Diane Beauregard, coach de vie, auteure et conférencière
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Déclaration des droits de l’homme et de la femme à l’amour

14/2/2013

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Te rencontrer sans te réduire

Te désirer sans te posséder

T’aimer sans t’envahir

Te dire sans me trahir

Te garder sans te dévorer

T’agrandir sans te perdre

T’accompagner sans te guider
Et être ainsi moi-même au plus secret de toi.
  
(Texte de Jacques Salomé extrait de son livre Les Paroles d’Amour)

 À chacun et chacune de vous je souhaite une belle journée d’amour.

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Le seul trésor qui vaille d’être trouvé, c’est un but dans la vie.

13/2/2013

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Cette réflexion de Robert Louis Stevenson, écrivain écossais né en 1850 est toujours d’actualité. Fascinant de voir que déjà à cette époque il y avait des réflexions en ce sens.

Combien de personnes sont en quête d’un bonheur durable et croient qu’il faut pour cela atteindre des sommets, avoir une promotion, etc. Alors que la réalité est tellement plus simple et peut se résumer ainsi :  ayez un projet de vie qui vous convienne.

Vivre sans avoir de raison d’être, sans projet, sans rêve équivaut à se sentir perdu.

S’impliquer dans un but que l’on nourrit, donne le sentiment d’être efficace et augmente notre confiance pour ce qui est à vivre et à venir.

Les objectifs balisent notre vie, leur donnent un sens. Ce faisant, nous passerions plus de temps à nous y investir que de s’avachir devant le p’tit écran.

Quand arrivent des situations critiques, nos objectifs nous supportent. Ils gardent notre concentration et diluent automatiquement les inquiétudes liées aux situations problématiques. En effet, notre mental est mobilisé par ce que l’on
poursuit.
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Notre machine à idées

12/2/2013

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Ah! celle-là, on peut dire qu’elle nous en fait voir de toutes les couleurs, lesquelles sont souvent plus sombres que lumineuses. 

Quand je veux que ma vie soit harmonieuse, j’ai intérêt à employer efficacement ma pensée en ce sens. Chacun est responsable de son mental et de l’orientation qu’il lui donne. 

Accorder de l’attention aux idées qui rétrécissent la vie, ouvre la porte au déchirement, à la peur, à la souffrance et tire la personne vers le bas. L’humeur s’assombrit et la personne perd de plus en plus, son élan de vie, jusqu’à devenir apathique.

L’univers recèle de possibilités. Les limites que l’on vit sont celles dans lesquelles on s’enferme de par les scénarios que l’on se crée. Moins la personne se perçoit comme digne d’être heureuse, plus son scénario de vie sera chaotique.

Fixer son attention sur des idées néfastes, crée un environnement du même style. Chacun est donc invité à créer du merveilleux en pensant à la beauté, au mystère de la vie et au privilège qui nous est donné, d’y participer.
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Les dépendances… voie de substitution à l’évolution

11/2/2013

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Pour que notre vie ait un sens, il nous faut être à la barre de celle-ci tout en sachant que plein d’impondérables se présenteront sans y être invités. Nous devrons au fur et à mesure, réévaluer et parfois donner une direction différente à nos projets. 

Ne pas admettre ce phénomène, c’est s’entêter, croyant avoir le pouvoir de domination. Beaucoup l’ont essayé et bien d’autres le feront, et ce, sans succès. La vie est une grande aventure, ne l’oublions pas.

À nous de développer notre capacité à se mouvoir au travers ces imprévus tout en développant différentes stratégies pour ce faire. C’est le point de départ afin de changer notre regard sur la vie, y réitérer notre confiance et y collaborer.

Opposer une fin de non-recevoir à ce qui est, c’est ouvrir le chemin aux dépendances
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Quelle valeur, je donne à mon travail? (2 de 2)

8/2/2013

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J’en reviens à mon numéro 1.  Ces gens qui travaillent pour l’argent sont généralement sujets à l’épuisement et la morosité. La vie leur semble sans saveur. Ils sont en attente d’un quelque chose d’autre pour pouvoir goûter bon la vie.  Ils sont comme robotisés et enclins aux artifices croyants ainsi apportés de la vie… à la vie. 

Voyons le numéro 2. Ces gens ne sont pas nécessairement heureux, car ils sont continuellement en compétition. Ils font ce qu’ils font pour acquérir plus de pouvoir, de dignité, de promotion. Ils sont obnubilés par ce qu’ils recherchent. Ce faisant, ils oublient que la vie ne se résume pas à vouloir acquérir plus de ceci et de cela, mais celle-ci, nous invite à développer une qualité de relation et de considération pour les autres et de s’y impliquer. 

