son interlocuteur.
C’est en fait de l’écoute active, faire le reflet de ce que je pense avoir entendu et demander des éclaircissements afin d’éviter la
confusion, si nécessaire.
Ainsi que, de donner le bénéfice du doute. Penser que quelqu’un a « une idée derrière la tête » quand il nous parle va obscurcir notre accueil, à son propos. Ce faisant, entre ce qui sera dit et sera entendu, il pourra s’installer une désunion basée sur des suppositions.
Comme personne réceptrice du propos, je n’ai pas à prêter des intentions à qui que ce soit. L’auteur se doit de préciser sa pensée sans sous-entendu. Si, ce qu’il a à dire n’est pas confortable, il a d’abord à se mettre au clair avec ce qu’il s’apprête à partager, le dire dans le respect et la bienveillance autant que possible et inviter l’autre à témoigner de son ressenti, par exemple :
Quand je te dis ça, qu’est-ce que tu entends-toi dans mon propos?
Et comment te sens-tu?