Diane Beauregard, coach de vie, auteure et conférencière
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Avoir un idéal, idéaliser…mieux en saisir la portée

31/5/2012

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C’est un avantage d’avoir un idéal en regard à notre devenir, notre façon de nous comporter en relation, etc. Celui-ci nous
permet  de se dépasser, de développer notre créativité pour y arriver. 

Par ailleurs, un idéal est aussi, un quelque chose, qui ne se réalisera pas totalement. Bien souvent, c’est comme un remarquable défi à atteindre, on y met les efforts. Lorsque celui-ci est atteint, on peut emmagasiner satisfaction, ressources et détermination qui nous y a amené tout en aspirant à une autre consécration et ce, en valorisant notre parcours.

Idéaliser peut engendrer un effet totalement contraire. Si j’idéalise une personne, un genre de relation que je veux vivre avec quelqu’un, je risque constamment d’être déçu. Pourquoi?

Parce que je vais vouloir de cette personne ou de cette relation ce quelque chose que peut-être chacun travaille à atteindre mais où il n’est pas rendu.

Par conséquent, je serai déçu. Par ailleurs, si je me fixe un idéal ou des idéaux, je saurai que ça me porte à progresser continuellement, je pourrai penser qu’il en est de même pour les autres.

Idéaliser  quelqu’un ou une relation à quelqu’un, c’est de ne pas se donner une opportunité de développer des liens solides au travers lesquels chacun partage le meilleur
  de ce qu’il est, maintenant. 


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Vouloir ce que l’on n’a pas eu, les conséquences.

30/5/2012

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L’être humain a des besoins fondamentaux que l’on peut résumer comme suit :

Être vu
Être reconnu
Être entendu
Être valorisé
Être aimé pour qui il est.
 
Dans la petite enfance, d’emblée l’enfant sera très créatif pour satisfaire ses besoins intrinsèques. Pour toutes sortes de raisons, les parents et les personnes significatives pour l’enfant ne seront pas en mesure de les combler totalement. 
 
L’enfant grandira et rivalisera d’astuces allant jusqu’à devenir rebelle afin d’attirer un genre d’attention de ces personnes.

Devenu adulte, il tentera de combler au travers ses relations, ce qu’il n’a pas eu. C’est ainsi qu’il fera le clown; s’obstinera afin que l’on reconnaisse son opinion; prendra constamment le plancher; tombera sous le charme de l’amour que lui porte un ou une partenaire lui laissant croire qu’il est tout pour lui, pour elle ; fera nombre de courbettes afin d’être aimé, etc.
 
Ce faisant, il essuiera plusieurs revers et paradoxalement ne se permettra pas d’être authentique.  Il deviendra « la marionnette » de cette recherche de besoins non comblés.
 
L’idéal serait qu’il fasse le deuil de ce qu’il n’a pas eu. Commence à se considérer, être attentif à ce qu’il vit, en prenne soin ainsi, il
serait davantage sincère et spontané en relation. Il pourrait proposer le meilleur de lui-même au lieu de mendier « les miettes qui tombent de la table ».
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Opportunité ou échec…

29/5/2012

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Beaucoup de personnes n’ayant pas obtenu les résultats escomptés dans une relation, un projet, un nouveau travail, etc. y voient un échec.

Dans le dictionnaire, on parle d’absence de réussite pour définir le mot échec.

Tentons de mettre un exemple en contexte afin de voir si, le mot échec, a bien le sens qu’on lui prête généralement : 

Une personne est très valorisée dans son travail. On met en évidence, l’obtention de résultats surprenants en regard aux projets qui lui sont confiés. On  fait appel à son expertise pour de nouveaux mandats sachant qu’ils seront menés à bien.

Cette personne est aussi conjoint (e) et parent. Elle est espérée par sa famille. Par ailleurs, son implication est de moins en moins importante dans cette sphère de sa vie. Les insuffisances se font sentir dans sa famille, de bien des façons.

