Aller vers le changement implique quelques préalables. D’abord il est aidant de répondre à ce genre de questions :
 
Qu’est-ce que je veux vraiment?

En quoi ce changement sera bénéfique?

De quoi, ce changement me permettra de me défaire et qui n’est plus bon pour moi?

Quelles sont les ressources dont je dispose actuellement pour amorcer ma démarche?

Combien de temps, je me donne pour accomplir ce défi?

Est-ce que ce temps est réalisable et écologique?

Quelles en seront les étapes?

Quel sera mon premier pas et le suivant?

Comment je vais suivre et célébrer l’accomplissement de chaque étape?
 
Par la suite, il est important de sentir, se voir, de se laisser imprégner de ce changement même s’il n’est pas déjà accompli. Une solide préparation est en cours, c’est merveilleux.
 
Et puis, cette démarche se doit d’être soutenue par une motivation.

L’enfant pour croître et se développer sainement a besoin d’être accueilli, aimé, sécurisé, guidé. Il est souhaitable de lui expliquer le pourquoi quand on lui dit oui ou non, afin qu’il développe sa capacité de discernement et que plus tard, il puisse à son tour
évaluer les différentes implications en regard à ses propres décisions.
 
Quand des enfants grandissent avec des parents qui fuient leurs responsabilités, ils sont bien démunis.
 
Il m’arrive encore de recevoir des enfants qui doivent trouver leurs points d’appui à l’intérieur de leurs modestes expériences n’ayant pas de parents qui s’impliquent auprès d’eux. 
 
L’instinct de survie est très présent et comme un p’tit cours d’eau, ces enfants trouveront sans doute une issue. Dans quel affluent aboutiront-ils? Seul l’avenir le démontrera.  Par ailleurs, ils sont davantage vulnérables et risquent de reproduire les même comportements ayant eu trop tôt à assumer de trop lourdes responsabilités ou de devenir hyper responsables ce qui étouffera les enfants qu’ils auront, ce qui est guère mieux. 
 
J’ai souvent entendu cette expression : C’est naturel d’avoir des enfants…peut-être au sens de les mettre au monde mais ça l’est moins pour ce qui s’en suit. Tous les parents ne connaissent pas le sens du mot « engagement » auprès de ces petits
êtres qui ont besoin d’eux.

Si vous saviez le nombre de fois ou j’entends ce genre d’expression quand l’on me raconte  des épisodes vécus au sein de la famille, du travail ou ailleurs. J’en reste stupéfaite.  
 
On s’fou d’avoir « péter sa coche », « cracher son venin »,« lui avoir rivé l’clou », « d’avoir vidé son sac », etc. 
 
Qu’en est-il de ces relations malmenées et des personnes impliquées? L’on pourra se faire croire qu’il n’y a pas de conséquences réelles, mais attention c’est un leurre. 
 
Prenez un foulard, faites des trous dedans et par la suite portez-le fièrement. Si vous ne voyez pas qu’il est abîmé, c’est que vous poursuivez votre aveuglement.
 
Devenir un adulte mature en charge, implique de communiquer sainement, avec égard et respect. Faute de quoi, il y a dans des paroles méprisantes, une terrible bavure. 
 
Et, tant vous que l’autre en souffrirez de façon différente, c’est inéluctable.
 
Notre responsabilité personnelle en regard à nos paroles, nos actes, nos décisions se doit d’être toujours présente afin de manifester de la dignité envers autrui.  L’autre est un reflet de soi-même, un être humain qui a le droit d’être considéré et respecté comme nous.

« Toi, c’est ton talon d’Achille » si vous entendez cette expression, celle-ci suscitera sans doute plus de réflexion sachant sa provenance. 
 
D’après la légende, la déesse Thétis aspirait à ce que son fils devienne invulnérable. Elle voulait que celui-ci traverse les épreuves sans heurt. Elle demanda donc l’aide des dieux. 
 
Elle obtint écho favorable à son appel et pu plonger son fils dans le fleuve Styx. Pour ce faire, elle a dû le tenir par le talon laissant donc, une légère partie de fragilité.
 
Un jour, en allant à la guerre avec son ami, celui-ci fût tué. Achille ne put surmonter sa peine. Il éprouvait une blessure d’amour qui l’emporta. 
 
Pour moi, l’enseignement de cette légende pourrait être d’apprivoiser notre potentiel afin de faire face aux épreuves de la vie le cas échéant, au lieu de vouloir les contourner, les ignorer, leur faire fi et que personne n’est intouchable.
 
Et vous, qu’en pensez-vous?

Quand je faisais de l’accompagnement aux soins palliatifs, j’ai éprouvé tellement d’empathie pour les personnes en fin de vie et leurs familles.  Certaines confidences mettaient en lumière, des regrets, de quel ordre? En regard aux choix qui avaient été faits sans en mesurer judicieusement les impacts.
 