Sans cet aspect, le travail devient capteur d’attention, inhibant toutes autres activités valorisantes et relations enrichissantes.  En fin de compte, ces personnes ne prennent pas plaisir à parcourir leur chemin, car elles ne visent que la destination. Bien que très occupé à régler ceci et cela, à vouloir réussir, atteindre et dépasser les « quotas », les objectifs ou les autres,  leur passage sur terre ne laissera probablement pas grand souvenirs réchauffant le cœur de leurs proches.

Voyons le numéro 3. Bien que conscient que la vie a ses exigences, pour ces gens le travail est indissociable de leur vie. Ils y voient une façon de contribuer, de magnifier ce qui est, tant pour eux que pour les autres. Ils se sentent reconnaissants, solidaires et impliqués. 

Contrairement à ce qu’à priori on aurait tendance à penser, ce n’est pas le genre de travail qui permet de ressentir cet apport, mais bien l’idée que l’on s’en fait, la valeur que l’on y attribue. 

Parfois, des gens me disent : « Tu es bien chanceuse d’être thérapeute, toi tu peux aider les autres » et je m’empresse de répondre que si les éboueurs faisaient la grève, ils manqueraient davantage à la population qu’une thérapeute. 

Servir avec le sourire, bien accomplir nos engagements,  choisir de dire « présents » à ce qui est, devenir conscients que le service fait partie intégrante de la vie et ce, peu importe ce que l’on fait, aide à bien particulariser notre apport. 

Comme quoi… « Dès que l’on donne sens à ce que l’on perçoit, on ne le perçoit plus de la même façon ».


  

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Quelle valeur, je donne à mon travail? (1 de 2)

7/2/2013

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Des études démontrent que les gens considèrent leur travail selon 3 points de vue. 

1)     Un mal nécessaire qui leur permet de gagner leur vie.

2)     Un outil leur permettant de gravir des échelons et d’accéder à du plus… plus… plus.

3)     Une vocation, une participation, une contribution.

Ça ne vous rappelle pas cette fable du casseur de pierres? 

« Charles Péguy va en pèlerinage à Chartres.

Il voit un type fatigué, suant, qui casse des cailloux. Il s’approche de lui: «Qu’est-ce que vous faites, monsieur? – vous voyez bien, je casse les cailloux, c’est dur, j’ai mal au dos, j’ai soif, j’ai chaud. Je fais un sous métier, je suis un sous-homme.»

Il continue et voit plus loin un autre homme qui casse les cailloux; lui n’a pas l’air mal. «Monsieur, qu’est-ce que vous faites? – Eh bien, je gagne ma vie. Je casse des cailloux, je n’ai pas trouvé d’autre métier pour nourrir ma famille, je suis bien content d’avoir celui-là.»

Péguy poursuit son chemin et s’approche d’un troisième casseur de cailloux, souriant, et dont le visage irradie de bonheur. Il sourit et regarde avec plaisir les éclats de pierre. « Que faites-vous? » demande Charles Péguy. « Moi, monsieur répond l’homme, je bâtis une cathédrale! »

Le fait est le même, l’attribution du sens au fait est totalement différente. Et cette attribution du sens vient de l’interprétation donnée qui est en lien avec notre propre histoire.

Quand on a une cathédrale dans la tête, on ne casse pas les cailloux de la même manière ».
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Le pardon

6/2/2013

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La difficulté au pardon est très présente. Certains actes ont été commis provoquant de la honte, des agressions physiques et émotionnelles, des coupures drastiques, etc.

Et pourtant…

« S’agripper à la haine, c’est comme empoigner un charbon ardent pour le jeter sur quelqu’un d’autre : c’est vous qui vous brûlez ».        Bouddha

Nourrir la blessure subit engendre la colère, le mépris, l’anxiété, les névroses. De plus, celle-ci est constamment réactivée. Elle fait encore plus souffrir.

Le pardon permet de poursuivre son chemin de façon allégée et donne à l’offensé la possibilité de s’ouvrir à un futur sans hypothèque. 
 
Faut bien se l’avouer, même sans le vouloir nous les humains pouvons et blessons les autres. 

Quand nous vivons des difficultés, nous souhaitons avoir de l’aide afin de mieux les traverser. Si nous tombons dans un trou de bouette, nous serions reconnaissants que quelqu’un nous tende la main afin de nous aider à en sortir. Pourquoi ne pas appliquer le même principe à un autre être humain qui a erré.

Le pardon libère. C’est un acte de générosité de coeur.  C’est comme de tendre la main afin que l’offenseur ne reste pas lui non plus emprisonné dans l’outrage commis. C’est lui permettre de retrouver sa dignité.