Ou par exemple, dans un dernier mandat qui lui a été confié, tout est allé de travers. Comme dit l’expression : les planètes n’étaient pas alignées. Cette personne est soudainement moins valorisée, moins appréciée.

Peut-on voir dans une situation ou l’autre, un échec?

Peut-être que son peu d’implication, mal vécue par les membres de sa famille ou le manque de résultats de cette dernière expérience lui permettra de réévaluer ses priorités. De faire quelques ajustements faute de quoi, sa famille s’éloignera, apprendra à vivre sans elle. Ou bien, cette personne conscientisera qu’elle consacre à son travail la majorité de ses énergies et que peut-être s’est-elle laissé aller dans un tourbillon, sans égard aux conséquences possibles de ses performances qui l’ont graduellement subjuguée.

Qu’est-ce qu’un échec finalement? 

Si une absence de réussite permet une introspection afin de remettre de l’équilibre dans sa vie ou de valider ses choix et les assumer, ne serait-elle pas une opportunité plutôt qu’en échec? 
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Quelques nuances seraient bienvenues

28/5/2012

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La société véhicule bien des a priori, qui s'ils sont pris au premier degré auront tendance à laisser croire que l’humain n’a pas à s’investir dans ses projets: 

▪ La réussite est instantanément à notre portée, laissant l’impression que l’on contrôle tout, là maintenant et que les résultats potentiels sont toujours au rendez-vous.

▪ Quand on veut, on peut. En s’investissant on peut assurément beaucoup mais tout?
▪ Une vie heureuse est une vie sans « pépins ».
▪ Que ce qui nous arrive est abusif de là, le fameux POURQUOI MOI?
▪ On a que ce que l’on mérite engendrant une culpabilité énorme.
▪ Le bonheur est possible que quand tout va bien.
▪ Que la vie nous doit quelque chose (J’mérite bien ça, J’mérite pas ça).
▪ Que quand on a subi des épreuves, on est misérablement marqué pour la vie.
▪ Que le bonheur passe par l’argent, ou un bon emploi, ou être beau, etc.
▪ Qu’il n’y a pas de hasard. 
▪ Que ça va finir par se placer seulement avec le temps. Il y a des guérisons spontanées.
▪ Que les expériences ne donnant pas les résultats escomptés sont un échec.
 ▪ Quand on est en deuil, on n’a pas le droit de vivre des moments de bonheur.
▪ Que pleurer, c’est être« moumoune », etc.
 
Sans doute qu’il serait utile de redéfinir certains énoncés, tout en tenant compte de cette affirmation de François Gervais :

                                                          Aucun événement ne t’appauvrit.
                                        Chaque jour, tu deviens plus riche avec tes expériences,
                           même quand tu crois subir une perte importante.

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L’autonomie affective

25/5/2012

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En relation, il y a une grande importance à développer son autonomie affective. Nous sommes des êtres interconnectés. 
Ce que nous vivons a des répercussions sur les autres et inversement.

C’est ensemble que nous construisons « notre »monde. Si nous en étions conscients de cette réalité, possiblement que nous serions plus attentifs à nos comportements et leurs conséquences au lieu de rester chacun, centré sur notre petit moi et se laisser
aller au gré de nos humeurs. 

L’autonomie affective est en corrélation avec la prise en charge de ce qui nous touche, ce nous habite, ce qui se
réveille en nous.
 C’est notre responsabilité d’être suffisamment au fait de ce que vous vivons, afin de nous amener vers un courant  vers l’épanouissement, le dépassement. Prenons un exemple :

Une personne arrive dans son milieu de travail avec un air bourru et menaçant. Elle est désagréable, réplique sèchement quand on lui parle. Même si vous la connaissez peu, vous vivrez minimalement un inconfort. À plus forte raison, quand c’est quelqu’un que vous côtoyez généralement.

Quelle influence cette personne aura t’elle? Est-ce bénéfique de répandre de l’hostilité dans un milieu? Est-ce que réellement ce comportement puéril améliore quoi que ce soit?   

