Lâcher prise, c’est accueillir ce qui est dans notre vie, en se libérant de l’interprétation que l’on s’en fait. Faute de quoi, nous devenons ce que nous suggère nos pensées, nos émotions, le mal que nous pouvons éprouver dans notre corps.
À titre d’exemple, quand nous vivons une émotion comme la colère, nous pourrions exprimer ce qui ne nous convient pas et par la suite, laisser aller. Se libérer du ressassage du mental. De ce qui nous a mis dans cet état en évitant de prêter des intentions à la personne concernée dans cet incident.
Lâcher-prise, c'est de faire ce que l'on peut et ce, peu importe de quoi on parle (évènement, maladie, etc.) sans rester obnubilé par la situation.
C’est trouver de la paix, et ce, peu importe ce que nous traversons. C’est d’être à l’écoute de nos préoccupations tout en accueillant les petites joies qui continuent de se manifester.
C’est de rendre grâce pour les bontés de la vie, car peu importe la situation il y en a toujours au lieu de rester connecté à ce qui ne va pas, de pester, d’en parler et de devenir l’acteur qui ne cesse de répéter au quotidien ce « psychodrame » comme s'il n'était que ça.