Diane Beauregard, coach de vie, auteure et conférencière
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On a fini par confondre ce qui compte et ce qui se compte

30/4/2015

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Cette affirmation du journaliste JC Guillebaud que j'entendais dans un documentaire reflète à mon sens en quelques mots, la cause du vide ressenti par nos jeunes et d'un grand nombre d' adultes.

Quand nous assistons à de la radicalisation, des suicides, de la délinquance, des décrochages, de la violence, etc., il y a là une démonstration du rejet de la société telle qu'elle est devenue.

En bannissant le dogmatisme des religions ce qui, à mon sens, a été très libérateur, on a délaissé aussi les principes et enseignements sacrés qui proposent des chemins de sagesse porteurs de valeurs tels l'amour, le respect, le partage, la bonté, etc. On s'est ainsi retrouvé égaré et sans repères.

Pour compenser, nous sommes devenus une société égocentriste, adulant l'argent (le nouveau veau d'or) pour maintenir notre rythme de vie, l'économie, le PIB. Une société avec une vision à court terme qui n'hésite aucunement à faire refléter l'accès au "bonheur" à qui communie à cette  doctrine et pour laquelle, la fin justifie les moyens. Nous y contribuons au travers nos décisions quotidiennes prises sous l'influence de ce conditionnement pernicieux.

Nous sommes dans une société d'apparat, de rapports de force sans égard à l'éthique. Les tensions ainsi provoquées sur notre nature profonde sont difficilement soutenables.

Dans cette absence de sens, certains cherchent l'absolu dans ce qui leur semble électrisant.

Si chacun de nous fait une réflexion à savoir après quoi il court, pour aller où et pourquoi, il est possible que certains réévaluent leur mode de vie, se libérant de cet asservissement optant pour  un vivre ensemble avec plus d'humanité.

Lundi: La résistance au changement est proportionnelle à l'accoutumance au malheur




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Réflexion sur le bonheur

29/4/2015

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Si tu ne trouves pas le bonheur, 
c'est peut-être que tu le cherches ailleurs... 
Ailleurs que dans tes souliers. 
Ailleurs que dans ton foyer.


Selon toi, les autres sont plus heureux. 
Mais, toi, tu ne vis pas chez eux. 
Tu oublies que chacun a ses tracas. 
Tu n'aimerais sûrement pas mieux leur cas.


Comment peux-tu aimer la vie 
si ton coeur est plein d'envie, 
si tu ne t'aimes pas, 
si tu ne t'acceptes pas ?


Le plus grand obstacle au bonheur, sans doute, 
c'est de rêver d'un bonheur trop grand. 
Sache cueillir le bonheur au compte-gouttes: 
ce sont de toutes petites qui font les océans.


Ne cherche pas le bonheur dans tes souvenirs. 
Ne le cherche pas non plus dans l'avenir. 
Cherche le bonheur dans le présent. 
C'est là et là seulement qu'il t'attend.


Le bonheur, ce n'est pas un objet 
que tu peux trouver quelque part hors de toi. 
Le bonheur, ce n'est qu'un projet 
qui part de toi et se réalise en toi.


Il n'existe pas de marchands de bonheur. 
Il n'existe pas de machines à bonheur. 
Il existe des gens qui croient au bonheur. 
Ce sont ces gens qui font eux-mêmes leur bonheur.


Si, dans ton miroir, ta figure te déplaît, 
à quoi te sert de briser ton reflet ? 
Ce n'est pas ton miroir qu'il faut casser. 
C'est toi qu'il faut changer !


Très belle réflexion de Charles-Eugène PLOURDE, Une lumière sur mes pas, Trois-Rivières, 2003

Jeudi:  On a fini par confondre ce qui compte et ce qui se compte

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S'aimer, se considérer

28/4/2015

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Il semble que ce soit facile à dire moins évident à éprouver. 

Tellement de personnes précisent ne pas reconnaître comme véritable les attentions, compliments, manifestations d'amour et de tendresse qui leur sont exprimées.

Quand l'on passe une partie de notre temps à s'attribuer des critiques, des blâmes. À se sentir incompétents, médiocres nous avons tôt fait de croire, plus ou moins consciemment que nous sommes des êtres inadéquats et indignes. Afin de fuir ce mal-être nous aurons tendance à nous comparer afin de chercher à r'monter dans une certaine échelle de valeurs personnelle. Ce qui aura pour effet de nous enfermer davantage dans la souffrance puisque les "barreaux de notre échelle" sont inatteignables. Ils deviennent les barreaux de notre prison intérieure.

