imaginaire, laquelle est entretenue et nourrie du cinéma que l’on se fait, à partir de celle-ci. Si ceci ou cela arrivait et oups…c’est parti.
Le mental est très productif. Des idées de toutes sortes y circulent sans qu’on les demande à priori.
La pensée pense comme les poumons respirent finalement.
Notre rôle à nous humains, si nos poumons respirent trop vite est de consciemment ralentir ce processus en
induisant mentalement des couleurs que l’on fait circuler plus lentement par exemple et ça marche. Ainsi, les poumons réapprennent à respirer plus lentement. Avec un peu de temps, tout rentre à la normale.
Il en est ainsi pour les pensées, à nous de les gérer. C'est-à-dire qu’au lieu de focaliser sur celles qui nous déstabilisent, nous stresse, nous avons à choisir où l’on met notre attention. Nous gérons ce qui se passe en nous. C’est une responsabilité très importante souvent mal connue.
Quand dans une situation, nous pouvons passer à l’action afin de dénouer ce qui nous préoccupe, faisons-le et observons-en les changements. Si pour toutes sortes de raisons, l’issue de la situation n’est pas en notre pouvoir, à quoi ça sert d’y ajouter des pensées de peur?
Tellement de tensions sont produites dans le corps à partir de ce cinéma lesquelles vont aller jusqu’à se développer en maladie. Sincèrement, changeons notre façon de faire et soyons conscients de ce sur quoi nous portons notre attention. Notre bien-être, notre qualité de vie en dépendent.