Dans notre société tellement accaparante par ces diverses sollicitations, la paix est un état d’esprit très recherché. 
  
Puisque l’on aspire à l’acquérir, pourquoi ne pas s’en donner les moyens?

Choisir de respirer avec la vie, consciemment, quelques fois par jour. J’inspire…j’accueille ce que la vie a pour moi. J’expire… je me propose à elle. Déjà dans ce processus, l’on installe une connexion avec ce qui est plus grand que nous et l’on reste dans l’ici et le maintenant. 
 
Occuper son mental, au lieu de le laisser nous balloter dans le passé ou le futur. Choisir une phrase qui nous parle et qui appelle à se connecter et à s’élever spirituellement. La répéter, aussitôt que le mental s’agite. 

Avec le temps, ce n’est plus lui qui jouera avec nous comme si nous étions une marionnette. Il apprendra à rester tranquille et faire équipe avec nous quand NOUS en aurons besoin. 
 
La paix s’installe quand de tout cœur, la personne fait de son mieux dans son quotidien, simplement. Quand elle agit sur quoi elle a du pouvoir. Quand elle fait confiance aux autres, convaincue qu’eux aussi, comme elle, font de leur mieux et qu’ils trouveront leur solution et leur chemin au travers les défis que la vie propose. Quand la personne apprivoise le silence et qu’elle accepte les mystères de la vie.  

Cette affirmation de Thomas Edison nous incite à se dévouer au projet que nous voulons concrétiser. 
  
À force de s’y consacrer, la créativité apporte la lumière qui nous fait avancer.  La constance envers le projet ou un problème à résoudre, c’est comme de dire à l’univers : « j’y tiens, j’y tiens vraiment » et, elle travaille avec nous. 
 
Ce faisant, tôt ou tard, on reçoit comme un cadeau l’éclairage ainsi nommé : notre pouvoir créatif. 
 
Quelques outils pour débuter ce processus : On définit l’objectif vers lequel on tend et le problème à résoudre. Quelles sont les ressources dont l’on dispose déjà? Comment pouvons-nous  innover pour atteindre cet objectif? Même ce qui nous semble à priori insurmontable a des solutions, en tout ou en partie.
 
Ce processus soutenu par une motivation sans cesse renouvelée nous permet de maintenir le rythme et de franchir chacune des étapes. 
 
Si quelque chose n’a pas fonctionné, on vient d’apprendre que ce n’est pas de cette manière que l’on y arrivera, tout simplement. Gardons la cadence.  
 
Avons-nous des croyances qui nous déstabilisent? Si oui , comment les ébranler pour les transformer? 
 
Et voilà, un processus efficace pour changer un projet en réalisation et en fierté.

Jeudi, le 18 avril je donnerai au Carrefour des femmes de St-Léonard, cet atelier. Il reste quelques places. Pour toutes les femmes intéressées, vous pouvez vous adresser à

Isabelle  Renaud
Coordonnatrice des activités
Carrefour des femmes de Saint-Léonard
8180 Collerette - local 3
Saint-Léonard, H1P 2V5
Téléphone : 514.325.4910 Fax : 514.325.4977
Courriel : [email protected]
Site Internet : www.cfsl-femmes.org

Ce n’est pas parce que l’on sait parler que l’on sait communiquer. La communication est la sève de la vie. Il nous faut maîtriser cet art afin d’enrichir nos relations au lieu de cumuler les différends.  Cet atelier vous en donnera les moyens.

Les coûts sont minimes.

Le désespoir, la désespérance vous connaissez?

Existe t’il une seule journée ou vous-même ou une connaissance ne parliez pas de ce qui va mal?
 
Il y a un effet cumulatif à sasser et ressasser ce qui a été identifié comme plate…mauvais ou carrément inacceptable.  C’est comme si ensemble on se mettait à empiler, empiler et empiler des immondices. Et après, qu’aurions-nous fait de constructif? Quelle a été notre motivation à faire ce que nous faisions? Quelles en sont les incidences? 
 
En changeant notre angle de vision, sans nier ce qui est, nous pourrions orienter notre regard, nos conversations sur qui est meilleur et constructif. À rester focalisé sur ce qui est déplorable, nous ne pouvons pas ne pas en être affectés et contribuer à le répandre. 
 
À nous de choisir, à quelle sorte de monde voulons-nous conspirer, nous associer? 

À ne pas confondre rêve et réalité. C’est merveilleux de rêver et je dirais même essentiel. Par ailleurs, le rêve ne doit pas devenir une échappatoire détournant la personne de ce à quoi elle a à faire face dans son quotidien. Attendre après, ceci ou cela, pour être heureux l’introduit dans la plus pièce la plus fréquentée de bien des maisons intérieures soit la salle d’attente. 
  
Ainsi, la personne évite de faire face à la réalité puisqu’elle l’associe à de la souffrance, de la déception et que les refusant, elle se désengage.
 
Elle est à risque de ne pas faire une juste évaluation des conséquences de ses actions puisqu’elle vit davantage dans une projection qui n’existe pas. À titre d’exemple : 
 
La relation à deux entraîne des remises en question, des ajustements de chacun des partenaires. La personne qui croit fermement que la vie à deux idéale, la vie à deux rêvée, suppose que les deux partenaires s’en vont main dans la main, se comprennent sans se parler, ont les mêmes projets, vivent au même rythme, etc. au lieu de faire face à la réalité dans sa relation de couple, d’apprendre à dialoguer, à échanger de façon constructive, à être à l’écoute, à revisiter ses propres comportements, cette personne cherchera un autre partenaire sitôt qu’elle fera face à de l’adversité, car elle croira « avoir tiré le mauvais numéro ».
 
