Diane Beauregard, coach de vie, auteure et conférencière
  • Blogue
  • A-propos de l'auteur

Ces sentiments de mépris

30/1/2014

1 Commentaire

 
Il arrive que dans une famille, une personne ne sente pas qu’elle ait sa place. Elle ne se sent ni acceptée, ni considérée, ni aimée. Sa perception engendre son ressenti, lequel est sa vérité et se transforme en colère, beaucoup de colère.

Au fil du temps cette colère lourde, incessante qui lui fait si mal se tournera vers ses parents, envers elle-même ou vis-à-vis des autres. Elle ne restera pas à l’état latent, c’est trop fort.

Se laissant gérer par cette colère, ce mal-être (comme un refus d’être), il est alors tentant de « taper sur le clou » du passé. C’est
compréhensible de se dire : ah! si j’avais été plus ceci et cela » saurait été tellement plus facile, j’aurais senti que j’étais désirée, aimée. 
 
Cependant, puisque la personne a grandi, il lui revient de se mettre en paix avec son vécu, de s’en libérer. De valoriser le courage dont elle a fait preuve consciemment ou non, afin de traverser ces années en l’absence d’un amour senti. 

Aujourd’hui, c’est à elle de se donner de meilleures conditions. Décider d’être l’Apprenti  Sage de ce qu’elle n’a pas expérimenté au sein de sa famille. 

Il est faux de prétendre que l’on ne peut donner ce que l’on n’a pas reçu. Il est vrai par ailleurs, que l’on ne peut donner ce que l’on ne se donne pas. Tout commence par soi. 

Ce soi qui se comble…peut venir des autres et peut tout aussi bien venir de soi. Aucune personne n’est au prise avec une réalité qu’elle ne peut transcender, surpasser, dépasser. 

Pour ce faire, s’accueillir là où elle est. Prendre en charge son devenir avec amour, persévérance et confiance, voilà une clé menant à une vie harmonieuse.  
 
Lundi à votre demande: Exercice d’apprentissage pour vivre au présent  


1 Commentaire

L’hypnose, mais qu’est-ce que c’est?

29/1/2014

1 Commentaire

 
L’hypnose intervient sur des processus de communication entre le corps, l’âme et l’esprit afin de rétablir l’équilibre. C’est un état modifié de la conscience et du psychisme. Ça n’a rien à voir avec le sommeil puisqu’en état hypnotique le cerveau est hyper-concentré sur des images, des pensées, des sons qu’il fournit, lesquels sont intensifiés par le guidage de l’hypnothérapeute. Durant ce processus, le client est concentré sur cette réalité intérieure. 

Le client privilégie l’énorme pouvoir de l’imaginaire qui par différents scénarios, initiés par l’objectif et son expérience, se construisent au fur et à mesure que la séance évolue faisant abstraction de sa conscience rationnelle. 
 
Lors de ce travail hypnotique, c’est l’inconscient qui gère et ajuste différentes fonctions de l’individu. 

Chaque client a son modèle du monde, c’est fascinant. Une même problématique pour se résoudre trouvera différentes voies, selon l’imaginaire particulier du client.

Les dérèglements :

L’humain a des défenses naturelles lesquelles sont mises à mal quand il est soumis à du stress récurant, des agressions, des chocs ce qui engendre débalancement, maladies, replies, misères intérieures lesquels dégénèrent en troubles psychosoma-tiques,dépendances et/ou comportements inadaptés. 
 
Ce que nous vivons, décrypté par des déductions inconscientes subjectives, s’inscrit dans notre corps, notre âme et notre esprit. 

La communication symbolique, métaphorique introduite lors de l’état hypnotique stimule l’inconscient afin qu’il change les données apportant les résultats espérés.

 L’état hypnotique :

En état hypnotique, le client est amené à symboliser la situation. L’hypnothérapeute accompagne le client amplifiant ce qui est présenté par celui-ci, bonifiant son processus avec des métaphores adaptées à la situation. Ce déroulement transfor- me l'information encodée, permettant ainsi une désaliénation. 

