Comme je serai en période de ressourcement du 22 juillet au lundi 6 août, je vous laisse une méditation « en action » laquelle permet d’accueillir le quotidien et de mieux vivre ce qui se présente à nous lorsque les expériences sont moins évidentes.

Debout, idéalement face à l’est.

VOCALISER le mot OR pour bien vous préparer.

Respirer à fond dans le bas ventre et bien vider vos poumons.

L’exercice se fait dans une même respiration

INSPIRER NORMALEMENT en pointant vos mains vers le ciel en faisant comme un O et en vocalisant le O (pour vous unir à
tout ce qui est).

Vous descendez vos mains au niveau des épaules, vers l’avant comme si vous faisiez un U (offrande de vous à la vie et réception de ce que la vie vous propose) en vocalisant le U. 

Joindre ensuite vos mains sur votre poitrine en vocalisant le I (geste de gratitude).

Cette méditation tirée de texte ancien est d’une grande efficacité.

Prenez soin de votre bonheur.

Au plaisir de vous retrouver BIENTÔT.

Suite à votre  précédent visionnement, avez-vous des ajustements à faire? Si oui, refaites le processus avec les changements que vous apporterez pour l’atteinte de ce précieux objectif.

 Si non, vous allez répéter l’expérience en étant l’acteur, l’actrice en imagination. Quand vous aurez terminé, faites un signe en émettant un son qui vous stimule davantage. Laissez-vous ressentir le bien-être. Vous touchez au but.

Comme le cerveau ne fait pas la différence entre ce qui est imaginé et ce qui est vécu. Chaque fois qu’en imagination vous vivez votre scène avec cet objectif atteint, il s’active en vous un chemin vous rendant pleinement capable de le vivre au quotidien.

Vous avez maintenant qu’à l’agir et vous verrez comme c’est facile. 

Rappelez-vous de souligner par une marque d’appréciation les progrès que vous faites chaque jour. L’humain apprécie être reconnu quand il fait quelque chose donc donnez-vous ces marques d’appréciation. 

Bravo!

Poursuivez sur votre belle lancée.

Maintenant, devenez votre personnage. Attention vous ne voyez plus la scène, vous êtes à l’intérieur de celle-ci, vous la vivez.

Que ressentez-vous? Comment la vivez-vous? Vous parlez aux gens qui font partie de votre mise en scène. Peut-être sont-ils étonnés de vous voir vous positionner? De prendre votre place aisément. D’oser exprimer un non alors qu’avant vous étiez toujours allés dans le sens qu’ils vous proposaient  même si au fond de vous, ça disait non, j’en ai pas envie. Peut-être cesserez-vous de subir la colère, la démesure d’une personne significative pour vous ? De porter ces enfants qui sont devenus des adultes et comptent toujours sur vous pour les sortir du pétrin ou n’importe quoi d’autre. 

Comment vous sentez-vous? 

Qu’éprouvez-vous?

Quelles valeurs respectez-vous, là maintenant?

Vous pouvez à ce moment précis, enregistrez comment c’est bon d’aller de l’avant dans le respect de soi. Maintenant, ce sera plus facile de le mettre en action puisque vous avez goûté au bien-être engendré par l’atteinte de cet objectif.

Vous vous sentez davantage enclin à le vivre au quotidien, bravo. 

Continuons, vous êtes sur le bon chemin.

Maintenant, projetez-vous dans le futur comme si votre objectif était atteint. 

Attention, au début vous vous faites un scénario en lien avec une expérience potentielle. Vous vous voyez dans votre environnement avec les changements installés. Vous agissez comme si vous aviez assimilé les transformations.

Vous ajustez bien les couleurs, précisez les contours de votre mise en scène. Mettez de l’éclairage du son, de l’éclairage. Vous rendez cette scène vivante. Vous en êtes le personnage principal. 