Avez-vous déjà vu, entendu une pomme vouloir être une banane ou une banane vouloir être une orange? Non, moi non plus.

Un humain a un potentiel unique qui le caractérise. Il est comme chacun de nous, un être en devenir. Il peut décider d'améliorer ce dont il est porteur ce qui est souhaitable puisque nous sommes tous invités à cheminer. Par ailleurs, s'il utilise son énergie à se dénigrer, il ne lui en restera plus pour progresser.

Quand l'on fait quelque chose dont nous ne sommes pas fiers, nous ne devenons pas des parias pour autant.

Si je reviens à mes fruits, quand l'un deux à une meurtrissure, il n'est pas impropre à la consommation. Pourquoi, nous humains, serions-nous moins qu'un fruit?

Quand nous voulons vivre  des relations où circule le meilleur, il est impératif de cesser de nous dénigrer. Valorisons les parties de nous que nous apprécions et améliorons paisiblement ce qui nous apparaît fondamental.

Changeons de perspective puisque chaque jour, nous nous prouvons que ce à quoi nous croyons est vrai.

Mercredi: réflexion sur le bonheur








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Mais comment on fait?

27/4/2015

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Ces paroles répétées à outrance sont généralement prononcées par des gens qui n'essaient pas ou très peu. Quand on veut changer, il n'y a pas de recette miracle. Il faut se lancer dans l'action, s'investir dans son cheminement avec constance. Il faut être conscient que ce faisant, c'est de se choisir, de s'aimer et accepter l'effort, à court terme.

Je mentionne à court terme, car avec un peu de temps les résultats se font sentir et la satisfaction grandit prenant la place du sentiment laborieux lié à l'effort.

Il y a différentes façons de faire pour obtenir le résultat souhaité. Si la méthode que vous utilisez n'est pas pour nous efficace, essayons autre chose. 

À constance négligée, résultats négligeables.

Le simple fait, de se mettre en action, donne à la personne un sentiment de pouvoir face à la situation qu'elle veut changer.

Dans le cas contraire soit l'inaction, c'est se condamner à l'insatisfaction face à la réalité actuelle. Ainsi, nous perdons du terrain. Nous fixons notre attention sur l'incapacité et sur le problème.  Au final,  notre identité en prend la forme.

À force de vivre l'insatisfaction, de chercher la formule magique (du fait le pour moi ou sans que je m'implique vraiment) se dresse des barrières qui semblent infranchissables.

Élémentaire de dire que nos horaires, notre mode de vie, etc., nous empêche de construire le chemin de notre réussite. Quand nous ne nous engageons pas, nous finissons par avoir des images mentales nous confirmant notre inaptitude. En fin de compte, ce qui nous gruge (le problème) gagne la partie. Nous en devenons son esclave puisqu'il nous hante constamment.

Personne ne va se mettre à la tâche pour faire rayonner notre vie, c'est la prérogative de chacun.

Mardi: S'aimer, se considérer

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Une intervention de guérison trop souvent négligée

23/4/2015

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Bien des septiques refusent d'envisager des solutions autres que celles qui sont traditionnelles. Ils ont des oeillères et perçoivent leur corps comme une machine qui se dérègle quand la maladie se manifeste. Cette perception est réductrice et matérialiste. Comme si le corps malade était déconnecté des émotions, croyances,  pensées, etc.

Quand leur corps est malade, leur conception de la guérison transite par le " mécanicien-médecin"  qui prescrit des médicaments pour traiter les symptômes et la cause, elle? 

Pourtant, l'humain forme un tout indivisible. Accepterons-nous un jour cette idée qui nous permettra d'envisager des agents curatifs immatériels? L'hypnose est l'un de ces vecteurs puisqu'elle sollicite la partie sage de la personne qui peut mettre en action un processus d'autoguérison.

Imaginez un instant, si les techniques alternatives et la médecine traditionnelle faisaient équipe,   comme nous pourrions améliorer la qualité de vie des humains. 

Je vous propose le récit d'une expérience: quand dans un groupe les chercheurs font l'expérience d'un placebo, un certain nombre de personnes reçoit à son insu, un "produit sans aucune force médicinale au lieu du médicament" . L'autre partie du groupe, le vrai médicament.

