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Pardonnez et vivez mieux

30/4/2014

Pardonnez et vivez mieux

Ne pas pardonner ni à soi, ni aux autres, entretenir de la culpabilité, des regrets et des remords, rester accrocher au passé et ce, peu importe la souffrance vécue, alourdit notre vie.

Toutes expériences portent son lot d'informations, de connaissances, d'apprentissages. Une fois que l'on en a fait la cueillette, il ne sert plus à rien de les retenir, les revivant intérieurement. Ce faisant, nous nous nourrissons de peurs et créons des distorsions qui nous emprisonnent.

Une personne qui veut se libérer, développer sa capacité de vivre au présent et s'ouvrir à l'amour devra faire le choix d'accueillir ce que la vie lui propose et de se libérer du passé. Faute de quoi, malheureusement elle s'enfermera dans un vécu de souffrances.

Quelqu'un qui veut sincèrement accéder à la paix du coeur cessera de rapporter ses difficultés d'aujourd'hui à son histoire de vie.

Pardonner, c'est une clé nous ouvrant au bonheur maintenant.

Demain: Le pouvoir des mots, une histoire qui parle fort.

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Mon cerveau est-il comme une batterie ?

29/4/2014

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Notre cerveau est une véritable centrale d’activité. Il est le siège de nos émotions, nos réflexions, nos décisions , c'est un merveilleux organe. Il est constitué de neurones. Un neurone est une cellule nerveuse avec des prolongements. Notre système nerveux peut compter 500 milliards de neurones de différents types. Son fonctionnement et nos connaissances se modifient au fil de l'évolution humaine.

Une cellule du cerveau peut établir des liaisons avec 60 000 à 250 000 autres cellules. Au moyen de ces liaisons, le cerveau transmet les informations de neurone en neurone. Par le moyen des synapses qui relient les neurones entre eux.

C'est grâce à lui, nous nous souvenons, nous reconnaissons, nous comprenons et faisons des liens logiques. Si nous n’en prenons pas soin, il pourrait s’affaiblir. Cependant, un peu d’exercice mental parviendra à stimuler même les cellules les plus paresseuses. Servons-nous d' outils interactifs (plusieurs sites web nous en proposent) pour tester nos capacités mentales et soumettre notre cerveau à des séances d’exercice. Aussi, il est suggéré:

De faire des mots croisés, des mots cachés et autres;

Développer divers champs d'intérêt;

Impliquez-vous dans des organismes, le côté social est précieux;

Faites de nouveaux apprentissages;

Échanger avec des connaissances, des amis, des parents, provoquer des événements;

De l'exercice physique oxygène le cerveau, etc.

Encore une fois, il y a plusieurs façons de faire ainsi que diverses facettes d'activités qui contribuent à maintenir notre merveilleux cerveau en grande forme.

Contrairement aux piles qui s'épuisent à l'usage, notre cerveau lui accroît sa forme. N'hésitons pas à rester actifs, à développer notre curiosité et ce, peu importe les périodes de notre vie. S'asseoir devant le téléviseur n'est assurément pas ce qui gardera notre cerveau alerte.

Demain: Pardonnez et vivez mieux

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Faire échec au mauvais stress

28/4/2014

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Je peux intervenir sur ce qui se passe en moi-même afin de désamorcer une situation déstabilisante. Voici une façon efficace d'y arriver.

-C'est la façon dont je perçois la situation qui engendre une grande partie du stress. Je prends donc conscience que ma façon de voir est limitée. Personne ne détient le monopole de la vérité donc, ce faisant je sais qu'il y a d'autres interprétations et points de vue possibles et ce, pour chaque circonstance.

-Quand je suis tendu, je détourne immédiatement mon attention vers quelque chose qui me calme puisque de toute façon étant tendu, je ne suis assurément pas au meilleur afin de trouver des ressources pour faire face à ladite situation.

-Je me concentre sur ma respiration, je dénoue en imagination "les noeuds" qui se sont formés en regard avec la situation déstabilisante.

-J'établis un processus pour traverser la situation et je me concentre sur celui-ci au lieu de focaliser sur l'aboutissement. Je garde en mémoire que le stress surgit quand je veux contrôler l'issu de la situation, ce sur quoi je n'ai pas l'entièreté du pouvoir.

-Je fais au meilleur de mes possibilités et ce faisant, je me détache de mes vieilles habitudes mentales. On ne peut résister au flux de la vie cependant on peut le traverser et personnellement, je préfère le traverser debout au lieu de me laisser tirer ou envahir par les événements.

Demain: mon cerveau est-il comme une batterie ?

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Le système corps-esprit

24/4/2014

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Le système corps-esprit est complexe et les recherches ne cessent de nous en apprendre sur son fonctionnement. À titre d'exemple, l'impact des mots qui discréditent dont on nous qualifie, que l'on reçoit, se dit à soi-même est pris à la légère et pourtant.

