Ce dont les humains ont tendance à faire le plus, c’est la mise au jour de ce qui ne va pas. De ce qui accroche, ce qui déplaît, ce que l’on déteste profondément, ce qui nous met en colère, etc. Et, après?
Pourtant, nous sommes des êtres inventifs. Les travaux de Rita Levi-Montalcini, prix Nobel de Médecine en 1986 ainsi que le prix Albert Lasker ont inversé la vue pessimiste qui pouvait résulter de la fatalité de la destruction de nos neurones. Ces travaux démontrent que ce n’est pas leur nombre, mais celui des terminaisons qui détermine la multiplicité des interconnections, conséquemment notre capacité à comprendre, apprendre et à inventer. Nous avons tout au long de notre existence, cette grande capacité.
Mais pour que ce potentiel générateur de changement s’exerce, encore faut-il le solliciter.
Nous avons le pouvoir d'inventer des solutions, du nouveau, exerçons-le, en nous donnant une direction en lien avec ce qui résonne en nous. Cessons de mettre l’accent sur ce qui ne va pas, mettons-le sur ce que nous voulons et agissons.