Après l'expérience, le pourcentage de récupération au niveau de la santé varie de 10% à 70% dépendamment des expériences.

Ce qui a retenu mon attention est ce que raconte Deepak Chopra, endocrinologue, penseur, écrivain et conférencier à l'effet que dans une étude menée auprès d'un groupe de patients souffrant de nausée chronique sévère on leur a administré un médicament antiémétique ( substance qui empêche de vomir).

À l'autre partie du groupe, au lieu de leur administrer un placébo, on leur a donné un émétique (substance qui a la propriété de faire vomir), leur faisant croire que c'était un médicament anti-vomissement.

Résultat, l'esprit des patients des participants ayant reçu la substance faisant vomir a tout de même réduit la nausée chronique sévère de l'ordre de 30%. Excellent, puisque la substance qu'ils ont prise aurait dû augmenter les nausées et vomissements.

Est-ce quelques septiques sont confondus?

Lundi: Mais comment on fait?

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De directif à résigné critiqueux

22/4/2015

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On entend souvent cette affirmation que tout part de soi. J'ajouterais: et devient un mode de fonctionnement acceptable pour soi. Je vous donne un exemple:

Une personne est en discussion avec sa soeur. Un anniversaire de naissance important s'en vient. La famille se réunit pour souligner ces événements.

Elle demande: "Qu'allons-nous faire pour....". Il répond: "J'sais pas trop, mais cette année j'te laisse ça entre les mains".

L'ainé de la famille voulant du moins en apparence, se détacher du rôle directif qu'il joue habituellement.

Sa soeur propose une activité qui lui paraît inappropriée. Cependant, il garde en réserve ses commentaires. Il aurait souhaité que sa soeur pense comme lui. Si cela était, cette activité n'aurait pas été envisagée. Enfin! il soupire et se résigne.

Toutefois, il ne manquera pas une occasion de dénigrer le choix de l'activité pour ladite fête qui aura lieu  à laquelle, il aura participé sans enthousiasme.

Décortiquons quelque peu la situation:

-Une délégation qui n'en est pas une.
-Des attentes non exprimées.
-Un manque d'affirmation face à ce qui lui apparaissait inapproprié pour des raisons nébuleuses.
-Des critiques face au choix  de sa soeur émises aux autres, jamais à la principale intéressée.
-Davantage branchée sur ce qu'il juge insatisfaisant.  Il y fait donc une présence non participative. Il n'y éprouve aucun plaisir .
-Réaction stérile de dépréciation envers sa soeur et leur relation.

Un contrecoup de son inconduite sera qu'il n'écoutera pas les observations venant d'autres personnes quand lui proposera un projet lors d'un autre événement. Pourquoi?

Parce que devant ce qui ne lui convient pas, il "accepte" de le vivre à reculons en étant critiqueux, puisqu'il n'y a aucune ouverture de sa part ni de discussion franche avec sa soeur. Il est donc très à risque de reproduire cette pratique envers les autres.

En plus d'être réactionnel, ce qu'il fait hypothèque son propre mode de fonctionnement même s'il veut se faire croire qu'il est quelqu'un de réceptif qui fait de la place aux autres. Il sera une personne généralement dominante dans son environnement. Par moment, il baissera la garde et "laissera le pouvoir décisionnel" à une autre personne, se gardant comme option, la critique.

Il s'enferme dans cette dynamique ou il passera donc du rôle de directif au rôle de résigné critiqueux.  Dans un rôle ou l'autre, il vivra l'insatisfaction. Dans le rôle de directif, il se plaindra d'avoir toutes les responsabilités sur le dos. Dans le rôle de résigné critiqueux, il  se sentira "pris dans l'incompétence" ,  le manque de vision de l'autre, des autres.

Jeudi: Une intervention de guérison trop souvent négligée

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Esprit critique ou critiqueux ?

21/4/2015

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Avoir l'esprit critique c'est d'être ouvert, réceptif. C'est aussi prendre du recul face aux gens et aux situations quand le cours de choses sort de notre zone de confort pour en dégager le potentiel efficient. C'est d'être objectif et penser à des solutions pour améliorer ce qui pourrait l'être le cas échéant et ce, sans remarque désobligeante.