Quelques données :

L’état hypnotique est agréable et détendant. Celui-ci n’a rien à voir avec l’hypnose de scène.

Toute suggestion susceptible de choquer les valeurs morales ou religieuses entraînerait automatiquement un refus de l’inconscient et un arrêt immédiat du processus. 
 
L’hypnose n’est pas le sommeil donc on ne peut pas, ne pas se réveiller comme appréhendé par certaines personnes. L’état hypnotique non entretenu se dissiperait de lui-même après quelques minutes. 

L’hypnose n’est pas un coup de baguette magique. Certaines situations demanderont quelques séances afin que s’installent de nouveaux apprentissages libérateurs et bénéfiques. Par ailleurs, c’est une technique rapide et efficace.

L’hypnose est un prodigieux facilitateur pouvant intervenir dans toutes les sphères de l’individu. C’est un levier incroyablement puissant.

Une fois admis par le client que l’inconscient ou une partie de son inconscient est capable d’aller vers un processus de libération, de guérison, le puissant levier est prêt à agir. 
 
L’hypnose n’est jamais un rapport de force, ni de pouvoir sur le client. 

L’équipe gagnante :

1)      Le client voulant sincèrement changer, confiant et s’abandonnant à l’exercice.
2)      L’hypnothérapeute agissant comme guide.
3)      L’inconscient comme chef de file.

 « C’est un défaut de tout croire, c’en est un autre de ne rien croire. »   Sénèque

Demain : Ces sentiments de mépris

1 Commentaire

 La souffrance, un système d’alarme 3e de 3

28/1/2014

1 Commentaire

 
Comme mentionné dans le précédent billet, voici un exercice simple pour écouter vos ressentis. Il se peut que vous deviez la pratiquer un certain temps avant de développer votre écoute intérieure, mais ça vaut la peine de persister. 

Cette même technique pratiquée régulièrement peut grandement aider les gens stressés à se libérer et être plus efficace pour faire face aux aléas du quotidien.

Exercice permettant au système sympathique et parasympathique de fonctionner en équilibre.

Débrancher le téléphone. Ce moment vous appartient.

►Position allongée (confortable le plus possible) fermez vos yeux
►Paumes des mains vers le bas
►Bras légèrement écartés
►Petits coussins sous les genoux
►Couverture sur les jambes (dépendamment de la saison)
►Fermer les yeux
►Intérieurement vous vous dites « je suis calme, détendue et tranquille… »
►Maintenant, vous répétez intérieurement « mon bras droit est lourd, mon bras droit est looourd…mon bras droit est loooouuuuurd…!
►Apparaîtra avec un peu de pratique un relâchement qui sera ressenti.
►Maintenant, vous répétez intérieurement « mon bras gauche est lourd, mon bras gauche est looourd…mon bras gauche est  loooouuuuurd…!
►Maintenant, vous répétez de la même façon « mes jambes sont lourdes, mes jambes sont looourdes…mes jambes sont  loooouuuuurdes…!
►Progressivement cette lourdeur va se communiquer au dos, à la nuque et aux épaules
►Vous répétez maintenant « mon cœur bat calmement » « mon plexus est inondé de chaleur » « mon corps respire librement et,« mon front est agréablement rafraîchi » 
 
Pour l’écoute du ressenti : 

Lorsque vous êtes bien détendu, vous laissez émerger la situation qui vous préoccupe et restez bien à l’écoute de ce qui l’accompagne, image…son…message … sans rien analyser. Simplement, laissez être, observez. Vous pourrez par la suite, honorer ce message, y donner une suite comme vous le ressentez, simplement.
 
Pour une détente bénéfique et un nouvel élan :

Vous profitez de ce moment de détente et restez pleinement présent à cette détente.
   
