♥ Aller à la rencontre de soi;
♥ Développer une vie intérieure plus riche;
♥ Cultiver notre autonomie, ne pas confondre avec l’indépendance;
♥ Acquérir l’habitude d’entrer en relation avec l’ensemble des éléments naturels qui nous entourent.
♥ Cultiver notre imaginaire et créativité;
♥ Avoir du temps pour rectifier, baliser ce qui a besoin de l’être (ex. mes choix, mes attitudes et comportements,) etc.
♥ Découvrir de nouveaux intérêts, de nouvelles capacités;
♥ Dégager de l’espace de qualité pour guérir ce qui a besoin de l’être.
Quelques désavantages possibles :
→ Occuper son temps à broyer du noir;
→ En arriver à croire que l’on n’a pas besoin de partager, d’échanger;
→ Se faire une« zone de sécurité » et devenir de plus en plus craintif de l’inconnu;
→ Se remplir de pareil. L’évolution se conscientise et se fait au contact des autres;
→ Ne plus participer collectivement à des projets risque d’amputer la personne de sa créativité et/ou de l’amener dans un repli sur elle-même, dans un enfermement;
→ S’installer dans l’apathie engendrant ainsi un manque d’énergie;
→ Provoquer des états dépressifs;
Sans le regard des autres, on ne peut développer notre discernement, car nous sommes privés d’informations précieuses. Chacun a son modèle du monde et c’est ce mélange qui nous permet d’évoluer.
La solitude nous permet une rencontre avec soi. C’est ainsi que l’on peut intégrer ce que l’on traverse. Elle nous prépare aussi, à faire des deuils. Tout au long de notre existence nous avons à nous séparer, nous détacher, la solitude apprivoisée à ce moment-là, devient un havre de paix.
Le monde de la réalité a ses propres limites; le monde de l’imagination est illimité et c’est à nous, de repousser nos propres limites
pour assume pleinement notre vie.
Dans la 3e partie, je vous donnerai quelques moyens pour ne pas transformer la solitude en isolement.