Participer à la vie, ne peut se faire que par un mouvement d’échange mutuel.
Non pas, qu’il nous faille nous promener avec un livre de comptes cachés, se disant : « je lui ai donné ceci, il me doit cela ». Ni être la personne qui se fond dans l’autre n’ayant aucun désir, comme si elle n’existait pas.
Bien des habitudes érodent l’élan de vie qui pour être viable en est un, d’échange participatif.
La vie qui s’épanouit le fait dans le mouvement, la contribution de chacun en y mettant du coeur. Ne soyons pas de ceux qui captent, prennent, exigent comme si tout leur était
dû.