Diane Beauregard, coach de vie, auteure et conférencière
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C’EST NOËL TOUS LES JOURS…

16/12/2015

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C’est Noël chaque fois qu’on essuie une larme dans les yeux d’un enfant,                                                                                    d’une mère, d’une sœur, d’un frère, d’une amie ou d’un copain.
 
C’est Noël chaque fois qu’on dépose les armes et que l'on s’entend.
 
C’est Noël chaque fois que l’on met la misère en échec.
 
C’est Noël chaque fois que nos cœurs oubliant les offenses redeviennent fraternels.
 
C’est Noël quand soudain se taisent les mensonges faisant  place à l’authenticité.
 
C’est Noël quand se lève l’espérance d’un amour partagé.
 
C’est Noël quand l'on pose un regard rempli d’empathie sur plus vulnérable que soi.
 
C’est Noël quand l’on pardonne l’injustifiable.
 
C’est Noël quand on fait une visite sans savoir que l'on va ainsi effacer la douleur de la solitude et de la  tristesse.
 
C’est Noël parce que chaque jour, Dieu veille sur nos enfants.
 
C’est Noël à chaque fois que les gens qui sont partis au loin reviennent vers nous.
 
C’est Noël sur terre dès l'instant ou l'on ouvre notre coeur au partage et à l’amour.
 
Retravaillé à partir d'un texte d'un auteur anonyme
 
Jeudi:  Prière aux archanges

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Les deux cailloux

15/12/2015

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Dans un village, un fermier sans le sou devait rembourser une importante somme d’argent à un vieil homme très laid. Comme le fermier avait une fort jolie fille qui plaisait beaucoup au vieux prêteur, ce dernier proposa un marché. Le vieux prêteur dit qu’il effacerait la dette du fermier s’il pouvait épouser sa fille. Le fermier et sa fille furent tous deux horrifiés par cette proposition. Alors, le vieux prêteur malhonnête suggéra que le hasard détermine l’issue de la proposition.
Il leur dit qu’il mettrait un caillou blanc et un caillou noir dans un sac d’argent vide et que la fille aurait à prendre, à l’aveuglette, un des deux cailloux du sac.

1) Si elle prend le caillou noir, elle devient son épouse et la dette de son père est effacée.
2) Si elle prend le caillou blanc, elle n’a pas à l’épouser et la dette du père est également annulée.
3) Si elle refuse de prendre un caillou, son père est jeté en prison.
Cette discussion avait lieu sur le chemin devant la maison du fermier où le sol était jonché de cailloux. Tout en continuant de parler, le vieux monsieur laid se pencha pour ramasser les deux cailloux. Comme il les ramassait, la jeune fille, qui avait l’œil vif, remarqua qu’il avait ramassé deux cailloux noirs et qu’il les avait mis dans le sac. Mais elle ne dit rien.

Puis le vieux prêteur demanda à la jeune fille de saisir un caillou dans le sac.

Imaginez un instant ce que vous auriez fait si vous aviez été là. Qu’auriez-vous conseillé à la jeune fille de faire ?
Si on analyse bien, il y a trois possibilités :

1) La fille devrait refuser de saisir un caillou.
2) La fille devrait sortir les deux cailloux noirs du sac, montrant que le vieux a triché.
3) La fille devrait saisir le caillou noir et se sacrifier en épousant le vieux pour épargner l’emprisonnement à son père.

Alors, qu’auriez-vous fait ?
Bien voici ce que la jeune fille fit :

Elle mit la main dans le sac et en sortit un caillou qui s’échappa aussitôt par terre, gauchement, sans qu’on ait pu le voir, et il se confondit spontanément avec la multitude des autres cailloux sur le sol.

Ah ! Ce que je peux être maladroite, s’exclama la jeune fille. Mais qu’importe, si je sors du sac le caillou qui reste, on verra bien lequel j’avais pris en premier !

Puisque le caillou restant était noir, le premier caillou attrapé ne pouvait qu’être blanc. Et comme le vieux prêteur n’osa pas avouer sa malhonnêteté, la jeune fille transforma une situation qui semblait impossible en un dénouement fort avantageux.

La morale de cette histoire : Il existe une solution pour la plupart des problèmes complexes. Dommage qu’on ne sache pas toujours regarder les choses sous le bon angle.                                  Source inconnue

Puisse votre prochaine année être rempli de sages décisions.

