Notre corps n'est pas conçu pour gérer les turbulences persistantes. Lors de ces périodes, de par sa programmation notre système de survie, impose ce qui lui apparaît pertinent. C'est comme s'il se disait: "Vaut mieux imputer cette charge à une partie du système avec toutes les conséquences inhérentes que de mettre en péril le corps en entier".
Ce qui est recherché, c'est que l'on passe à l'action pour améliorer ladite situation afin de rétablir la fluidité de notre flux énergétique. Les médicaments ne peuvent remplir cette commande, ils vont agir seulement en masquant les symptômes. Le soulagement est donc insidieux.
Les malaises et maladies sont généralement un appel à rectifier. Souvent, nous faisons abstraction de valeurs qui nous sont chères en acceptant des situations abusives. Ça nous semble plus simple de courir se faire donner une prescription.
Le mot valeur vient du latin valere qui signifie: être en bonne santé, se sentir bien, valoir, être fort.
Quand la santé nous fait défaut. Une introspection pourrait permettre d'identifier ce qui engendre le déséquilibre. Restera à régler la situation afin de retrouver joie de vivre et santé. Souvenons-nous que notre corps a une intelligence et une grande sensibilité. Il "entend" quand nous sommes imprégnés de peurs, sommes angoissés, coincés, etc. Dans sa grande sagesse, il cherche un exutoire à toute cette pression psychoaffective, c'est la programmation de notre système de survie.
Les solutions potentielles que nous envisageons quand nous sommes tourmentés ne sont jamais idéales. Impératif pourtant d'avoir le courage de nous y ouvrir.
Mardi: Rétablir l'équilibre, une question de survie (2e de 2)