Je verrai en janvier si je reprends ou non.
Prenez soin de vous et célébrez la vie, c’est une richesse.
Diane Beauregard, coach de vie, auteure et conférencière |
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Je prends une pause d’écriture des petits billets matinaux. L’achalandage peu nombreux me laisse penser que ça ne répond pas à une source d’aide recherchée pour améliorer son rapport à la vie, à soi et aux autres.
Je verrai en janvier si je reprends ou non. Prenez soin de vous et célébrez la vie, c’est une richesse.
1 Commentaire
Comme nous ne sommes pas la copie conforme de l’autre, il y aura des conflits plus ou moins sévères. Le contraire serait inquiétant puisque ce serait la manifestation que l’un des deux protagonistes se fond en l’autre. On ne peut avoir une relation vivante avec un autre moi-même?
Quand il y a conflit, il est essentiel que chacun exprime sensément son point de vue et que celui-ci soit reçu par l’autre. Que chacun explique sa position avec intégrité et propose des amorces de solutions. Ne pas y mêler d’autres sujets. Ce conflit étant résolu, il sera toujours temps de parler des autres sujets en litige, le cas échéant. Le compromis est nécessaire dans une relation, à ne pas confondre avec la compromission (accommodement fait par lâcheté ou par intérêt). Parfois, il y a des vides relationnels qui se font sentir quand avec la meilleure volonté, il ne semble pas y avoir d’espace de règlement. Quand ça arrive, il est important de remettre la discussion à plus tard en définissant un moment pour ce faire. Le moment venu on va reprendre la discussion seulement s’y l’on peut y apporter des éléments nouveaux. Une simple suggestion peut parfois nous mettre sur la voie de la résolution d’un conflit. Il est important de ne pas hésiter à en parler. L’essentiel est que chacun ait une attitude d’ouverture ne restant pas campé sur sa position. Il est démontré que des conflits bien réglés, dans le respect, l’écoute et la tendresse unissent les protagonistes et non le contraire. Un arbre sans sève va paraître anémique. Il en est de même pour nos relations à l’autre quand elles ne sont pas dynamisées. Communiquer, entretient cette vie qui tend à s’exprimer au lieu d’écraser, rétrécir ou dénigrer.
Comment puis-je ressentir cet élan qui est mien si je ne permets pas d’en exprimer les couleurs? Malheureusement, il y a confusion. Nous savons parler et croyons de ce fait, savoir communiquer ce qui n’est pas le cas. Communiquer est un art qui s’apprend, se développe, s’enrichit. Ce faisant, ce savoir-être nous rend fiers puisque notre« mise en commun », agrandi et bonifie toutes nos relations en commençant par la relation à soi. À ne pas confondre la confrontation avec vouloir assujettir l’autre selon notre façon de voir.
Confronter, c’est faire front avec nos idées. Les émettre afin de se définir, se positionner, se situer face aux idées de l’autre en apposant les nôtres. Non en s’opposant ni en dénigrant les siennes ou pire encore en s’attaquant à l’autre. Comment puis-je me différencier sinon? Exister c’est prendre le risque de se différencier de l’autre. Ce qui revient à bannir les : oui mais, les ça pas d’allure, etc., et, les remplacer par les oui, j’entends ton point de vue et le mien diffère du tien en ce sens que voilà comment je vois ceci ou cela. Ou, je reçois bien ton désaccord et je le respecte. J’apprécie que tu m’en fasses part. Ton éclairage me permet de modifier certains aspects de ce projet ou non, c’est selon. En toute circonstance, J’APPOSE afin d’agrandir les différents éléments de la discussion et par le fait même d’avoir des relations vivantes en étant authentique. Imaginons une personne vivant la répétition de stress personnels ou sociaux ou ayant vécu un choc psychologique, se sentant démunie et prise au piège, n’entrevoyant aucun moyen pour mettre fin à ses "malheurs".