Voici quelques exemples qui m’ont été partagés : une dame n’avait jamais vécu un rêve de voyage à l’étranger par manque d’audace, car son entourage l’en dissuadait faisant étalage de différents spectres de peur;  un homme s’était plié aux demandes insistantes de son père qui voulait voir son fils avec un diplôme universitaire alors que celui-ci était davantage un manuel qu’un intellectuel; un homme avait cédé au désir de sa conjointe d’avoir un autre enfant alors que les responsabilités l’ont tellement dépassé, qu’il n’a pu remplir son rôle de papa en étant pleinement présent à ses trois enfants, pour lui c’était trop; une dame avait quitté son logement parce que ses enfants vivaient de l’insécurité, car elle était veuve. Elle ne s’est jamais adaptée à la vie communautaire d’un centre pour aînés. Elle avait vécu péniblement ses six dernières années.
 
Quand j’y repense, un grand questionnement m’habite à savoir : qu’est-ce qu’aimer? 
 
Est-ce que vouloir pour l’autre, c’est l’aimer vraiment? Est-ce que de renoncer à suivre cette petite voix intérieure qui nous pousse à vouloir vivre authentiquement, même si l’on risque de décevoir, c’est aimer?  
 
Comment donc honorer la vie que l’on porte? 
 
J’ai partiellement des réponses et la réflexion se continue. Ce qui me frappe dans ces partages, c’est que ces personnes avaient l’impression d’avoir vécu, du moins en partie, une vie qui ne leur ressemblait pas. 
 
Pour elles, ça n’a pas été facile de faire la paix, car s’ajoutait à leur fin de vie, un autre deuil...celui de ce qui n’avait pas été et qui aurait pu être.
 
Je crois que pour éviter les regrets et vivre pleinement, il faudrait que quand l’on fait un choix qu’on le fasse sciemment et que ce faisant, celui-ci devient notre nouvelle réalité. Je ne parle pas de résignation, je parle de choix conscient. 

Atelier d’une journée proposé- inscriptions en cours :

Durant cette journée vous apprendrez l’art de la méditation dont voici quelques bienfaits : Réduction du stress, de l’anxiété, des douleurs chroniques; Renforcement du système immunitaire; Apport d’un sommeil réparateur; Diminution des troubles émotionnels;  Améliorationde la créativité, de la mémoire et de la concentration et, encore plus.

À la rencontre de ces ÊTRES DE LUMIÈRE, vous entendrez l’appel de ce qui vous rend unique et découvrirez une fécondité nouvelle.  Le parcours de votre voie est porteur d’harmonie, de quiétude, de beauté et d’équilibre. Osez découvrir le meilleur de vous-même et le partager. 
 
ATELIER D’UNE JOURNÉE DE 9 h À 17 h

Où : 558, rang Bas-de-la-Rivière,
St-Pie  J0H 1W0

Coût : 100 $ par participant
Nombre de places limité

Pour réservation : acompte de 25 $ (non remboursable si annulation) envoyé
à : Diane Beauregard,
    558, rang Bas-de-la-Rivière,
    St-Pie J0H 1W0
 
Au programme de la journée :

-Apprendre à méditer sous différentes déclinaisons
-L’apprentissage du chemin et de ses trésors suivant les différentes portes : Est, Sud, Ouest, Nord
-Les archanges ces Êtres de lumière, leurs rôles 
-L’accueil de vos forces particulières, leur intégration, le rayonnement et le lâcher-prise  
-La prière par la respiration au carré
 
Prochaines dates :         
Dimanche 29 septembre 2013                                                                                          
Dimanche 27 octobre 2013
Dimanche 24 novembre 2013
 
AUCUN MATÉRIEL SPÉCIFIQUE REQUIS.

Chaque participant pourra à la suite de cette journée, pratiquer avec aisance, la méditation et vivre ses bienfaits.

Atelier d’une journée proposé-inscriptions en cours :

Vous aspirez à des changements, prenez votre vie en main. Libérez-vous de ces barrières qui vous limitent. Pour ce faire, l’hypnose thérapeutique… un prodigieux facilitateur.
  
Il est possible de retrouver le chemin de la santé, de transformer des comportements non désirables, d’interagir sur le stress, le manque d’énergie, etc.

Vous êtes dotés d’une sagesse intérieure laquelle participe à maximiser votre plein potentiel. En l’activant, les changements sont renversants. Les ressources incroyables qui vous habitent ne demandent qu’à vous servir. 

L’hypnose THÉRAPEUTIQUE, trace la voie en établissant le lien entre l’esprit, les émotions, le corps et cette grande sagesse dont nous sommes porteurs, ce qui en fait un prodigieux facilitateur.

ATELIER D’UNE JOURNÉE DE 9 h À 17 h

Au : 558, rang Bas-de-la-Rivière, 
       St-Pie  J0H 1W0

Coût : 100 $ par participant
 
Au programme de la journée :

- Langage d’influence de l’inconscient.
- La création d’un espace sacré d’où émerge le changement.
- Comment amplifier notre perception sensorielle.
- Technique permettant d’entrer en transe.
             