Il est vrai que le pardon n’est pas facile. C’est à chacun de sonder dans son cœur ce qui l’y aiderait.
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« Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.»

5/2/2013

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Cette affirmation de Nietzche est très probable si... 

Épreuves, pertes, maladies, etc. viennent nous surprendre et nous déstabiliser. Elles arrivent comme des pilleurs menaçant la relative tranquillité d’esprit que chacun tente de se construire.

Impossible de faire la sourde oreille, c’est gros et ça brasse.

Comme il y a toujours 2 côtés à une médaille, la contrepartie en est pour la personne touchée, la découverte de capacités insoupçonnées permettant d’aller de l’avant en composant avec ce qui est là. Parfois, de faire des changements qui étaient sans cesse repoussés. De développer une philosophie de vie plus approfondie. De prendre conscience de cette profusion présente quotidiennement qui est souvent prise pour acquis. De connaître qu’elles sont les personnes les plus significatives, les plus sincères avec lesquelles nous tissons des liens, etc.

Pour en retirer de tels bénéfices : il s’agit de rester actif, de bien s’entourer, d’accueillir et gérer nos émotions, de garder une attitude pragmatique, de mettre l’emphase sur un « meilleur » à considérer, ce qui permet de s’élever au-dessus de la situation de crise tout en la traversant, un pas à la fois sans s’y perdre. 

À nous de choisir, la vie nous tend les bras même en situation de grands bouleversements. Quand nous nous y refusons, c’est la dénaturation dans la perception de ce qui est à venir qui nous attend avec tous les côtés néfastes qui y sont liés. 
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 Les brouilles dans les relations de couple 

4/2/2013

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S’aimer est une chose, prendre soin d’une relation en est une autre. À titre d’exemple, c’est tout à fait normal d’avoir des points de vue divergents au travers notre quotidien. Après tout, on n’est pas la copie conforme de notre partenaire. 
 
Tellement de fausses croyances sont toujours actuelles telles que : quand on s’aime, on devrait toujours être sur la même longueur d'onde ou on se comprend sans se parler, que l’on n’apprend pas à communiquer efficacement. 

Savoir exprimer un désaccord sans accusation sans sarcasme est un art qui s’apprend, ainsi que d’éviter de mépriser ou rabaisser l’autre. Reconnaître que l’on a aussi des améliorations que nous pouvons apporter dans une situation au lieu de rendre l’autre responsable de tous les maux et s’en aller bouder dans son coin, incapable d’entendre les demandes de l’autre. 

Voici quelques suggestions afin de dénouer un désaccord : l’humour est un moyen de désamorcer les situations délicates, lesquelles se doivent d’être partagées afin de trouver des éléments de solutions. Allez vers l’autre tendrement au lieu de se camper dans un mutisme. Devenir conscient que l’autre veut tellement que la relation s’épanouisse c’est pourquoi il(elle) nous fait assez confiance puisqu’il(elle) ose se dire. Voilà de belles preuves d’amour au lieu de se replier sur soi et regarder la relation dépérir. 

Songeons à cette réflexion de W. Shakespeare : « Ce qui n’est pas exprimé reste dans le cœur et peut le faire éclater »  et j’ajouterais, ainsi que la relation que nous tentons de construire.  
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Les rencontres amoureuses

1/2/2013

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Comment  peut-on admirer et aimer l’autre en recherchant à son contact, un reflet de soi?

Quand une personne fait une rencontre, on l’entendra souvent dire… « On est pareil, on pense pareil, on a les mêmes goûts, etc. » Bien sûr, il est important de partager des points d’intérêt. Par ailleurs, être pareils, c’est à mon sens réducteur.

Souvent, les personnes se sentent tellement pas confiantes que de rencontrer quelqu’un de semblable les conforte. Inconsciemment, elles se sécurisent en pensant : « J’suis pas si mal…l’autre est comme moi ». Il y a là, un piège.

Chacun de nous avons avantage à réaliser notre unicité et être conscient que nous avons beaucoup à offrir ce qui aurait pour effet de dissiper cette recherche « du même ».  Un couple s’apporte par les différences de chacun des partenaires, ainsi se construit une relation inimitable qui portera les couleurs de l’un et de l’autre.

Il est donc souhaitable d’acquérir une meilleure estime de soi laquelle favorisera des rapports amoureux ou l’autonomie affective permettra d’aimer et se sentir digne d’être aimé.
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    Auteure

    Diane Beauregard
    26 ans d'expérience. Consultation en naturopathie, relation d'aide, hypnothérapeute,  Coach de vie, Mp PNL

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