De plus, quand elle parle de la situation, elle n’exprime pas son ressenti, mais que des faits (on m’a fait ceci et cela et je trouve ça injuste…). Elle ne donne aucun bénéfice du doute à la vie ni aux personnes en cause lesquelles ont fait naître son état. À ceci s’ajoute, qu’elle passe l’essentiel de son temps à ressasser ses misères. Vous croyez que j’exagère. J’aimerais bien, mais ce n’est pas le cas. À plus ou moins grande échelle, cette réalité s’exprime, peut-être même dans votre quotidien, vous qui lisez ce billet. Mettre à mal nos défenses naturelles, baigner dans une détresse psychologique ne peut qu’engendrer maladies et/ou comportements indésirables lesquels ne vont pas se dissoudre comme neige au soleil. Tous les événements que nous vivons –l’information- sont encodés par des molécules messagères qui viennent de toutes les cellules du corps (Rossi, chercheuse sur le cancer du foie). Cette interprétation est traduite, transmise et parfois figée, arrêtée, selon l’état émotionnel de la personne générant une désorganisation progressive. Il en résulte, tôt ou tard, des problèmes de santé, comportementaux et relationnels. À chacun de nous, d’y voir. SPIRITUALITÉ, ÉQUILIBRE ÉMOTIONNEL, SANTÉ
À la rencontre de ces Êtres de lumière, vous entendrez l’appel de ce qui vous rend unique et découvrirez une fécondité nouvelle. Le parcours de votre voie est porteur d’harmonie, de quiétude, de beauté et d’équilibre. Osez découvrir le meilleur de vous-même et le partager. DE PLUS, durant cette journée vous apprendrez l’art de la méditation sous différentes formes dont voici quelques bienfaits : Réduction du stress, de l’anxiété, des douleurs chroniques; Renforcement du système immunitaire; Apport d’un sommeil réparateur; Diminution des troubles émotionnels; Amélioration de la créativité, de la mémoire et de la concentration et, encore plus. ATELIER D’UNE JOURNÉE DE 9 h À 17 h Dimanche le 24 novembre 2013 Où : 558, rang Bas-de-la-Rivière, St-Pie J0H 1W0 Coût : 100 $ par participant Nombre de places limité POUR RÉSERVATION & INFOS ADDITIONNELLES: 450-772-5594 Infos additionnelles : http://sites.rapidus.net/tendresse La pensée fait office de stimulus laquelle précède une action.Cette action devient un comportement et ce dernier, une habitude. C’est ainsi que l’on entend des « J’suis comme ça », puisque l’automatisme fait que l’on ne s’arrête pas pour en évaluer les conséquences.
Quand ces automatismes ne sont pas constructifs, ils peuvent occasionner bien des déboires. Pourquoi ne pas devenir un observateur impliqué et intéressé, ayant des aspirations élevées afin de construire un chemin de vie dont nous serons fiers. « Bonne est l'action qui n'amène aucun regret et dont le fruit est accueilli avec joie et sérénité. » Bouddha La souffrance, c’est un peu comme tomber dans des sables mouvants en putréfaction. C’est vraiment horrible, dégoûtant, et ça menace de nous engloutir. Il est normal de vouloir en sortir, et surtout de chercher à limiter au maximum le contact avec cette vase repoussante. Or plus on se débat, plus on s’enfonce! Bien que tous nos instincts nous soufflent de lutter pour en sortir, le seul moyen de ne pas couler serait de maximiser le contact avec la gadoue, de faire de la place à ce contact.
Je vous offre cette métaphore de Benjamin Schoendorff, Jana Grand et Marie-France Bolduc en souhaitant qu’elle parle à votre inconscient. Accepter ce qui est là au quotidien, nous permet de créer un espace de vie autre, de déployer nos ressources afin de vivre dans l’action et de penser un avenir révolutionné… rien de moins.
Le refus d’accepter, nous attache à ce qui fait mal générant colère, amertume, sentiment d’injustice, etc. Ce faisant, nous pensons à une vie qui tourne autour du ressentiment. Qu’est-ce qui en émergera? Si je sème des carottes, c’est ce que je récolterai. Logique me direz-vous. Pourtant, bien des gens diront « Oui, mais si je suis comme ça, c’est à cause… ». Pensant sincèrement qu’ils ont de bonnes raisons de rester dans le ressentiment. Malgré tout, notre potager intérieur aura la couleur de la culture que nous y faisons, bonne raison ou pas. Devant des situations problématiques persistantes, des douleurs chroniques, les personnes atteintes ont tendance à lutter contre cette souffrance ce qui est bien légitime, mais est-ce réellement aidant?
Toute leur attention est tournée vers ce qu’elles combattent. Elles ne voient pratiquement rien d’autre. Ce faisant, jour après jour, elles se butent à des résultats non satisfaisants. Ce combat est vain. Si elles travaillent sur l’acceptation afin de créer un espace de vie plus supportable et par la suite sur la réorganisation de leur temps vers l’accomplissement de valeurs qui sont importantes pour elles, il est à parier que le poids de leurs journées sera diminué. En conséquence,elles y verront plus clair et de trouveront la vie meilleure. Le soleil luira dans un ciel qui était très nuageux. |
AuteureDiane Beauregard L'art de vivre ici
et maintenant Editions Messagers des étoiles Chacun a la liberté de vivre joyeusement et pleinement sa vie ou de la subir. C’est un choix intime et personnel, qui est souvent inconsciemment adopté en fonction de nos conditionnements... L’invitation vous est faite de vous laisser inspirer et de créer un monde meilleur en le devenant vous-même, ici et maintenant. Le petit livre des grands pourquoi
Les Éditions « Messagers des étoiles » C’est une réflexion donnant des réponses à ces grandes questions existentielles allant de : Pourquoi la vie à Pourquoi la mort En passant par Pourquoi moi, Pourquoi la souffrance, Pourquoi pardonner, Pourquoi lâcher prise, Pourquoi développer des relations et Pourquoi croire au hasard Vivons, sans crainte,
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Février 2016
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