Pour réservation : acompte de 25 $ (non remboursable si annulation).                
Nombre de places limité.
 
Prochaines dates : Dimanche 22 septembre   2013
                                 Dimanche 20 octobre  2013                                                 
                                 Dimanche 17 novembre 2013
  
Chaque participant aura un bagage d’outils afin d’aller de l’avant de façon autonome.

Aussi disponible : Session d’hypnose individuelle

Une adolescente m’a posé cette question, j’ai tenté de lui imager le mieux possible. Voici l’essence de notre conversation :
 
L’amour amoureux c’est comme lorsqu’on est dans le bois, on est transis et que l’on veut se réchauffer. 
 
Nous partons à la recherche de brindilles, de petites branches, de feuilles tombées et que trouvant un espace, nous y mettons notre cueillette et l’allumons.
 
Y a déjà là quelque chose, mais qui ne réchauffe pas suffisamment. Alors, nous poursuivons notre quête et y ajoutons graduellement du bois un peu plus gros. Fiers sommes-nous de ce spectacle qui fait chaud au cœur et nous fait nous sentir tellement bien. 
 
Puis, ce doux sentiment nous donne mutuellement l’envie d’avoir un feu qui réchauffe davantage. Portés par ce bel élan, nous ajoutons encore du bois. Là, il y a quelque chose de suffisant, ça sent bon, ça goûte bon, c’est chaud confortablement. C’est là que nous décidons ou non de l’entretenir, ensemble.
 
Inutile de mettre de l’accélérant, c’est impressionnant, mais ça ne dure pas.
 
Inutile de chercher seule à entretenir le feu, tu vas te fatiguer et frustrer.
 
L’amour amoureux…c’est doux, chaud, nourrissant et ça se doit d’être préparé et entretenu à deux.
 
J’ai trouvé cette adolescente impressionnante de se questionner sur ce sujet. Bien des personnes auraient intérêt à le faire. 
 
De nos jours, avec la recherche de l’instantané bien des jeunes et des moins jeunes prennent souvent un feu de paille pour un feu d’amour.

J’ai passé ma journée d’hier au spa avec ma fille Isabelle, sa belle-maman Marcelle et ma nièce Chantal.J’ai savouré ce temps qui s’écoulait lentement et agréablement. 
 
Se partager des nouvelles, des projets, des coups de cœur, prendre soin de soi et ce, tout en douceur. Y a t’il quelque chose de plus doux et câlinant? 
 
Quand j’étais jeune, je pensais que le bonheur était issu de sorties grandioses, spéciales ou l’on fêtait. Ce genre de sorties dans lesquelles, tu planifies la robe que tu vas porter des jours à l’avance. Je me rappelle d’un temps où je donnais plein d’attention à des détails futiles en y mettant beaucoup d’importance. En revenant, nous avions bien ri, bien bu, bien fêté et à ce moment, je croyais que le bonheur c’était ça. Ça prenait parfois quelques heures à se r’mettre sur l’piton. C’est ainsi que je croyais nouer des relations de qualité. 
 
Aujourd’hui, ce que j’aime ce sont de petits moments d’échange, des sourires complices, des temps où la parole est muette. Être ensemble simplement. Ressentir ce halo d’amour que l’on se porte mutuellement. 
 
On aura beau dire, moi avancez en âge ça me va bien, ça me fait du bien. Au fil de mes expériences, j’ai réévalué, j’ai pesé, soupesé ce que je vivais. J’ai appris à reconnaître la beauté dans le vol d’un oiseau, dans la contemplation du moment qui passe, dans un sourire échangé tout simplement, dans un câlin donné avec grande tendresse, dans la reconnaissance que j’ai d’avoir la capacité à entretenir la maison, le terrain, etc.
 
Mon cœur se sent souvent entouré de la générosité de la vie et je l’apprécie tellement. Parfois je pense: Ah si jeunesse savait! 

Devenus adultes, nous reconnaissons ces manques et les blessures ainsi générées. Nous acceptons de les prendre en charge, quand nous voulons amener l’enfant blessé que nous portons dans un processus de guérison afin d’avoir accès à cette fécondité intérieure. 
 
Notre vécu et ce, peut importe sa teneur, c’est le chemin parcouru jusqu’à maintenant. Nous ne pouvons changer ce qui a été. Par ailleurs, nous avons du pouvoir sur notre maintenant et sur ce qui est à venir.
 
Pour ce faire, nous observerons ce qui a été développé comme richesse à partir de ces manques. Ce qui n’est pas négligeable. 
 
Avec ce bagage conscientisé, nous nous emploierons à devenir des personnes authentiques et aimantes plutôt que des « victimes ». Ce choix est nôtre.  Le déciderons-nous?