Vous terminez en vous étirant comme un chat. Ressentez tout le relâchement des muscles de votre corps, la connexion que vous venez d’établir avec votre centre et/ou votre partie blessée. Avant d’ouvrir les yeux, prenez trois grandes respirations. 

L’idéal est de faire cet exercice 3 fois par jour.

Durée de l’exercice de 2 à 4 minutes. Version abrégée d’un exercice inspiré par le Dr Godin et par l’autorelaxation de Schultz. L’efficacité a été démontrée.
1 Commentaire

 La souffrance, un système d’alarme 2e de 3

27/1/2014

0 Commentaires

 
Comment éveiller ce ressenti en rapport avec une situation, une personne ou un objet en particulier?

Comment être à l’écoute du message quand l’on a l’impression de ne rien ressentir?

Pour ce faire, la personne se met dans un état de relaxation  (dans le prochain billet, je vous donnerai une méthode simple et efficace pour ce faire) et amène son attention tout simplement sur la situation, la personne ou l’objet en particulier.

La personne laisse émerger. Il y aura graduellement un ressenti. Celui-ci n’est pas d’ordre intellectuel. Selon votre modèle du monde, il se présentera à partir du ou des sens qui sont le plus parlant pour vous. Il pourra prendre la forme d’une musique, un goût, une image particulière, comme un quelque chose vous procurant une sensation plus ou moins intense qui aura pour vous une résonnance. 

Déjà, la personne se rend compte que ce ressenti à une« vie qui lui est propre » de par sa façon de se présenter, son intensité. Doucement en observant, un mot, un message, une certaine perception lui seront transmis par cette écoute intérieure. 

Aussitôt observé dans sa forme et dans son message, ce ressenti a déjà commencé à se transformer simplement par le fait d’être reçu, entendu et reconnu. Avec un peu de pratique, vous pourrez ressentir un mouvement corporel de relâchement lié à cette prise de conscience. 

Par la suite, vous pourrez envisager, au besoin, des façons  d’honorer, d’amener ce message vers un aboutissement qui fait sens pour vous. Dès lors, vous pourrez re que la partie souffrante est en processus de guérison.
0 Commentaires

La souffrance, un système d’alarme 1e de 3

23/1/2014

1 Commentaire

 
Souffrance et douleur ne sont pas à rejeter mais à écouter. Je vous parlais précédemment d’être attentifs à ces petites phrases que vous prononcez dans lesquelles, vous prenez comme « échappatoire » le fait d’éprouver douleur et souffrance vous autorisant à décliner une invitation, une responsabilité ou autre.

En questionnant mes clients sur leurs problèmes de santé, ils conscientisent que ceux-ci leur permettent de ne pas faire face au quotidien, qu’ils trouvent lourd. Certains se sentent coincés par la maturité qu’en principe ils devraient avoir acquis à cause de leur âge et qu’ils considèrent insuffisante pour faire face aux défis de la vie ou par peur d’échouer, de décevoir, etc. Les raisons inconscientespeuvent être de tous ordres.

Se terrer, se mettre en p’tite boule dans son coin pendant un temps est parfois commode. Tôt ou tard cependant le rythme de la vie va les rappeler. 

Que faire quand on a identifié ce qui nous tenaille?  Parfois changer notre perception, nos paroles, nos pensées, nos aspirations, répéter une phrase positive pourra apporter un certain apaisement. Par ailleurs, colorer le crémage du gâteau va parer celui-ci d’une nouvelle apparence, mais si le gâteau lui-même est altéré, il n’en sera pas meilleur. 

Qu’on se le dise, le temps seul ne va pas venir à bout de ce mal-être. Parfois, il faut creuser afin de déloger les croyances, les images identitaires qui nous sont collées à la peau et les transformer.
1 Commentaire

Votre médecin personnel

22/1/2014

1 Commentaire

 
Alerte, éclairé, nul besoin d’attendre des mois pour avoir votre rendez-vous. Il vous est fidèle et vous passe des messages.Votre
corps…

Il y a généralement un sens profond lié au dysfonctionnement du corps. Nous ne sommes pas habitués à être à l’écoute et avons tendance à banaliser ces messages qui viennent de l’inconscient.

