Les dépendances ne se trouvent pas que dans des relations affectives, des substances toxiques, le jeu, le magasinage, etc. Nous pouvons avoir développé l'habitude du malheur. Ce faisant, nous l'attirons encore et encore. Ces quelques questions peuvent vous aider à y voir clair:
Êtes-vous capable de dire non? De faire des choix éclairés et de vous y tenir?
Êtes-vous dépendants du regard et de l'approbation des autres?
Recherchez-vous sans cesse la sécurité, même si elle a la couleur de la misère, au lieu d'oser votre vie?
Êtes-vous très influençable, vous faites-vous confiance?
Vos pensées et propos sont elles majoritairement en lien avec ce qui ne va pas tant au niveau physique qu'autrement?
En situation de dépendance, des blessures et croyances refoulées mènent le bal, si je puis m'exprimer ainsi.
Quand on choisit de vivre heureux et dans le bien-être, nous devons faire ce que nous n’avons jamais osé faire avec constance - prendre le risque d'ouvrir de nouveaux chemins de vie-.
Ce qui implique, l'incertitude pour un temps, parfois même des moments angoissants . À plus long terme, nous pouvons goûter à la grandeur de la vie et nous ouvrir à toutes ses possibilités.
Je vous invite à cette réflexion de Nietzsche: "Tu dois devenir l'homme que tu es. Fais ce que toi seul peux faire. Deviens sans cesse celui que tu es, sois le maître et le sculpteur de toi-même."
Mercredi: La meilleure version de soi-même