Une manière plus mature et respectueuse, tant pour soi et nos semblables, serait d’identifier et de gérer ce qui ne va pas. Ce faisant, cette personne n’aurait pas à déverser dans son environnement, son humeur grognonne. De plus, elle et son entourage passeraient une meilleure journée. Elle ne laisserait pas non plus un ressenti non pris en charge, qui s'endormira tôt ou tard afin de mieux demander "son dû avec intérêt2s, à un moment ou l'autre.

Face à une tache de graisse, vaut mieux l’essuyer que de l’étendre.

Il en va de même pour nos bouleversements.
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Réflexion sur la solitude (3e de 3)

24/5/2012

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Quelques moyens pour ne pas transformer la solitude en isolement :

Comme on passe par soi pour aller vers les autres

∞  Comment je me perçois moi et comment je perçois les autres? 
◘ Quelle est l’attitude des autres à mon égard? Leurs commentaires (informations)?
◘ Quelles sont mes pensées à l’égard de ma propre image?
◘ Est-ce que je m’empêche de faire quoi que ce soit, si oui pourquoi?
◘ Qu’est-ce que moi, je pense des autres? Comment je les considère?

 ∞  Quand je suis en deuil (être cher, séparation), qu’est-ce que je mets en place pour le traverser?
 ◘ Étapes : Colère, impuissance, abandon, anxiété, détresse profonde… accepter le vide laissé par l’être cher et reprendre graduellement sa vie en mains. 

∞Quand la solitude est la cause d’un rejet quelconque. 
◘ Cerner le problème et voir ce qui peut être fait…pas à pas afin de corriger ce qui est possible.
◘ Ne pas nourrir la situation, envisager davantage les « portes de sortie ».
◘ Honte d’une conduite. Relevez-vous, pardonnez-vous et…
◘ Envisager d’autres options, de nouvelles connaissances, nouveaux intérêts.
◘ Visualisez-vous entourer de personnes aimantes et vous, les aimants.
◘ Cultiver l’habitude de voir le beau, le bon et le meilleur dans chaque personne.
◘ Ajustez vos activités à vos capacités. 

« Être libre, ce n’est pas pouvoir faire ce que l’on veut, mais c’est vouloir ce que l’on peut. » Jean-Paul Sartre

Rappelez-vous, ce que nous devons exiger de soi, ce n’est pas la perfection, mais faire du progrès. 

Comme la plupart d’entre nous n’ont pas choisi une vie d’ermite, vivons là ici et maintenant dans notre monde. Apprenons à être fiers de qui nous sommes et a partagé le meilleur de nous même. 
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Réflexion sur la solitude (2e de 3)

23/5/2012

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Quelques bienfaits de la solitude accueillie : 

♥ Aller à la rencontre de soi;
♥ Développer une vie intérieure plus riche;
♥ Cultiver notre autonomie, ne pas confondre avec l’indépendance;
♥ Acquérir l’habitude d’entrer en relation avec l’ensemble des éléments naturels qui nous entourent.
♥ Cultiver notre imaginaire et créativité;
♥ Avoir du temps pour rectifier, baliser ce qui a besoin de l’être (ex. mes choix,  mes attitudes et comportements,) etc.
♥ Découvrir de nouveaux intérêts, de nouvelles capacités; 
♥ Dégager de l’espace de qualité pour guérir ce qui a besoin de l’être.

 Quelques désavantages possibles :

 → Occuper son temps à broyer du noir;
 → En arriver à croire que l’on n’a pas besoin de partager, d’échanger;
 → Se faire une« zone de sécurité » et devenir de plus en plus craintif de l’inconnu;
 → Se remplir de pareil. L’évolution se conscientise et se fait au contact des autres; 
→ Ne plus participer collectivement à des projets risque d’amputer la personne de sa créativité et/ou de l’amener dans un repli sur elle-même, dans un enfermement;
 → S’installer dans l’apathie engendrant ainsi un manque d’énergie;
 → Provoquer des états dépressifs;

Sans le regard des autres, on ne peut développer notre  discernement, car nous sommes privés d’informations précieuses. Chacun a son modèle du monde et c’est ce mélange qui nous permet d’évoluer.
 
