Qui donc est responsable de ce mental? Soi, dans le sens que l’on n’a pas de pouvoir sur ce qui arrive dans notre mental, mais sur ce que l’on fait avec.
C’est à nous de faire le tri dans toutes ces pensées qui vagabondent et tintent notre présent, lesquelles produisent différents états. Il est donc impératif d’élever nos pensées. À nous de choisir notre « cinéma intérieur » et d’apporter notre attention sur ce qui est sain et épanouissant.
Prenons l’exemple de quelqu’un en colère. Cette personne rumine ce qui fait l’objet de sa colère. Elle est repliée sur elle-même et atterrée par ce qu’elle conçoit comme inacceptable. Elle vit une gamme d’émotions. Tout y passe, colère, peine, culpabilité et plus encore. Elle n’est plus en lien avec les petites douceurs que la vie lui propose.
Si au lieu de cela, elle se place dans une attitude d’apaisement, de lâcher prise. Ce qui est passé lui a fait mal, pourquoi le retourner dans sa tête et continuer de se faire souffrir?
Soyons vigilants et exerçons notre pouvoir personnel, là où ça compte.