 
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On ferme si souvent les yeux malgré les appels persistants

14/12/2015

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Parfois l'organisme émet des signaux. Il nous appelle à rétablir l'équilibre lorsque nous vivons des états émotionnels confus. Lesquels, nous privent de notre élan naturel afin de vivre, de belle façon, nos journées. En voici quelques exemples:

-Quand un surmenage s'installe engendrant des états dépressifs.
-Quand l'irritation nous gagne.
-Quand tout nous apparaît lourd.
-Quand nous avons des comportements impulsifs, que l'on ne se reconnaît plus, etc.
 
Dans certaines circonstances, la prise de médicament est appropriée. Cependant, si elle n'est pas accompagnée par une bonne introspection et d'un désir sincère d'identifier et redresser ce qui ne va pas dans notre vie, c'est comme de refuser à nos risques et périls, de tenir compte de la grande sagesse de notre merveilleux corps.

Il est notre allié non pas notre ennemi. Il ne nous met pas par plaisir -des bâtons dans les roues- comme le dit l'expression. Il tente d'attirer notre attention sur un déséquilibre qui s'est installé.

Notre corps est loyal, on peut compter sur lui. Alors, pourquoi ne pas le considérer comme un précieux partenaire?

Avant que notre situation se dégrade, identifions et entreprenons les changements afin d'avancer dans une attitude respectueuse et à un  meilleur rythme. Nous avons besoin de récupération, de se faire plaisir, de se ressourcer... faisons ce qui est nécessaire.

Ne pas être à l'écoute de nos besoins, c'est d'agir contre nature.

Mardi:  Les deux cailloux

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Être centré... c'est tout un défi!  

10/12/2015

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On entend souvent des mots invitant une personne  à se centrer lesquels sont associés à se calmer, s'apaiser, retrouver ses esprits. Est-ce seulement ça se centrer?
 
Une définition de Deepak Chopra, m'a semblé éclairante. Je vous la partage:
 
Être centré, c’est s’ouvrir à notre espace intérieur, être à l’écoute sans mettre de frontière. Ce qui est-est. C’est accepté de voir au-delà de nos habitudes, nos croyances. C’est être au centre de l’expérience qui est.

Être décentré, en déséquilibre, c’est refuser l’expérience.

Être centré prédispose la personne à dire un grand OUI à la vie, refusant de s'agripper à ses a priori. Faire du ménage dans ses croyances et les dépasser le cas échéant afin d'accueillir l'expérience qui se présente à elle.

Dépasser le passé, apprendre à se libérer, s'ouvrir à  l'imprévisible, même au non souhaité, et ce, SANS jugement. Accueillir l'expérience pour ce qu'elle est et la traverser sans résistances, sans réticences. L'expérience reste une expérience et ce, peu importe sa teneur. Essentiel de reconnaître et gérer les émotions ressenties, sans se laisser envahir.

C'est un défi de taille surtout dans une société comme la nôtre. Nous sommes habitués à du confort, un mode de vie appréciable. Nous ne demandons pas, nous exigeons de recevoir comme si, la vie nous devait quelque chose. Nous refusons généralement de perdre le moindre acquis. Nous demandons toujours plus. Tentons de contrôler régulièrement. Crions haut et fort "nos malheurs" , etc.

La route s'annonce longue pour pouvoir dire et vivre pleinement un réel -je suis centré-.

Lundi: On ferme si souvent les yeux malgré les appels persistants

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Un conte pour agir

9/12/2015

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"Il était une fois, un sage très érudit qui avait coutume d'écrire au bord de l'océan et de consacrer de longues heures de marche le long de la mer à de profondes réflexions et méditations. Un jour qu'il marchait près de la mer, il vit au loin une forme humaine qui avait l'air de danser. En se rapprochant, il constata que la forme humaine ne dansait pas. Elle se penchait, ramassait quelque chose et courait le jeter dans l'océan.

À portée de voix, il interpella ce qui s'avérait être un jeune homme. Que faites-vous ? Et le jeune homme de répondre : je remets des étoiles de mer dans l'océan. Comme elles ont manqué la marée descendante, elles mourront si je ne les remets pas à la mer.
Notre sage fit observer gentiment au jeune homme qu'il y avait des kilomètres de plage et que son action n'aurait aucune influence significative sur le destin de toutes ces étoiles de mer.