Dernièrement, j’ai conversé avec une personne pour laquelle j’ai beaucoup d’estime. C’est une personne de cœur qui tout au long de sa vie, s’est donnée pour les autres sans restriction. 

La maladie s’est installée fortement. En jasant, cette personne me parle d’un problème familial annoncé, s’empressant d’ajouter qu’avec son état de santé, elle ne pourra remédier à ce problème. 

Je lui réplique qu’elle n’avait pas besoin d’un problème de santé important afin de ne pas se porter « volontaire » pour cette prise en charge. En continuant la conversation, il ressort qu’on a toujours tellement compté sur elle, qu’elle se sentirait coupable de ne pas assumer cette nouvelle charge sans raison valable. 

Il est à présumer que son corps agit comme un moyen la protégeant de ces possibles autres responsabilités. Si elle ne décide pas de se respecter, d’assumer de dire non par choix et sans culpabilité, de se défaire de cette étiquette de « personne responsable devant résoudre les problèmes familiaux », son état de santé continuera à se détériorer.  
 
Avec sa permission, je me permets de lui en faire la remarque.  Laquelle a semblé être très banale à ses yeux et pourtant ces petites phrases qui semblent anodines du genre « tu sais maintenant avec « tel problème de santé » j’peux pu ». Pourquoi ne plus vouloir avant de ne plus pouvoir? Là est toute la question. OSER DIRE NON. OSER ÊTRE À L’ÉCOUTE DE CE QUE L’ON SENT
VRAI.

Le corps parle, il ramène la personne à elle afin qu’elle puisse réaliser ce qu’elle pourrait changer afin de sortir des sentiers
qu’on lui a tracés,  jonchés de peurs de toutes sortes et d’étiquettes dont on a été affublées, d’héritage contraignant légué par nos ancêtres, etc.

Ce n’est qu’un exemple, je pourrais en citer des centaines. Au cours de ma pratique, souvent tout était d’une grande évidence, mais la personne préférait mettre ça à couvert, ne voulant pas envisager de SE prendre en charge et oser faire ce qu’elle sentait vrai. Je ne dis pas que c’est facile de faire de l’introspection et de se mettre par la suite en action, mais c’est faisable et souhaitable. 

Après avoir entendu ces messages du corps, reste un travail de réharmonisation afin d’entrer en résonnance avec notre moi véritable.    
1 Commentaire

Qu’est-ce qu’une faiblesse pour nous humains?

21/1/2014

1 Commentaire

 
J’ai beaucoup réfléchi à cette question que l’on m’a posée. Les mots étant limités, j’espère dans ce contexte pouvoir bien vous refléter ma pensée. 

Quand l’on s’observe, on réalise parfois que nous émettons bien des principes, mais ne les appliquons pas toujours. 

Est-ce là une faiblesse? L’humain étant de par nature imparfait, un être inachevé, il aura des égarements. Parfois, il aura énormément de difficultés à lâcher prise, à être fidèle à ses aspirations, à titre d’exemple. 
 
Vivre permet d’évoluer, d’être plus présent à ce qui est, à servir la vie au meilleur de soi-même. Si nous sommes observateurs de nos modes de fonctionnement et avons à cœur de redresser la barre quand on dévie de la route que l’on voudrait honorer, on est déjà sur une bonne piste.

Quand on éprouve de la difficulté, que l’on a essayé plusieurs fois et que les résultats ne sont pas probants, on peut choisir de se traiter avec considération, de relever la tête, reprendre notre « bâton de pèlerin » et essayer encore.  Sans complaisance, restons dans une attitude d’éveil et compatissante envers soi-même sans se mésestimer. Puisque tout commence par soi. Il est essentiel de se pardonner et être fier à tout le moins de persévérer.  