Notre système corps-esprit s'organise autour de nos expériences verbales et de nos pensées. Des paroles blessantes peuvent produire des effets durables autant sinon plus qu'un traumatisme physique vécu, car notre être se crée à partir de mots, de représentations.

Penser à un citron provoque une salivation comme si les molécules du jus de citron s'inséraient à l'intérieur des récepteurs de nos papilles gustatives, qui envoient un message au cerveau, activant des réponses en direction des glandes salivaires. Rien qu'en y pensant, il y a une réaction en chaîne. Le citron bien qu'il ne soit pas réel est transformé en une chose concrète et notre système y réagit.

Se trouver laid, inadéquat, le verbaliser en parlant d'expériences qui n'ont pas eu l'issu souhaiter. Entendre ce genre de mots d'une personne significative ou des, je t'aime ou je te déteste, ou c'est merveilleux ce que tu fais quel talent tu as ou arrête de faire le fainéant, etc. fait assurément une différence. Tout notre système s'ajuste, se modèle à ces mots.

Le langage dont nous usons pour parler de nous-mêmes ou des autres est d'une extrême importance, car il se manifeste, prend forme et nous modélise, nous "formate".

Lundi: Faire échec au mauvais stress

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L'amour-haine

23/4/2014

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Comment ces deux contraires peuvent-ils vivre en nous et que nous y basculions si facilement?

Nous prétendons aimer (conjoint, parents, etc.) d'un amour différent certes, mais tout de même d'amour. Et pourtant, quand l'un fait des faux pas, nous déçoit, ne répond pas à nos aspirations ce n'est pas long que l'on applique le châtiment... mépris, dénigrement, haine.

Quand la "coupe" est pleine, nous changeons de partenaire ou "mettons à l'index ce mauvais, ce pas d'allure". Nous nous éloignons des personnes ne répondant pas à nos attentes. Nous boudons les enfants et sommes très créatifs à trouver des moyens d'exprimer notre désaveu.

À la définition du dictionnaire au mot amour, on y trouve "attachement intense". Quant à l'amour humain inconditionnel que l'on se targue de vivre, j'ai trouvé sur le net cette définition: c' est un amour qui a vaincu toutes les peurs et les besoins liés au mental comme la jalousie, le besoin d'être aimé, la peur de la mort. Cet amour donne sans retour, mais il ne donne pas toujours comme il faut et peut vouloir aider autrui et pourtant l'affaiblir, le plonger davantage dans l'illusion.

Se peut-il que si nous voulons aimer , aimer vraiment, nous aurions intérêt à abandonner nos vieilles habitudes et chercher le bonheur ainsi que la paix du coeur autrement que d'imputer cette responsabilité à nos proches?

Demain: le système corps-esprit

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Quand le vent tourne

22/4/2014

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Nous les humains avec notre compréhension des choses, faisons notre possible. Parents présents au meilleur de ses capacités, travailleurs consciencieux, conjoints aimant et le manifestant comme chacun peut le faire, etc.

C'est ainsi que le quotidien s'installe. Chacun vivant ses rôles, comme il le perçoit étant souvent, comme sur le pilote automatique.

Quand le vent tourne. Ce qui a toujours été admis ne l'est plus. L'on apprend même que notre façon de nous proposer dans notre rôle a blessé, heurté, déçu. Pourtant, rien n'avait été clairement verbalisé. Il y avait bien à l'occasion quelques remontrances, sans plus.

D'un vent relativement confortable, on passe à un vent du nord fort, froid et parfois impitoyable lequel glace les veines.

Tout ce que l'on a proposé n'a pas été reçu, a été dédaigné et secrètement jugé défavorable. Une tempête nous tombe dessus.

C'est l'affolement, la remise en question sans y percevoir de réel issu. La première réaction est de se démolir se trouvant tellement médiocre et/ou parfois ça fait si mal que la personne accusée de tous les maux attaque pour ne plus ressentir sa douleur. La culpabilité elle, ne manque pas de s'incruster.

Au lieu de cela, il est temps d'accueillir les récriminations et s'intérioriser pour mieux y voir clair. Regarder la situation avec lucidité, cherchant à comprendre, à s'expliquer le sens des propos reçus non en se dénigrant puisque cette voie en est une de cloisonnement.

Il nous faut aussi comprendre que la personne accusatrice même si elle a crié son désarroi d'une manière rude, elle aussi fait comme elle peut.

Avec cet a priori, il est temps de voir s'il est possible de reconstruire différemment ce qui a été dénoncé. On ne peut refaire le passé, mais on peut changer à compter de maintenant. Il arrive qu' une relation soit trop "usée" et ne s'en remette pas. Si tel était le cas, il est essentiel de tenir compte de ce qui a été, faire notre deuil, se pardonner tout en regardant en avant en réajustant ce qui peut l'être.

