Une relation c’est vivant. Rien n’est jamais acquis et la relation a besoin d’être nourrie. 

Les couples ont souvent l’impression que parce qu’ils sont ensemble, tout est O.K. Y a rien d’autre à faire. Ils laissent la routine s’installer sans égard à l’autre ce faisant, ils s’éloignent. 

Ce serait si simple d’agrémenter la relation de petites douceurs. Voici quelques idées :

Mettre un p’tit mot plein de romantisme dans la boîte à lunch ou dans la poche de son veston. Accueillir l’autre avec tendresse à son retour du travail. Acheter des croissants au chocolat pour un déjeuner du week-end, le servir avec un grand bol de café au lait préparé avec amour. Apporter une fleur sans occasion spéciale. Allez prendre une marche après souper, main dans la main. Surprendre l’autre avec une tenue aguichante. Faire couler l’eau du bain de sa partenaire en y ajoutant des pétales de roses, etc.

Tant de petites joies peuvent entretenir le goût d’être ensemble, pourquoi s’en priver?

Nous vivons en permanence des situations complexes.  Il arrive que nous soyons portés à garder en mémoire particulièrement ce qui a été difficile. Et ça revient comme si, c’était un film qui rejoue régulièrement dans notre salle de projection privée.

Nous pouvons tout à fait renverser la situation. 

Prenons les séquences de ce qui nous a permis de traverser lesdites situations et faisons l’inventaire de ces ressources dont nous sommes porteurs. 

Par la suite, devenons le metteur en scène d’un merveilleux film illustrant un nouveau projet de vie  dans lequel nous accéderons à des idéaux que nous avions mis de côté.

Quand il sera complété, faisons-nous de p’tites soirées cinéma nous projetant ce film nous mettant en vedette dans ce projet réalisé à l’aide des ressources que nous avions en inventaire et célébrons la vie. 
 
En très peu de temps, l’enthousiaste va nous gagner. Nous verrons la vie sous un jour nouveau. Nous nous sentirons portés par un regain de vie et audacieux.

Ne pas confondre ces deux appellations.  La souplesse est l’attribut d’une personne qui sait se moduler aux événements. Qui est capable de se définir sans s’obstiner avec l’autre, avec les autres. C’est dire sa vérité, c’est oser être authentique sans aigreur. 

La mollesse, c’est l’attribut d’une personne qui par peur de la réaction de l’autre ou de ne plus être apprécié va faire comme si, elle adhérait à ce qui se passe. Dans le fond d’elle-même, elle n’est pas d’accord et ne prend pas le risque de son opinion.

C’est une personne qui achète la « paix », une paix relative. Cette paix simulée, tôt ou tard se transformera soit en « j’en ai assez » et il y aura éclatement ou en sentiment de ne pas être considéré. Cette personne se sentira dominée.

Chacun choisit son chemin et en vivra les retombées, c’est inéluctable.

Vous connaissez cette expression? Alors, pourquoi ne pas la mettre en pratique en faisant les travaux printaniers tant extérieurs qu’intérieurs.

Voici comment, en débutant vos travaux vous manifestez l’intention que ce qui se fait comme travaux, se fait aussi dans votre
inconscient.

À titre d’exemple : Vous vous apprêtez à faire le nettoyage des branches et feuilles tombées sur votre terrain. Avant de commencer, vous vous dites que ce travail correspondra à ramasser tout ce qui s’est logé dans votre inconscient et qui n’a plus d’utilité pour vous en même temps que vous le ferez sur votre terrain.

Vous faites vos garde-robes,  manifestez l’intention que tout ce que vous jetterez, donnerez, aura comme effet de vous libérer de toutes ces croyances accumulées lesquelles ne sont pas bienfaisantes pour vous.

Ce faisant, vous ressentirez les bienfaits intérieurs tout en admirant le travail accompli qui aura eu un double impact. N’est-ce pas génial? De plus, chaque coup de balai à feuilles au lieu de vous épuiser vous permettra de ressentir le sentiment de faire quelque chose de précieux pour vous, ce qui est tout à fait juste.  Ainsi, vous départir de certains morceaux de linge deviendra plus facile. La sobriété pour s’y retrouver... 

L’origine de cette expression : Dès la Préhistoire, la fronde fut utilisée comme arme de chasse. Lorsque le chasseur tuait deux oiseaux avec une seule pierre, on disait qu'il faisait "d'une pierre deux coups ". Aujourd'hui, l'expression a toujours le même sens d'atteindre deux objectifs en même temps.

Certaines personnes se lèvent le matin et voudraient déjà que la journée soit terminée. Elles envisagent les heures à venir, comme une corvée. Elles ne sont pas réellement conscientes que leur participation est précieuse, car chacun est unique et personne d’autre ne peut prendre part à leurs occupations comme elles. Même les tâches les plus banales sont une opportunité de bonifier le moment présent, de l’apprécier, de l’ensemencer au meilleur de soi.
  
Quand en plus, il se passe des événements moins intéressants, c’est le drame. Elles se sentent « prises en otages »par la vie qui leur fait, selon leur perception, bien des misères.
 
Parfois, la lourdeur générée par leur conception de la vie s’inscrit dans leur corps. Elles ont de plus en plus mal à l’estomac. 
 
Si elles ont du mal à digérer pratiquement chacune de leurs journées, le corps agissant comme un « clignotant jaune » tentera de dire que quelque chose est à rectifier. Il sonne l’alarme par des problèmes de santé afin que les personnes détectent leur errance. 
 
Le corps ne peut communiquer autrement qu’en nous ramenant à soi afin de réfléchir à comment l’on s’implique dans notre vie. C’est un précieux allié. 
 
