Ce qui se refoule en moi se réfugie dans l'ombre et aura des conséquences négatives sur moi et mes comportements, c'est incontournable.
De là, l'importance de ne pas s'arrêter à l'événement extérieur qui a provoqué notre réaction. Aussitôt, que les choses se passent et que nous nous sentons déstabilisés, il serait opportun de se demander: Qu'est-ce qui est touché en moi quand...ou qu'est-ce que ce comportement de l'autre réveille en moi... comment ses propos me font me sentir, etc.?
Une fois identifié, c'est à notre partie adulte d'accueillir ce qui vient d'être perçu. D'accompagner cette blessure, la rassurer, la réconforter et réorienter notre perception.
Pour ce faire, il est parfois utile d'asseoir cette partie blessée sur une chaise en face de soi ou la personnifier au travers un toutou, une poupée ou simplement la mettre dans notre main face à nous et la faire verbaliser et ce, sans raisonner la situation.
Autant que dans la vie, si quelqu'un vient de se blesser physiquement et qu'il a une plaie ouverte, vite vous allez nettoyer, désinfecter, soigner la blessure. J'espère que vous vous y emploierez au lieu de vous mettre à questionner les circonstances. Il en est de même pour les parties blessées non visibles à l'oeil que l'on porte. Le processus de guérison d'abord après si on en ressent l'utilité, on peut se questionner sur les circonstances.
Demain: Un exemple du processus pour aller vers la guérison