Comme un bon metteur en scène, vous fignolez cet acte comme s’il était tout à fait réaliste, et ce, jusqu’à ce que vous en soyez pleinement satisfait. 

N’hésitez pas à préciser, à rendre votre scénario crédible et réel.

Vous êtes pleinement satisfait? Alors, on tourne maintenant.

Pas à pas, je vais vous présenter une façon de changer durant les prochains jours. 
 
Quand vous voulez changer, il est impératif de répondre à ces questions :

Qu’est-ce que je veux réellement?

En quoi c’est important que j’atteigne cet objectif pour moi, pour mon entourage?

Comment je saurai que je l’ai atteint? 

Par quoi, pourrais-je observer que je fais les choses différemment?

Comment les autres remarqueront que j’ai changé?

À quoi devrais-je renoncer pour atteindre mon objectif?  (Cette question n’est pas banale, car quand une personne agit d’une certaine façon elle a souvent peur de faire face à….de déplaire…souvent elle achète la « paix », etc. Changer demandera de faire face à ce quelque chose ou ce quelqu’un. La personne devra prendre le risque de ce qui lui tient à cœur.  C'est important de le réaliser.) 

Comment vais-je me féliciter au fur et à mesure de ma progression?

Quel est le temps que je me donne pour y atteindre mon objectif? Si votre objectif est de taille, scinder-le en petites étapes. 

Rappelez-vous, on ne peut faire plus de la même chose et vouloir le changement.

Tellement de personnes vivent des situations dans lesquelles elles se sentent enfermées. Elles voudraient changer et ne pensent ne pas en être capables. Et pourtant...

Notre imaginaire est un puissant outil de changement qui malheureusement n'est utilisé que pour se faire des scénarions catastrophes bien souvent. Se faire des images mentales nous met en contact avec une réalité intérieure subjective que l'on peut nommer le pouvoir de l'esprit.

Quand nous activons cette force de changement, il en résulte des résultats au niveau de corps lequel fonctionne en miroir avec ce que nous entretenons dans nos pensées, notre cinéma.

Même en n'étant pas conscient de ce phénomène, chacune de nos pensées produit des images. Imaginez l'impact de tous ces scénarios de peur que nous entretenons quotidiennement.

Soyez donc attentifs à ce que vous entretenez. La vie est un jardin et vous en êtes le jardinier. De quelle façon l'ensemencez-vous?

Dans les prochains billets, je vais explorer avec vous une méthode pour vous aider à devenir meilleur jardinier. Soye 

Au fil des ans, plusieurs personnes sont enclines à laisser leurs proches prendre en charge les différentes responsabilités de la vie. Elles se rassurent ainsi, ayant l’attention des leurs.

Elles se reposent sur eux. Ce faisant, les décisions prises dans ce contexte parfois ne peuvent tenir compte de ce qui est réellement important pour elles, de leur condition, ni de leurs besoins spécifiques. Elles se disent qu'il est temps de laisser aux autres les décisions à prendre, les activités. 

Pour les personnes avançant en âge c’est une manière de se sentir relié à eux. Il y a pourtant un côté pervers à cette « démission »,  puisqu’elles ont  remis leur sort entre les mains de leurs enfants quand elles en ont, mais avec le temps, elles n’osent plus s’exprimer. Ces personnes finissent souvent par se résigner à faire ce qu’on leur dit. La relation n’en n’est plus une d’adulte à adulte, mais devient une relation de dominant/dominé. Pour les autres, elle finissent leur vie bien souvent en maugréant face à ce qui est à faire. 
 
C’est bien cher payer pour avoir recours à ce qu’elles laissent aller, se disant trop âgés pour faire avec le quotidien. Évidemment, ce genre de relation risque de s’installer sans réelle mauvaise intention. Ainsi, les enfants deviennent les « parents » de leurs parents.