Après avoir écouté avec respect, le jeune homme se pencha de nouveau, saisit une étoile de mer et alla la lancer dans la mer. En revenant, il déclara à notre sage : pour celle que je viens de lancer, cela change tout.

Le jeune homme avait fait un choix. Au lieu de rester observateur du monde, il avait choisi d'en être un acteur et de changer les choses.

Le lendemain, après avoir été tourmenté par les remarques du jeune homme, le sage se leva, retrouva le jeune homme et consacra le reste de la journée à remettre des étoiles de mer dans l'océan."

Nous devons nous aussi trouver nos étoiles de mer, et si nous les remettons à l'océan avec sagesse et habileté, le 21e siècle pourra être une époque fabuleuse.

Une vision sans action demeure un rêve
Une action sans vision équivaut à passer le temps
Une vision avec action peut changer le monde
Nous pouvons aussi, changer notre monde intérieur en nous occupant de "nos étoiles de mer".

Conte de Loren EISELEY, philosophe et naturaliste en littérature

Jeudi: Qu'est-ce qu'être centré?

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Changer une alternative prometteuse 

8/12/2015

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J'entends souvent ce genre de réflexions: "J'pense que j'suis comme ma  mère, je n’arrive pas à me décider et j'me sens jamais heureuse et détendue quand j'finis par faire quelque chose".   "J'ai réellement l'air d'être comme mon père, j'ai la mèche courte et je m'emporte pour des riens".

J'attends la suite, espérant que la personne pour être fière de ce qu'elle devient dise quelque chose du genre: j'vais prendre ça en main et transformer ce que je n'apprécie pas dans ma façon de faire... Puis rien ne vient.

C'est dont bien spécial de réaliser certains aspects de notre façon d'être qui semblent dérangeants et comme si c'était notre destin, de ne rien faire concrètement pour changer.

Quand des gens disent: "J'suis comme ça, j'suis comme ça ou j'peux rien y changer", y a rien de plus faux.

De prime abord ça apparaît plus simple de se cacher derrière ce genre d'affirmation que de se mettre en action
.
Cependant, un comportement dysfonctionnel ne pourra jamais nous rendre fonctionnels dans le sens que les impairs, frustrations, déceptions, émotions négatives qui seront engendrés par ledit comportement laisseront des traces dans nos relations, notre santé et la perception que l'on a de soi.

Changer est une alternative qui demande du courage et qui peut être facilitée par de bons moyens.
 
Mercredi: Un conte pour agir

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Dans la vie, à chacun ses défis

7/12/2015

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Certaines personnes semblent vivre par procuration. C'est  intrigant de les entendre s'en faire à outrance pour leurs proches. Comme si, elles-mêmes n'avaient pas de vie.
 
Tout le monde a son propre cheminement, ses défis particuliers, ses "travers" à corriger, sa route à construire, ce qui n'est pas une mince tâche.  S'occuper de notre propre dépassement demande déjà de nous y investir pleinement, avec constance et détermination.
 
Une réflexion serait souhaitable pour ceux et celles qui se concentrent majoritairement sur la vie de leurs proches, se percevant comme bien "généreux".  Il est possible qu'il y ait davantage de prétention que de don de soi.
 
Apporter aide et soutien quand la situation le demande, c'est louable. Avoir de la compassion, se soucier des autres permet de construire une belle solidarité entre tous les humains.  Par ailleurs, prendre sur soi leurs préoccupations, les faire nôtres est-ce la bonne attitude?  
 
Avoir l'impression que l'on est irremplaçable que sans nous, leur vie serait pêle-mêle. Ce faisant, ces proches risquent de se déresponsabiliser face à leurs propres appels aux apprentissages et en venir à compter que sur les autres. Qu'on se rappelle que la ligne de l'entraide à l'intrusion est bien mince.
 
Il y a dans l'univers une loi de non-intervention qui vise à ne pas retarder l'évolution d'une personne. Si on peut apporter de l'accompagnement, du support ponctuel quand c'est demandé clairement par la personne et que c'est possible pour nous de le faire, ça ne contrevient pas à cette loi.
 
Toutefois, quand on fait nôtres leurs défis, quand on a l'impression que les solutions, le mieux-être de ces personnes passent par nous. Quand on n'en dort plus, obnubilés par ce qui leur arrive. Quand nous intervenons sans que notre aide ait été demandée, quand l'on se croit indispensable, en plus de transgresser cette loi, c'est comme de se prendre pour le PDG  (président directeur général) de l'univers.
 
