▪ La réussite est instantanément à notre portée, laissant l’impression que l’on contrôle tout, là maintenant et que les résultats potentiels sont toujours au rendez-vous.
▪ Quand on veut, on peut. En s’investissant on peut assurément beaucoup mais tout?
▪ Une vie heureuse est une vie sans « pépins ».
▪ Que ce qui nous arrive est abusif de là, le fameux POURQUOI MOI?
▪ On a que ce que l’on mérite engendrant une culpabilité énorme.
▪ Le bonheur est possible que quand tout va bien.
▪ Que la vie nous doit quelque chose (J’mérite bien ça, J’mérite pas ça).
▪ Que quand on a subi des épreuves, on est misérablement marqué pour la vie.
▪ Que le bonheur passe par l’argent, ou un bon emploi, ou être beau, etc.
▪ Qu’il n’y a pas de hasard.
▪ Que ça va finir par se placer seulement avec le temps. Il y a des guérisons spontanées.
▪ Que les expériences ne donnant pas les résultats escomptés sont un échec.
▪ Quand on est en deuil, on n’a pas le droit de vivre des moments de bonheur.
▪ Que pleurer, c’est être« moumoune », etc.
Sans doute qu’il serait utile de redéfinir certains énoncés, tout en tenant compte de cette affirmation de François Gervais :
Aucun événement ne t’appauvrit.
Chaque jour, tu deviens plus riche avec tes expériences,
même quand tu crois subir une perte importante.