Être critiqueux, c'est de condamner, mettant en évidence et pointant du doigt tout ce qui nous déplait et ne correspond pas à notre manière de voir, de faire, de penser.

Notre société  a une tendance lourde à dénoncer, critiquer, déconstruire. Comment bonifier quelque chose si nous voyons au travers les situations et les gens que l'on côtoie que ce qui nous paraît être mauvais? Si nous faisons comme dans nos frigos, ce que nous jugeons mauvais, nous le jetons à la poubelle. Y a pas de 2e chance.

De fait, on peut facilement constater qu'au travers les médias quand sont portés à notre attention certains éléments qui ont certes besoin d'être réévalués, ils sont comme des "pitbulls" qui sautent sur un os et ne le lâchent pas. Évidemment, à court terme ça attire l'attention, c'est bon pour les cotes d'écoute. Quel réflexe ça installe?

Au travail, quels sont les sujets de conversation à l'heure des pauses? Les gens s'en donnent souvent à coeur joie en critiquant ceci et cela. Dans quel état d'esprit, retournent-ils au travail? Pourront-ils valoriser ce qui est efficace et bonifier ce qui est améliorable?  Sont-ils dans un bon état d'esprit pour travailler en équipe et amener le fruit de leurs efforts vers des résultats intéressants ou en viennent-ils à travailler seulement pour gagner leur vie?

Dans les familles, si l'on peut monter en épingle un comportement jugé inadéquat, le beau-frère ou la belle-soeur sont étiquetés. On parle dans leur dos. Par la suite, nos rapports avec cette personne sont teintés de notre jugement critique lequel est souvent sans appel.

Si nous continuons dans cette voie, tout ce qui a de créatif en nous, risque de s'atrophier. Nous, nous sentirons malheureux de vivre dans une société que l'on verra comme malveillante. Nous perdrons notre confraternité.

Comment arriverons-nous, ce faisant, à un monde meilleur? 

Le nivelage par le bas n'a jamais soutenu le progrès. Heureusement, nous pouvons prendre conscience de nos pensées, paroles, comportements et les changer tout en gardant un esprit critique.  Cette réflexion peut nous y sensibiliser:

«Demandez-vous souvent si ce que vous faites à cet instant, vous rapproche aujourd'hui de ce que vous voulez être demain ».  -Dominique Glocheux

Mercredi: De directif à résigné

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Nos enfants

20/4/2015

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Et une femme qui portait un enfant dans les bras dit,
Parlez-nous des enfants. Et il dit : Vos enfants ne sont pas vos enfants.
Ils sont les fils et les filles de l'appel de la Vie à elle même. Ils viennent à travers vous, mais non de vous. Et bien qu'ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.


Vous pouvez leur donner votre amour, mais non point vos pensées, car ils ont leurs propres pensées. Vous pouvez accueillir leurs corps, mais pas leurs âmes, car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves.

Vous pouvez vous efforcer d'être comme eux,  mais ne tentez pas de les faire comme vous.
Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s'attarde avec hier.  Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.



L'Archer voit le but sur le chemin de l'infini, et Il vous tend de Sa puissance  pour que Ses flèches puissent voler vite et loin. Que votre tension par la main de l'Archer soit pour la joie; car de même qu'Il aime la flèche qui vole, Il aime l'arc qui est stable.


(extrait du recueil Le Prophète)

Dernièrement, un événement percutant m'a ramené en arrière. Celui-ci a enraciné cette réalité à l'effet que la vie continue au rythme du temps lequel ne prend pas toujours son temps.  Des souvenirs d'enfance sont remontés, ce fut une amorce pour revisiter la route que j'ai empruntée jusqu'à maintenant.

J'avoue que les émotions étaient vives dans ces moments d'intenses réflexions au travers lesquels j'ai conscientisé tous ces "détours" que j'ai empruntés avant de réaliser l'infinitude de la vie. La vie par elle-même, sans artifice et cette chance extraordinaire que  chacune de nous avons de pouvoir y participer.

Ce qui a réchauffé mon coeur ce fut de penser à ma fille. Cette femme bien équilibrée, aimante qui est maman de deux beaux et grands enfants.

Je me suis fait la remarque que malgré les remous de la vie, elle est devenue une si belle personne qui par ses qualités de coeur et sa générosité d'âme contribue à ennoblir les interactions humaines auxquelles elle participe  avec amour et  respect. Elle a tracé son chemin de si belle façon.  