La faiblesse pour moi est davantage associée à une faiblesse de cœur, d'inconscience.  C’est se présumer meilleur, accompli,  se croire au-dessus des autres, les chosifier  et ce, peu importe le pouvoir que la société reconnait à la personne.  C’est de ne pas avoir l’humilité de demander et d’accepter de l’aide. La faiblesse, c’est de ne pas être conscient que nous sommes tous interreliés, que nous sommes invités à participer à cette grande œuvre qu’est la création pour en faire un monde meilleur.
1 Commentaire

Changer, se motiver, se dépasser 3e de 3

20/1/2014

2 Commentaires

 
Pour changer, il est impératif d’avoir une attitude d’ouverture puisque changer peut au début donner l’impression de perdre. En fait, la satisfaction immédiate n’est plus, ni même ce laisser aller à une pulsion que nous avions intégrée comme mode de fonctionnement laquelle tôt ou tard nous indisposait mais sur le coup, nous donnait un sentiment de « satisfaction ». 
 
Changer, c’est d’aller vers une exaltation nouvelle dont on ne connaît pas encore les bienfaits  au lieu, de céder aux vieilles habitudes qui jusque-là, dominaient, tenaient la personne en otage, l’amenaient en bout de ligne à se sentir coupable. La personne fait de nouveaux apprentissages, diffère ses satisfactions.
 
Ce qui peut l’aider davantage à fortifier tout ce processus, c’est de symboliser son objectif par un petit objet qu’elle traîne avec elle. Celui-ci devient comme un rappel, un ancrage de cette belle victoire qui lui tend les bras. 

De plus, on peut ajouter une phrase que l’on se répète régulièrement et particulièrement quand l’on se sent faiblir dans l’genre.  J’suis capable de réussir, oui! oui! oui!. 

La répétition de cette phrase; le cinéma du défi relevé; le symbole qui l’accompagne tout au long du processus…avec un tel bagage et la volonté ferme d’y arriver. C’est gagnant. 
 
Fais-toi confiance,  t’es capable.
2 Commentaires

Changer, se motiver, se dépasser 2e de 3  

16/1/2014

1 Commentaire

 
La motivation, c’est comme le carburant d’une voiture. Sans celui-ci, elle n’ira pas bien loin. Sans motivation, il est à prévoir que le changement se fera difficilement et ne va pas s’intégrer.
 
La transformation à laquelle j’aspire doit répondre à un idéal qui me tient à cœur et que je veux vraiment.  Qu’est-ce qui me fait tant vouloir, ce que je veux vraiment? Il y a toujours une intention cachée derrière un désir de changement. Quelle est-elle?
 
Ex. : une personne veut perdre 10 livres. Ce qui la motive, c’est d’entrer dans son maillot de bain. Quand elle s’ennuie, elle grignote et prend du poids. Elle veut le perdre maintenant à la venue de l’été. Ce n’est pas une forte motivation. 
 
Par ailleurs, devant le même défi, une personne peut espérer vivre une grande fierté d’avoir su trouver d’autres moyens pour vaincre l’ennui. Quand elle y pense, elle ressent et se voit s’épanouir au fur et à mesure qu’elle avance vers l’atteinte de son poids idéal. Cette personne sera supportée dans son parcours par une motivation plus énergique, puisqu’au travers son processus, elle exerce des améliorations à plusieurs niveaux de son être tout en se libérant de cette dépendance. 
 
Quand la motivation n’est pas élevée, le parcours qui mène au changement apparaît comme un effort. Chaque jour, l’effort devient de plus en plus ardu. Ce faisant, la personne a l’impression de perdre quelque chose. De fait, elle n’éprouve plus son plaisir immédiat qui lui donne une sensation de combler le vide provoqué par l’ennui selon l’exemple que je vous propose.
 