Sincèrement, ce rôle n'a été attribué à aucun d'entre nous.
 
La question à se poser de manière à ce  que chacun puisse jouer son rôle harmonieusement tenant compte de l'épanouissement de sa propre singularité et celle de l'autre, pourrait être: Comment puis-je, si requis,  prendre part à la réalité de l'autre tout en demeurant moi-même perspicace quant à mon propre cheminement?
 
Mardi:  Changer une alternative prometteuse 

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La maladie, malédiction ou occasion?

3/12/2015

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On serait tenté de répondre que c'est une "malédiction", mais en y pensant davantage, on pourrait, avec beaucoup de compassion et d'humilité, considérer que c'est une occasion.
 
Occasion de reconnaître une problématique dans notre mode de vie. Voyons un peu:
 
Quand une personne pense quelque chose et fait autre chose afin de ne pas déplaire, d'être accepté.
Quand une personne éprouve un sentiment et qu'elle se bâillonne pour toutes sortes de raisons.
Quant à un moment de sa vie, elle a vécu un événement et n'a pu le gérer adéquatement, que celui-ci a besoin afin de l' aider à retrouver son équilibre qu'elle le revisite afin de se mettre en paix.
Quand une personne dépasse ses forces quotidiennement pour assouvir quelques projets sans égard à ses capacités.
Quand elle a appris à s'oublier à bien des égards et continue de le faire, comme si c'était un mode de vie.
Quand elle est à ressasser sans cesse les problèmes même ceux pour lesquels elle n'a pas de pouvoir, s’en faisant pour les uns et les autres tapissant ainsi son esprit d'inquiétudes, de peurs, de mauvais scénarios.
Quand une personne banalise tout se faisant croire qu'il n’y a rien à faire par peur d'entreprendre un changement donc vaut mieux se convaincre que tout est acceptable.
Quand elle n'arrive pas à faire ses deuils suite à différentes pertes, etc.
 
Pourquoi ne pas se demander:
-Qu'est-ce qui fait appel à moi au travers cette maladie, qui aurait besoin de mon attention, mon support, mon amour?
-Qu'est-ce qui aurait besoin d'être rééquilibré dans ma vie que je n'ai pas vu, que je n'ai pas voulu voir jusqu'à maintenant?
-Sur quoi, j'aurais besoin de lâcher prise ?
 
Serait-ce envisageable d'accueillir cette maladie comme si c'était une -opportunité de se donner un nouveau souffle-  en demandant à la partie de nous qui a créé cet appel de bien nous guider afin que nous puissions donner suite à cette requête, cette recherche d'harmonie?
 
Comment développer une relation d'ouverture et de reconnaissance avec cette partie qui a créé la maladie au lieu de vouloir la fuir ou la maudire?
 
Le pictogramme chinois pour le mot "crise" traduit à la fois un danger et une occasion. La crise provoquée par un diagnostic sévère devient une crise. La plupart d'entre nous y voient qu'un côté à la maladie soit celui du danger, de la souffrance, parfois même y associe la peur d'en mourir. Ce qui est parfois bien réel.
 
Imaginons un instant que tout en s'occupant des aspects médicaux, on l'envisage  comme si la maladie nous propose au travers des changements que nous effectuerons pour rétablir l'harmonie, une deuxième chance, un second souffle. Sans doute que notre approche serait bien différente et favoriserait cette ouverture nécessaire à reconnaître ce qui a été enfoui. Ce besoin de passer courageusement à l'action dans l'amour et la solidarité.
 
La peur de voir, d'entendre, la peur du changement, celle de passer sincèrement à l'action enferment l'humain dans un mal-être. La maladie est souvent le dernier recours que le corps a trouvé pour "hurler" son appel au respect de soi, à notre accomplissement, parfois l'ultime appel. Des signaux ont été répétés bien avant d'arriver à l'état de la maladie. Ils sont demeurés sans réponse et cette fois?
 
Lundi: Dans la vie à chacun ses défis
 

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Notre ego, se démène et nous mène  

2/12/2015

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Le conditionnement pourrait se comparer à un désespoir soumis que l'on entretient même s'il nous étouffe. Bien sûr, on le fait sans en être trop conscient. L'ego lui se démène à ne pas vouloir que l'on s'en sorte. Pour réussir, il nous met  plein d'idées en tête ainsi, il nous mène.
 
