a une allergie, avoir un chien c’est nuisible, c’est à fuir. D’autres y verront un gardien ou encore un jappeux qui dérange les passants. Pourtant, on parle d’un chien.
Imaginer maintenant toutes sortes d’autres croyances telles la vie est dur; travailler c’est de l’esclavage; l’engagement, c’est de s’attacher; si je n’ai pas d’enfant, j’ne suis pas une vraie femme; les femmes sont inférieures aux hommes; j’suis poche; réussir c’est réservé qu’à une classe de la société, etc.
Quand vous avez l’impression de tourner en rond, de ne pas vous donner le droit de rêver; de n’être pas en mesure d’atteindre vos objectifs, de vous autosaboter. Réfléchissez à ce qu’il y a en toile de fond de vos actions ou inactions.
Quelles sont vos croyances à propos de ce que vous vivez ou voulez vivre sans oser? Sont-elles un frein à ce
qui est important pour vous? La personne de qui vous avez appris ces croyances, est-elle une référence valable? Que vous en coûte-t’il de rester accrocher à ces croyances au niveau relationnel, émotionnel, affectif, monétaire, santé, etc.?
Une fois identifiée, remplacez-les. Construisez-vous de nouvelles références. Soyez vigilants, comme si vous aviez un aimant et captez tout ce qui renforcera ces nouvelles croyances. Vous pouvez choisir votre vie au lieu de vous laisser dominer, soyez-en assurés.
« Nous sommes le produit de notre passé, mais, à moins que nous ne le choisissions, nous n’en sommes pas les victimes. » William Glasser