La solitude nous permet une rencontre avec soi. C’est ainsi que l’on peut intégrer ce que l’on traverse. Elle nous prépare aussi, à faire des deuils. Tout au long de notre existence nous avons à nous séparer, nous détacher, la solitude apprivoisée à ce moment-là, devient un havre de paix.   
 
Le monde de la réalité a ses propres limites; le monde de l’imagination est illimité et c’est à nous, de repousser nos propres limites
pour assume pleinement notre vie.

Dans la 3e partie, je vous donnerai quelques moyens pour ne pas transformer la solitude en isolement. 
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Les pertes

21/5/2012

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Vivre un deuil n’est pas seulement lié au décès d’un être cher. C’est aussi, de devoir renoncer à un projet, un mode de vie, une relation, un travail, à une vision de quelque chose à venir ou qui a été et que l’on se doit de laisser aller parce que ça nous est brutalement enlevé ou que rien ne se met en place pour le concrétiser.

La douleur ressentie quand on a vécu une situation très enrichissante,  visé un certain but, eu un désir, la volonté de…etc., et que tout se ferme devant soi ou se referme, est très forte. Elle se mesure à l’intensité, la vigueur des énergies et sentiments que l’on y a consacrés.

La tentation est forte de se replier sur soi, de ne plus vouloir rien entreprendre afin de ne plus avoir mal, car la douleur occasionnée par ce renoncement involontaire est affligeante. Nous avons envie de crier à l’injustice, à l’usurpation, au détournement. C’est comme un cri du cœur, qui vient marquer ce déchirement si intense qu’il est quasi au-dessus de nos forces. 

De là, l’importance de faire un temps d’arrêt afin de permettre à sa peine de s’exprimer, d’être reconnue pour pouvoir graduellement se réconforter et se laisser ressentir à nouveau l’énergie de vie qui est toujours présente.

Un rituel est très à propos dans ces circonstances dans lequel à titre d’exemple, on peut symboliser « ce projet »  qui a été ou ne
sera pas et l’enterrer avec décorum. Juste au-dessus, un petit arbuste ou une plante pourrait être mis en terre comme pour inviter la vie à reprendre de l’expansion en nous et se manifester bellement. 

Observer notre plantation s’épanouir, nous rappellerait l’importance de ne pas se laisser tomber, car en chaque humain il y a un potentiel inestimable qui ne demande qu’à se dévoiler.

Les rituels, pourraient être dans bien des cas, plus bénéfiques que tout ce que l’on peut trouver en pharmacies.  

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Réflexion sur la solitude (1er de 3)

21/5/2012

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D’emblée, nous sommes des êtres de relation, est-ce que ça implique que nous devrions toujours être en compagnie de
quelqu’un? Certainement pas. La solitude choisie est assurément très bénéfique. D’ailleurs pour être bien avec les autres, il est primordial d’être bien avec soi.

Quelques formes :

La solitude qui pourrait être temporaire causée par des situations de maladie, pertes de capacité, mortalité, liens familiaux défaits ou déménagement, perte d’emploi, nouvel emploi, etc.

La solitude restrictive quand la personne est prise à partie par ses pairs. Elle est bafouée, rejetée, ridiculisée, jugée, violentée. Elle se tient à l’écart.

La  solitude engendrée par la personne qui se juge inintéressante ou qui entretient différentes peurs (se faire avoir, utilisée, manipulé, etc.) parce qu’elle n’a pas guéri de son passé. Elle n’a pas développé ce qui l’amènerait à se faire davantage
confiance.

 La solitude de la personne qui rejette les autres ne les trouvant pas à la hauteur, etc..

La solitude dans le sens de l’isolement choisi pour faire le point, méditer, s’intérioriser.