Et si, nous étions à son écoute que pourrions-nous changer

Le temps est intransigeant dans le sens que quand ce temps qui nous était imparti prendra fin, aucune supplication ne le fera ni reculer, ni se prolonger.

Si nous saurions quand il s’arrêtera pour nous, sans doute qu’après la secousse, le choc, passés nous nous assurerions de nous mettre en paix avec notre vie, de régler avec nos proches ce qui ne l’a pas été. Probablement, que nous prendrions quelques décisions tels un p’tit voyage avec un proche, un souper en tête à tête avec une personne non côtoyée depuis un certain temps afin de nous remémorer nos bons souvenirs. Peut-être voudrions-nous demander certains pardons et excuser aussi les personnes qui auraient agi de façon inconsidérée à notre égard et plus encore.

Pourquoi, ne pas prendre quelques instants et se demander : qu’est-ce que je peux faire dès maintenant pour mieux vivre ce temps qui m’est alloué?

Comment puis-je donner naissance à des moments tendrement partagés qui se graveront tant dans mon cœur que dans celui de mes proches. Ceux-ci  auront la liberté de revisiter ces souvenirs, le jour où vous ne serez plus?

Ce serait comme un héritage du cœur qui serait préparé en conscience et avec beaucoup d’amour. 
 
Que de merveilleux moments en perspective!

Un phénomène dont l’on ne se méfie pas suffisamment se nomme les généralisations soient les toujours, les jamais, les rien, etc.
  
En relation, et ce peu importe de quel ordre, l’on a tendance à tirer des conclusions qui enferment ex : « Il ne dégage pas de temps dans son horaire pour me voir, c’est toujours comme ça, s’il m’aimait, il pourrait ». « Si elle ne tient pas compte de ce que je lui ai dit, c’est parce qu’elle ne me considère pas, à ses yeux j’ne suis rien ».« Si mon fils n’écoute pas les consignes, c’est qu’il se fiche de moi. Il n’écoute jamais rien », etc.
 
Comme nous sommes différents, il y a des vides relationnels. Ce qui veut dire que parfois, un et l’autre ne pourront se rejoindre au travers leurs demandes.
 
Dans ce cas, si nous concluons que l’attitude de l’autre est immuable, que ce qu’il fait est contre nous, arrivera un temps où la relation sera dans un cul de sac. 
 
Au lieu de tirer nos conclusions et de penser que son comportement fait fi de nous et non de notre demande, vaut mieux en parler afin d’éclaircir les situations, car de se braquer et de commencer à se sentir mépriser par l’autre ne peut qu’engendrer des relations dans lesquelles les conflits deviendront insolubles.  

Certaines personnes en arrivent à le croire. 

Nous vivons dans un monde hyper spécialisé. Nous aimons tout expliquer, cataloguer, classer. Bien oui…nous sommes tellement "savants et connaissants". 

Tout est si spécialisé que sans aucune retenue, on entend des professionnels affirmer« Il ne te reste que 3 mois à vivre. »; « Tu es atteint d’une maladie dégénérative, tu ne peux que décliner » ; « T’as une anxiété chronique, tu n’y peux rien outre te médicamenter »; « C’est génétique, y a rien à faire », etc.

Le récepteur d’un tel diagnostic, docile membre conditionné de notre société, va généralement adhérer à ce qui lui a été dit.

Certaines autres personnes auront le cran de se rebeller et de se donner des outils qui vont les aider à remonter la pente, car elles refuseront de se laisser définir par un autre être humain et d’entrer dans le cul de sac qui vient de lui être annoncé.
 
Et vous, êtes-vous une statistique?

Ces paroles porteurses de vérité de Swani Begondadanda inspirent ceux et celles qui devant l’adversité, décident d’aller de l’avant en tirant les apprentissages de ce qu’ils sont à vivre. 

Pour améliorer son sort, ça prend de l’audace ainsi que certaines assises comme de faire fi à la peur du nouveau, d’un possible autre revers, de prendre le risque de s’investir encore dans une relation même si la précédente a été souffrante à certains égards, car dans la vie nous les humains cherchons les valeurs sûres. L’inconnu, nous ne voulons pas trop nous y frotter. Et pourtant!

La recherche de la zone de confort dans un premier temps, c’est douillet, mais de trop s’y habituer ça risque de devenir réducteur.

Ce proverbe met en évidence le manque de réflexion face à nos actions. De fait, nous voulons souvent quelque chose sans savoir à quoi, ce quelque chose, va nous donner accès au-delà de l’immédiat. Par exemple, vouloir plus d’argent est un désir très répandu.  Pourquoi?

Bien sûr me direz-vous, afin de pouvoir avoir plus de confort et c’est très légitime.

Par ailleurs, certaines personnes vont se priver de façon inconsidérée afin d’accumuler de l’argent pour leur retraite. D’autres vont travailler sans se ménager aucun espace de détente, ils vont ainsi porter atteinte à leur santé. D’autres à bout de souffle, de faire ceci et cela, pour gagner de l’argent vont la dépenser dans des vacances coûteuses qui au bout du compte ne serviront qu’à les aider à se rétablir un tant soit peu de leur essoufflement. Durant tout ce temps, elles auront l’impression d’avoir vécu que pendant leurs vacances. 
 
Pourquoi je veux ce que je veux? Ça va contribuer à quoi? Y a-t’il d’autres possibilités pour acquérir « l’objectif non clarifié» derrière le moyen (avoir plus d’argent dans cet exemple-ci) qui semble être une fin en soi.

Comment pouvons-nous donner un sens à notre vie quand nos actions n’ont pas de réels fondements?