Gardons toujours en mémoire, qu'une relation c'est important. Ne banalisons pas notre façon de nous proposer. Osons nous regarder en face avec bienveillance et courage.

Demain: L'amour-haine

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Le conditionnement face au vieillissement

17/4/2014

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Chaque étape de vie comporte ses défis. Les changements sont nombreux et demandent de l'adaptation.

Les étapes d'un enfant qui commence à marcher, aller à l'école, arrive à l'adolescence, devient jeune adulte, etc. sont vues comme une percée.

Mais qu'en est-il du troisième âge ?

Pour plusieurs, c'est l'abandon de leur métier, leur profession. Un monde dans lequel ils se sont valorisés y ont développé un réseau. Leur mode de vie gravitait largement autour du travail.

Quand ces changements surviennent, certains passent par un bref soulagement pour "tomber dans un vide", car la retraite est perçue de prime abord comme la liberté. Mais quand rien d'autre n'a été préparé, le vide se fait lourdement sentir, accompagné d'un sentiment de dévalorisation.

Céder à cet état et se laisser "s'éteindre", sans développer d'autres intérêts entraîne l'ennui, la maladie et le vieillissement précoce. Il est donc important de se redéfinir, d'avoir des projets si minimes soient-ils, s'y consacrer et prendre le temps de goûter bon chaque instant de la vie au lieu de les gâcher en plaintes et lamentations.

Méditons ces paroles de Félix Leclerc: "C'est pas parce qu'on est un vieux pommier qu'on donne de vieilles pommes."

Mardi: Quand le vent tourne

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Des contaminants

16/4/2014

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L'intention de ce que vous désirez est un signal que vous envoyez dans le champ quantique lequel attire à vous ce que vous souhaitez. Tout le monde est doté de ce privilège.

Pourquoi alors vous retrouvez-vous dans des situations difficiles, de façon répétitive?

La vie est la vie, il y aura des défis c'est un fait, mais pourquoi être régulièrement dans les tracas?

C'est qu'il y a des contaminants qui entravent votre intention. Ceux-ci vous les ressentez fortement, ils prennent la place de votre intention de vivre ceci ou cela.

L'inquiétude, le doute et l'incertitude en lien avec ce que vous souhaitez interfèrent. C'est comme commencer la construction d'un édifice en alignant des briques et du mortier et y donner des coups faisant tomber la structure.

Spécial me direz-vous, mais tout à fait vrai. Pour édifier ce qui vous tient à coeur, pour ceux et celles qui ne savent pas faire d'autohypnose, mettez-vous dans un état de détente, débranchez le téléphone, visualisez ce qui vous tient à coeur, simplement. Vivez-le, ressentez-le comme si c'était déjà là, goûtez-en la satisfaction, remerciez l'univers de collaborer simplement à cette réalisation.

Faites-le naturellement, sans forcer. Le brin d'herbe ne force pas pour pousser, il pousse. La graine mise en terre ne se force pas pour germer, elle germe. Il en est de même pour ce que vous désirez.

Quand des messages négatifs, doutes, incertitudes, inquiétudes surviennent au lieu de leur prêter attention, soyez comme un agent de circulation et redirigez-les vers la sortie.

Retrouvez votre état de paix et de confiance sachant que ce que vous appellez, vient.

Demain: Le conditionnement face au vieillissement

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Le refus de choisir un nouveau chemin

15/4/2014

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Parfois l'expérience vécue peut nous faire prendre conscience davantage que la théorie. J'ai donc pensé vous relater ce parcours. Il y a quelques années quand je pratiquais à Montréal, une personne brillante, intelligente est venue en consultation. Comme beaucoup d'entre nous, elle avait eu une enfance difficile dans un milieu de vie rude et austère.

Cette femme a eu des enfants de partenaires différents. Ces enfants ont, à leur tour, grandi au travers des relations cahoteuses. Le stress faisait partie de son quotidien puisqu'elle ne se positionnait pas clairement, laissant les situations se détériorer. Elle espérait que ça s'arrange avec le temps .

Ce qui semblait lui réussir était son travail. Elle dirigeait, selon ses dires, un commerce lucratif et était entourée de bons employés. Elle comprenait et verbalisait qu'elle devait faire des choix afin de redresser la barre de sa vie personnelle puisqu'elle se disait très malheureuse dans sa relation de couple et les enfants devenus de jeunes adultes consommaient des substances avec toutes les dérives associées à la drogue. Violence et manipulation complétaient le tableau de la vie au foyer.