Comme ledit le prophète, elle a volé vite et loin de l'archer.

Dans une société aussi troublante que la nôtre, bien des personnes se questionnent sur  la pertinence d'avoir des enfants.  Il me semble important de croire en un monde de partage en devenir. Tout en inculquant à nos enfants, le meilleur de nous-mêmes au travers nos propres incohérences, faisons-leur confiance.

Tout comme nous, ils seront en mesure de faire au meilleur, construisant un monde où il fera bon vivre. Entretenons cette espérance. Acceptons d'être des "arcs" et admirons le parcours de ces "flèches vivantes".  

Mardi:  Esprit critique ou critiqueux ?

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Se donner le droit de s'exprimer

16/4/2015

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Il n'est pas rare que des personnes disent ne pas être capables d'exprimer à un proche, des choses importantes qui l'est rende totalement inconfortable.

Pourtant, ces personnes s'expriment avec aisance. Elles décrivent parfaitement la situation. Quand elles disent ne pas être capables, ce n'est pas tout à fait juste. Si tel était le cas, elles ne pourraient décrire ce qui se passe ou s'est passé avec tant de clarté.

Sans doute que ces personnes refoulent leurs propos à cause de croyance telle que ce n’est pas gentil de dire ce que l'on pense ou de peurs telles de perdre cette personne ou de "grafigner l'image qu'elle lui projette ou encore  la peur d'être comme des personnes n'ayant aucun filtre et qui disent tout ce qui leurs passent pas la tête, et ce, avec mépris sans égard à l'autre.

Cette citation: "Tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime" est à prendre en considération.

Qu'arrivera-t-il avec un peu de temps à ces personnes qui avalent et ravalent? En plus, d'être malheureuses,  un jour elles risquent de dire, de façon excessive, ce qu'elles ont retenu si longtemps. Ou bien, elles somatiseront leur mal-être avec toutes les conséquences qui en découleront. Ce qui est sûr, c'est que la relation en souffrira d'une façon comme d'une autre.

Osons, identifiez la vraie raison qui nous garde dans le mutisme afin de pouvoir réévaluer la situation et transformer ce qui nous emprisonne dans un état d'immaturité.

Osons être suffisamment judicieux et authentiques afin d'entretenir avec l'autre, les autres et soi-même des relations vivantes.

Lundi: Nos enfants

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Connaissez-vous les impacts de parler contre autrui?

15/4/2015

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Parler contre un membre de la famille, un collègue de travail, le voisin, etc. est une habitude qui se perpétue. En lisant ces lignes, certaines personnes diront non, non pas moi et pourtant...

L'inconscient réagit aux mots que nous utilisons. Ce que nous disons ou pensons de quelqu'un notre inconscient nous l'attribue, il ne fait pas cette distinction entre cet autre et nous. De plus, nous nous inondons de cette énergie négative provenant des paroles ou pensées accusatrices proférées à l'égard des autres.

Avez-vous déjà entendu cette expression: "lorsque tu montres quelqu'un du doigt, souviens-toi que tu as trois doigts qui sont pointés vers toi-même"? Cette affirmation est très imagée et reflète la réalité.

De plus, ce sont des termes négatifs donc des saboteurs d'énergie. Pour ajouter au tort que nous sommes aussi à nous faire, il arrive que le propos tenu décrivant la situation avec autrui soit très émotif engendrant colère, rage, ressentiment, etc. Quand nous ressassons, cette contamination nous est nuisible.

Devenant plus conscients, pourquoi ne pas  diriger  pensées et paroles vers du constructif et faire preuve de bienveillance. Chacun est différent donc ne voit pas la vie comme nous et automatiquement diffère dans sa manière de l'aborder et alors.

Quand l'on réalise l'impact de vieilles habitudes, c'est un premier pas nous permettant de les changer. Faute de quoi, ça devient partie prenante de comment se nourrit notre -propre moi.

Quand nous colorons notre quotidien d'accueil, de bonté et de beauté, nous sommes plus heureux et en prime, plus énergiques. 

Jeudi: Se donner le droit de s'exprimer

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    Auteure

    Diane Beauregard
    26 ans d'expérience. Consultation en naturopathie, relation d'aide, hypnothérapeute,  Coach de vie, Mp PNL

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