Elle peut ainsi aller de relation en relation, cherchant « la » perle rare qui la rendra heureuse au lieu de travailler avec son partenaire à développer une relation saine, chaleureuse et heureuse.   Elle ne participera donc pas à créer, un espace de rencontre où chacun s’épanouit dans le respect de leurs différences au quotidien.  

Quelqu’un qui cherche l’harmonie et la lumière et s’implique sur la voie de la transformation en arrivera à se hisser hors du fossé dans lequel il se trouvait et poursuivre son chemin le cœur léger. 

Il  développera sa capacité d’apprendre comment surmonter les embûches et faire de meilleurs choix.

Il déploiera ses ressources, ses capacités et développera d’autres aptitudes afin de faire face aux prochains défis lorsqu’ils se présenteront. 
 
Rien n’est jamais totalement maitrisé, ni jamais fini tant et aussi longtemps que le souffle de vie nous habite.
 
Celui qui refuse ce principe, endigue son pouvoir de création.

La peine, le deuil, la tristesse, l’ennui, la grisaille, les idées noires se présentent par différentes avenues et engendrent parfois une
profonde détresse. 
  
Nous les humains avons des rêves, des projets, des idéaux qui ne vont pas nécessairement se concrétiser et parfois nous vivons très mal, le « vide » ainsi créé.

Quand cet état perdure et que des symptômes comme le manque de sommeil, la perte d’appétit, d’intérêt et autres s’installent, c’est que l’état dépressif s’amplifie pour se transformer en dépression. Laquelle est souvent en lien avec une rancoeur contre soi à la suite d’une désillusion, d’une perte, d’un manque, etc.
 
Personne n’est à l’abri d’une telle expérience.  Avec humilité, nous pouvons graduellement apprendre à faire face à ce qui nous tenaille afin de retrouver notre équilibre.
 
Comme le chante Luc de Larochelière dans… Si fragile : « On est seulement ce que l'on peut. On est rarement ce que l'on croit. Et sitot on se pense un Dieu. Sitot on recoit une croix. Et la vie est si fragile... » 

Je rencontre des personnes qui par peur des conséquences d’un changement inéluctable, restent résignées. La peur de l’action et de ses effets les enlise dans la problématique.
  
Elles regardent la situation se détériorer, en s’en plaignant, tout en espérant secrètement que ça se résorbe sans s’y impliquer. 

Dans l’fond, bien qu’étant dans des corps d’adultes, ce sont de grands enfants qui espèrent que quelqu’un arrivera avec sa baguette magique et mettra de l’ordre à leur place.  
 
Et un jour, ça craque. 

Certaines de ces personnes se replient davantage en criant à la dureté de la vie, d’autres s’enlisent dans la dépression ou autres maladies mobilisant le peu d’énergie qui leur reste. De là, elles ne portent plus leur attention sur le problème initial. Elles ont un tourment beaucoup plus grand maintenant. En fait, elles ont en laissant faire, multiplié les problèmes au lieu de s’en affranchir.  
 
Elles n’envisagent plus de se « lever debout » et régler la situation qui leur pesait tant. Elles sont occupées à autre chose. Elles se laissent couler peu à peu. La vie leur semble sans issue. Et pourtant…

Pour l'angoisse par exemple, cet état émotionnel est généré de l’intérieur. La personne en souffrant multiplie et/ou alimente les inquiétudes face à l’avenir. Les scénarios catastrophes qu’elle projette deviennent pour elle, une « réalité ».
  
Qu’est-ce qui est immédiatement touché chez la personne qui se met à angoisser? La respiration.
 
Quand elle interagit immédiatement en y apportant son attention soit en suivant son mouvement et le ralentissant graduellement. Soit en y mettant une couleur douce et bienfaisante ou un son apaisant. Il se produit immédiatement une relaxation du corps. 
 
Alors, elle a l’opportunité de conscientiser ces pensées déstabilisantes et les changer. 
 
Par ailleurs, ça ne se fera pas tout seul. La personne se doit de s’impliquer dans ce processus et développer son ouverture à la vie.  

Cette expression vous est sans doute familière.  L’humain a une tendance naturelle à « boucler ses boucles ». 

Cependant, pour les personnes qui ont développé une tendance à l’anxiété, celles-ci se questionnent davantage que la moyenne des gens puisqu’elles anticipent et interprètent beaucoup.  Ainsi, elles se donnent des réponses qui les déstabilisent et provoquent du stress ou plus encore, soit de l’anxiété. 
 
À titre d’exemple : Une personne a un rendez-vous, la personne attendue n’arrive pas. Elle peut se remettre en doute se disant qu’elle n’est pas assez intéressante ou imaginée le pire. Une autre vient de passer des examens médicaux, les résultats tardent à venir, elle va s’imaginer une grave maladie et anticiper les conséquences, etc. 
 
Si vous vous reconnaissez, pourquoi ne pas décider qu’à partir de maintenant quand vous avez un questionnement et aviez développé l’habitude de vous donner une réponse qui vous déstabilise, changez cela.  À la place, il pourrait  y avoir une partie de vous qui avec tendresse se met à rire en vous disant : « Ben voyons si maintenant on voyait ça autrement… quelle autre réponse on se donnerait. »
 
Représentez-vous cette partie comme un taquin qui veut vous apprendre avec beaucoup d’amour et d’humour, comment accepter de faire face aux situations avec plus de sérénité.



La vie sourit aux audacieux alors, osez.