Par ailleurs, pauvres ou riches, ici et ailleurs, les temps changent à vitesse grand V. C'est comme si actuellement, le mouvement de la vie s'accélère, entraînant un état transitoire incessant avec la mondialisation, la technologie, etc. Les formes de stabilité qui ont eu cours ne sont plus et ne reviendront plus. Il y a pour nous des impacts que l'on ne peut nier sans doute même, ne pas mesurer. Nous n'avons plus de repères, plus d'ancrages, nous sommes régulièrement devant l'inattendu.
On aura beau tenter d'échapper à cette réalité, elle est là et ce, peu importe les lamentations et récriminations, pour s'en soustraire.
Pour mieux s'adapter, impliquons-nous dans la société. Faisons-nous entendre, non pas pour critiquer avec violence, mais pour apporter des idées constructives. Enracinons-nous dans des valeurs qui sont pour nous, porteuses de sens. Construisons-nous des références intérieures. Créons des rituels, renouons avec certaines traditions, c'est tout à fait faisable et salutaire.
Ainsi nous aurons le sentiment de laisser l'empreinte de notre passage. C'est à dire, de participer à la vie avec ce qui nous caractérise et que ce faisant, il y aura de modestes impacts liés à notre contribution.
Accepter le changement est un signe de maturité. La vie n'est-elle pas mouvement perpétuel?
Darwin disait: "Ce qui est important ce n'est pas d'être le plus fort, c'est de s'adapter".
Rappelons-nous que notre attitude face au changement peut créer ou détruire. Heureusement, ce qui ne change pas, c'est que le choix du "comment y faire face", nous appartient encore.
Mercredi: Moi, je m'injecte tous les jours et vous?