Dans la croyance populaire, vieillir est synonyme de perte. Croyance acceptée par les personnes sur cette voie, mais si vieillir était davantage synonyme d’expérience et de savoir…je m’imagine fort bien ces personnes continuant leur vie tout en déployant droiture et marchant d’un pas assuré sur la route qu’elles ont déjà pavé pour un bon bout de chemin. Sur youtube, vous pourrez entendre une entrevue avec une dame de 108 ans, Mme Alice Herz Sommer qui vit encore dans son logement, pratiquant 3 heures de piano par jour. Elle qui a été dans un camp de concentration dans la jeune vingtaine et qui a eu une vie sollicitante. De quoi réévaluer l’idée qu’on se fait de la  vieillesse.

Il n’est pas péjoratif de prétendre que d’être soi, demande du courage. L’humain est modelé par son éducation, son environnement familial, son milieu de vie et tout ce qui en découle. 

Ça prend un engagement réel pour enlever toutes ces « pelures » et se découvrir en soi même, car comment être soi en répondant à toutes ces exigences venant de l’extérieur par peur de ceci ou de cela. 

C’est pourquoi, tous ces tumultes qui nous sortent de notre zone de confort, nous bousculent sont des opportunités nous invitant à réévaluer et faire des choix qui parfois sont bien différents de ce qui correspondait à notre mode de vie. À oser dire ce dont nous sommes porteurs afin de sortir de l’emprise du conditionnement.

Le jour où nous sommes portés par la joie d’être, de faire et de partager, nous sommes assurément sur la piste de ce qui nous caractérise alors soyons bons joueurs au jeu de la vie au lieu de bouder ces secousses ou pire encore. 

Chacun à sa façon a un potentiel fascinant à explorer, s’il accepte d’aller vers l’indéterminé.  

Chaque humain possède la force et les outils nécessaires pour avancer sur le chemin de sa vie. Par ailleurs, il lui faut les mettre à jour, les stimuler et en faire usage.

Certaines conditions pourraient favoriser cette mise en place entre autres, se donner une orientation en tant que ce qu’il veut manifester comme être humain, avoir des temps de méditation afin d’être à l’écoute de ce qui s’exprime en lui, rechercher des périodes de solitude afin d’apprécier simplement ces temps pouvant être source d’élévation de la conscience, se donner des objectifs clairs et mettre en oeuvre les moyens pour les réaliser pas à pas. S'il n'a pas de vision de son devenir, il aura tendance à se perdre dans les dédales de la vie. 

Tout comme de vivre en ayant toujours « la broue dans l’toupette »,en s’engourdissant avec différentes substances ne favorisent aucunement cet engagement face à ce qui est à édifier.

Nous assistons dans notre société à cette volonté d’arriver à nos fins et ce, peu importe les moyens utilisés. Il y a une culture du soi quasi innommable.

En politique à titre d’exemple, nous le simple citoyen se faisons berner par certains politiciens qui avec le sourire nous mentent effrontément comme si, nous étions des abrutis. Dans les finances, pour avoir plus de profits immédiats, plein de manigances sont concoctées, prenant en otage, des gens qui travaillent honnêtement. Dans les différentes sociétés, des cadres oppresseurs repartent avec des bonus indécents après avoir fait des ravages difficilement redressables. Dans les familles si l’on n’adhère pas à un mode de pensée, on se fait mettre au « banc des punitions », car on ose avoir  des opinions qui sortent du cadre établi, etc.

Autant nous assistions avant à des cas isolés de ces pratiques, maintenant ça devient de plus en plus la norme dans les différents regroupements.

Il y a dans ces comportements un mépris inqualifiable pour les autres. Ceux-là mêmes que l’on abuse dont on profite pour assouvir nos intérêts personnels.

C’est déplorable de constater, qu’une partie des gens, a perdu le sens même de la vie qui est davantage de s’unifier pour s’épanouir ensemble et non de profiter de ces autres qui sont nos semblables pour assouvir nos envies de dominer.