Par ailleurs, quand elle a une motivation supérieure, son parcours devient un moyen de relever un défi qui l’ennoblit. Chaque jour, la personne cumule de petites victoires qui lui donnent une nouvelle satisfaction, une fierté d’elle-même, un sentiment d’avoir du pouvoir sur ce qu’elle vit ce qui est réel.
1 Commentaire

Changer, se motiver, se dépasser 1e de 3

15/1/2014

1 Commentaire

 
Comment puis-je changer? Cette question vous me l’a posée. Voici une manière extrêmement efficace, vous permettant d’aller vers ce qui est important pour vous. 

Aller vers le changement implique quelques préalables. D'abord, il est aidant de répondre à ce genre de questions :
 
Qu’est-ce que je veux vraiment?
En quoi ce changement sera bénéfique?
De quoi, ce changement me permettra de me défaire et qui n’est plus bon pour moi?
Quelles sont les ressources dont je dispose actuellement pour amorcer ma démarche?
Combien de temps, je me donne pour accomplir ce défi?
Est-ce que ce temps est réaliste et écologiquement envisageable?
Quelles seront les étapes de cette nouvelle réalisation?
Quel sera mon premier pas et le suivant?
Comment je vais suivre et célébrer l’accomplissement de chaque étape?

Par la suite, il est important de sentir, se voir, de se laisser imprégner de ce changement comme s’il était déjà réalisé.
 
Vous devenez cinéaste et acteur de ce rôle principal. Vous êtes la vedette de cette projection dans laquelle vous vivez votre nouveau scénario. Jour après jour, vous allez rejouer ce scénario. Une solide préparation est en cours, c’est merveilleux.

Et puis, cette démarche se doit d’être soutenue par une motivation.
1 Commentaire
<<Précédent

    Auteure

    Diane Beauregard
    26 ans d'expérience. Consultation en naturopathie, relation d'aide, hypnothérapeute,  Coach de vie, Mp PNL

    Photo
    L'art de vivre ici 
    et maintenant

    Editions Messagers des étoiles

    Chacun a la liberté de vivre joyeusement et pleinement sa vie ou de la
    subir. C’est un choix intime et personnel, qui est souvent inconsciemment adopté en fonction de nos conditionnements...

    L’invitation vous est faite de vous laisser inspirer et de créer un monde meilleur en le devenant vous-même, ici et maintenant.


    Photo
    Le petit livre des grands pourquoi 
     Les Éditions « Messagers des étoiles »


    C’est une réflexion donnant des réponses à ces grandes questions existentielles allant de :
    Pourquoi la vie  à  Pourquoi la mort
    En passant par Pourquoi moi, Pourquoi la souffrance, Pourquoi pardonner, Pourquoi lâcher prise, Pourquoi développer des relations et Pourquoi croire au hasard



    Photo
    Vivons, sans crainte,
    le meilleur de nous-mêmes
    Les Éditions « Messagers des étoiles »

    Vous aimeriez acquérir des moyens pour vivre mieux au quotidien, développer des relations saines et guérir des séquelles du passé.

    Ce livre vous en propose
    Pour commander-
    Boutique en ligne:

    http://messagersdesetoiles.com/boutique/
    ou auprès de l'auteure


    Archives

    Février 2016
    Janvier 2016
    Décembre 2015
    Novembre 2015
    Octobre 2015
    Septembre 2015
    Mai 2015
    Avril 2015
    Mars 2015
    Février 2015
    Janvier 2015
    Novembre 2014
    Octobre 2014
    Septembre 2014
    Juin 2014
    Mai 2014
    Avril 2014
    Mars 2014
    Février 2014
    Janvier 2014
    Décembre 2013
    Novembre 2013
    Octobre 2013
    Septembre 2013
    Juin 2013
    Mai 2013
    Avril 2013
    Mars 2013
    Février 2013
    Janvier 2013
    Décembre 2012
    Novembre 2012
    Octobre 2012
    Septembre 2012
    Août 2012
    Juillet 2012
    Juin 2012
    Mai 2012
    Avril 2012
    Mars 2012

    Categories

    Tout

    Flux RSS

Propulsé par Créez votre propre site Web unique avec des modèles personnalisables.