Dans bien des situations, l'ego convainc l'humain lui faisant ressentir - le rappel-  de ce genre de notions:
 
J’suis trop réservé, pas assez brillant pour parler.
Peu importe ce que je dirais, personne ne va s’en occuper.
On ne m'aime pas.
Ouvrir de vieilles blessures, ça ne donne rien.
Le passé, c'est mort et enterré.
J'ai l'habitude de vivre ce genre de situation, ça ne me fait plus rien maintenant, etc.
 
Ce que l’on refoule nous rattrape forcément. Ces inhibitions nous influencent. Ça bouillonne en dedans.
 
Comme l'on ne va pas à la racine de notre mal-être, on revivra des situations similaires. On réagira au lieu d'avoir des prises de position matures. L'ego très satisfait de notre repliement sait automatiquement qu' il nous tient en laisse.
 
Ne pas reconnaître, ni être à l’écoute de nos sentiments ne peut que nous tenir enracinés à ce "trouble intérieur"  qui  va continuer de s'aggraver et nous faire souffrir.  Néanmoins -ces rappels-, demandent  simplement que l' adulte que chacun devient soit à la barre de sa propre vie. Ils ont besoin qu'on les l' entendent, les reconnaissent, leurs rendent justice.
 
Ils souhaitent que puisque nous agissions de façon à ce que, quand une situation similaire à ce qui les a créés se présente, l'on intervienne de belle façon. Ce qui permettrait que l'on s'en sorte une fois pour toutes et vivions dans la confiance et le respect.
 
Ce qui mettrait l'ego en échec ayant de moins en moins de prise sur chacun de nous. Puisque l'adulte que chacun devient serait mature exercerait son privilège de démontrer qu'il est responsable, conscient et proactif.  Il cesserait de ce fait d'être réactif.
 
Jeudi:  La maladie, malédiction ou occasion?
 

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Le passé  n'est pas un lieu à résidence

1/12/2015

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Cheminer, accepter de vivre au présent, suivre la voie que l'on ressent comme authentique font partie des principes souhaités par la majorité de gens, du moins en paroles.
 
On oublie trop souvent que pour agir selon nos principes, on ne peut s'accrocher au passé. On le sait et pourtant...
 
Rester dans l'amertume, le non-pardon, les récriminations aux parents, à l'ancien partenaire de vie, vouloir transposer sur nos enfants les rêves que nous n'avons pas réalisés, ressasser sans cesse ceci et cela, garder un secret qui nous étouffe, etc. sont toutes des composantes liées au passé.
 
Ne pas s'en délier afin de se mettre en paix, nous empêche de dépasser le passé et de  construire un "présent renouvelé" libre de  charges émotives consécutives à nos anciennes expériences. Du nouveau, dans lequel on s'investit sans qu'il soit tapissé de la peur de ce que l'on a déjà vécu, des répétitions liées au conditionnement, etc..
 
Le passé n'est pas un lieu à résidence, il est la mémoire  proposant beaucoup d'enseignements. Comme notre "musée personnel"  rempli d'expériences de toutes sortes, de joyaux précieux tels des moments tendres, des souvenirs uniques et plus encore. Nous pouvons le visiter pour en tirer des apprentissages, guérir ce qui nous rappelle à nous,  renouer avec de merveilleux moments nous en imprégner, rendre grâce pour ceux et celles qui nous ont accompagné au travers notre parcours jusqu'à maintenant, etc., non pour s'y enraciner.
 
Chaque fois qu'on y entre, que l'on ressasse et qu'on reste accrochés, on y laisse un "tribut pour résidence" qui n'est pas monnayable en dollars, mais combien coûteux par les dommages causés tant sur notre quotidien, nos états intérieurs, notre santé et notre devenir.
 
Dommage que l'on ne doive pas le débourser en argent. Les gens deviendraient plus sensibles à cette réalité. Quand ça touche les finances, on a souvent l'attention au garde à vous et c'est pas long qu'on se réajuste.  
 
Aujourd'hui la vie nous invite à poursuivre notre route avec confiance, audace et créativité. Saurons-nous répondre à cette invitation?
 
Mercredi:  Notre ego, se démène et nous mène

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    Auteure

    Diane Beauregard
    26 ans d'expérience. Consultation en naturopathie, relation d'aide, hypnothérapeute,  Coach de vie, Mp PNL

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    L'art de vivre ici 
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