Au lieu de faire des choix, par peur de faire de la peine tant aux enfants qu'à son conjoint, elle s'est mise à compenser en entretenant une relation clandestine avec un partenaire qui était aussi engagé et dont elle connaissait très bien la conjointe. Nous avions parlé de cette situation qui ne pouvait que mener à davantage de déchirements et de souffrances et qui n'était nullement une solution, bien au contraire. Ils ont poursuivi.

Un jour, ils ont été découverts. Cette relation jusque là inavouée a engendré des dommages collatéraux importants dans les deux familles en plus de la honte, du stress et de la culpabilité pour elle. Pour lui, je ne sais pas, mais elle était démolie. Comme si, quelque chose venant de nulle part lui était tombé sur la tête. Elle était suivie par son médecin, il l'envoya vers un psychiatre, lequel l'a diagnostiquée selon ce qu'elle m'a rapporté, étant dans un état anxieux sévère et l'a fortement médicamentée.

Ce fut comme une bouée. Elle avait un rempart pour se mettre à l'abri. Enfin..."c'est à cause de l'état d'anxieux sévère dont elle souffrait que tout ça s'est produit" disait-elle. Son discours faisait peine à entendre puisqu'elle rejetait toute responsabilité suite au déroulement des événements. Elle n'y était pour rien puisque c'était à cause de "sa maladie". Tout a continué à dégringoler, dépression, état de panique, arrêt de travail, etc.

Elle est restée avec son conjoint dont selon ses dires, elle méprisait cet homme qu'elle qualifiait de sobriquet peu édifiant. Le commerce a fait faillite. Évidemment, je ne sais pas où elle en est présentement. Moi qui l'ai eu momentanément en consultation, je reste convaincue que si les décisions à prendre l'avaient été, la suite de sa vie aurait été différente. Le cours des choses n'est pas toujours aussi extrême, mais ce n'est pas en écartant les problèmes ou les contournant que notre vie s'harmonise. Changer est rarement facile mais en avoir le courage permet d'allumer la flamme de l'espoir en vue de jours meilleurs.

Sur notre chemin, nous sommes souvent devant un carrefour nous invitant à prendre un autre embranchement ou on peut rester sur le chemin de l'aveuglement. Le choix que l'on fait ou refuse de faire fera une différence énorme. "Oser, c'est perdre pied momentanément. Ne pas oser c'est se perdre soi-même." Soren Kierkegaard

Demain: des contaminants

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La prodigieuse force d'amour et de résilience de l'humain

14/4/2014

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J'ai lu le livre "Quand l'ÉVEREST nous tombe sur la tête" . Ce récit de Marie-Sol St-Onge qui a dû se faire amputer des quatre membres ayant eu la bactérie mangeuse de chair.

Édifiant, pour elle, son conjoint Alin et leurs deux fils.

Un mal de gorge, une pseudo gastro et en quelques jours la voici propulser dans un tourbillon inqualifiable ayant comme issu l'amputation de ses quatre membres.

Au fil de nos conversations, il n'est pas rare que quelqu'un traversant des difficultés se pose la question...pourquoi moi?

Ce jeune couple heureux qui se réalise au travers leurs aspirations profondes, s'aimant et aimant tout autant leurs fils, famille sportive, amoureux de la nature, entourée de proches dont émanent des relations authentiques... Pourquoi?

Il n'y a pas de réponse à ce pourquoi. Comme, il n'y a de réponses pour personne à cette question.. Ce qui est...est. Ce qui se produit, se produit et demande à être traversé.

Avancez un pas à la fois même avec des jambes artificielles, s'accrochez et croire, croire et croire encore qu'il y aura des éclaircis suivit de beau temps après cette période, longue période de grande noirceur. Voilà un chemin de résilience, d'amour et de courage dont Marie-Sol et son conjoint Alin, nous font mention au travers la période impitoyable qu'ils viennent de vivre.

Je vous cite un passage: "Si notre récit peut aider une personne à prendre conscience que ses capacités, ses passions et l'espoir en la vie peuvent la propulser à des sommets inespérés, il aura valu la peine de partager notre état d'esprit et notre recette toute simple du bonheur..."

Je vous suggère ce récit édifiant.

Demain: le refus de choisir un nouveau chemin

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Auteure

Diane Beauregard
26 ans d'expérience. Consultation en naturopathie, relation d'aide, hypnothérapeute, Coach de vie, Mp PNL

L'art de vivre ici
et maintenant

Editions Messagers des étoiles

Chacun a la liberté de vivre joyeusement et pleinement sa vie ou de la subir. C’est un choix intime et personnel, qui est souvent inconsciemment adopté en fonction de nos conditionnements...

L’invitation vous est faite de vous laisser inspirer et de créer un monde meilleur en le devenant vous-même, ici et maintenant.

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Pourquoi la vie à Pourquoi la mort
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Vivons, sans crainte,
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