 La solitude provoquée par l’isolement social laquelle est très néfaste, car elle est due à des conditions répulsives pour beaucoup de nos semblables (problèmes santé mentale, handicap physique, pauvreté, analphabète, race, couleur, culture, et religion).  
 
Dans un premier temps, il est souhaitable de faire une réflexion sur quel genre de solitude je vis et pourquoi.

Est-ce que je la meuble bien? Est-ce que celle-ci est bénéfique et pourquoi?

Toute solitude que je provoque, car je ne me sens pas bien avec les autres, que j’ai peur, devrait être réévaluée. 

La solitude n’est pas un moyen de se protéger, ni de se mettre à l’abri de quoi que ce soit, ni de s’empêcher d’évoluer en
s’abstenant de faire des rencontres et des expériences de vie.

Faire de l’évitement amène tôt ou tard à vivre de l’anxiété. De plus, l’humain est un être d’expérience. Il se connaît au travers
ses interactions avec les autres et il apprend à découvrir ses semblables. S’il se cache, il ne vit pas, il survit.  

Dans la 2e partie, nous verrons les bienfaits et désavantages possibles de la solitude.

Dans la 3e partie, je vous donnerai quelques moyens pour ne pas transformer la solitude en isolement.
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« Gagner » une bataille et perdre la guerre

18/5/2012

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Le conflit étudiant dégénère de jour en jour. Les positions intransigeantes de part et d’autre ne permettent pas de mettre de
l’avant les alternatives qui pourraient dénouer ce conflit.

Les étudiants restent accrochés au refus de la hausse des frais de scolarité et le gouvernement reste fermé sur cette notion.
 
La gratuité scolaire est même envisagée, à plus long terme, sur certaines tribunes. Personnellement, quand je vois ce que la
gratuité des soins de santé a apporté, l’humain est davantage devenu un numéro inscrit sur une liste d’attente qu’une personne souffrante, je remets en question ce principe de gratuité. Lequel a mon sens apporte un laxisme et une bureaucratie si lourde que tout le système est embourbé. 
 
Oui, j’en suis profondément convaincue, l’éducation de qualité est un droit qui doit être accessible à toutes les classes de la société. 
 
En envisageant, les mesures bonifiées de prêts et bourses, il est possible justement d’y avoir accès. Est-ce parfait? Non. Est-ce que pour gagner cette bataille d’augmentation ou non, nous devons légitimer cette violence qui fuse de toute part, cette loi spéciale? Non.
 
Je crois que chacun d’entre nous a une responsabilité importante dans ce conflit. J’entends tous et chacun qui se cantonnent dans une position radicale et critiquent l’autre camp sans y voir les propos sensés (il y en a dans les deux camps) qui y sont tenus. Ce faisant, ils encouragent la radicalisation. Ainsi, ils participent à ce risque d'entacher gravement, le climat imparfait et tout de même relativement serein, dans lequel nous vivons. 
 
Ma conscience me ferait mal si j’étais tant un politicien, un chroniqueur ou un individu aux idées bornées encourageant obstinément un seul camp. Toute cette dérive échauffe les esprits et risque de nous faire perdre une paix sociale que l’on n’apprécie pas suffisamment puisqu’on est à la jouer à la roulette russe, actuellement. 

Et tous ces déchirements ne vont pas se guérir comme par magie. Ils laisseront des traces aux conséquences multiples. 
 
Quand  l'on nourrit une passion violente, priorise son ego ou ses intérêts personnels au détriment d’une collectivité. Quand l'on n’évalue pas les conséquences probables de ses actions, ses propos et ses décisions à plus long terme, ces paroles de Tristan Bernard, résonnent tristement en mon cœur. "L'humanité qui devrait avoir six mille ans d'expérience, retombe en enfance à chaque
génération."
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    Auteure

    Diane Beauregard
    26 ans d'expérience. Consultation en naturopathie, relation d'aide, hypnothérapeute,  Coach de vie, Mp PNL

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