Je vous souhaite un bel été teinté de repos, de contacts avec la nature, de temps afin de cultiver vos belles amitiés sincères et tout ce à quoi votre coeur aspire.
Merci d'être là et de participer à embellir la vie.
Diane Beauregard, coach de vie, auteure et conférencière |
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Je serai en période de ressourcement pour l'été. N'hésitez pas à me faire part de vos suggestions pour cet automne.
Je vous souhaite un bel été teinté de repos, de contacts avec la nature, de temps afin de cultiver vos belles amitiés sincères et tout ce à quoi votre coeur aspire. Merci d'être là et de participer à embellir la vie.
1 Commentaire
Il est donc de la responsabilité de chacun de se prendre en main avec intégrité. Quand nous prenons conscience que nous voulons maquiller la réalité, il serait plus que souhaitable de s'arrêter et de se demander dans quel but, nous mentons et prendre une autre voie, soit celle de l'authenticité.
Si on a donné posément une réponse sincère à une personne qui vit mal avec celle-ci et qu'on devient à notre tour tout à l'envers, ce serait précieux de se demander : "Qu'est-ce que ça touche en moi quand je déçois?" et de s'occuper de ce qui monte au lieu de triturer notre réponse ou se fondre en excuse d'avoir dit ce que l'on sentait vrai. Tous autant que nous sommes ne souhaitons pas vivre emmurer ni dans des souliers qui ne sont pas les nôtres alors acceptons de nous définir, ne tombons pas dans le piège du mensonge, car peu importe comment, il fera de nous, tôt ou tard, sa proie. Plus encore, il nous empêchera de découvrir nos vérités. C'est en acceptant de vivre en conformité avec celles-ci que l'on s'épanouit. Une personne qui avoue un mensonge fait un acte d'humilité et s'engage sur le chemin de l'authenticité, de la rencontre avec elle-même. Sans cette rencontre, comment peut-on découvrir notre personnalité et comme un sculpteur, la modeler afin de découvrir les richesses de notre petite histoire et en enlever les affres. Une autre question se pose: devons-nous confronter une personne qui nous ment? La confronter à mon sens, non. Lui dire cependant que nous n'adhérons pas à ce que l'on entend peut permettre à la personne une réflexion qui l'orientera vers plus de vérité. Rappelons-nous que: "Les avantages du mensonge sont d'un moment, et ceux de la vérité sont éternels. " Denis Diderot En lisant le billet d'hier, une réflexion permet à chacun de déduire que le mensonge n'a pas la même signification ni utilité pour ceux et celles qui le pratiquent. Le mensonge devient pour certains, comme admis, ignoré ou banalisé faisant partie de leur mode de communication.
Il y a aussi, ces mensonges que l'on dit de politesse ou pour ne pas décevoir. En arrière de ce genre d'excuses, il y a davantage une difficulté à assumer ce qui est notre vérité. On se ment beaucoup à soi-même pensant souvent que l'on est différent. Que nous on connait les bonnes manières, que par souci de l'autre on préfère ne pas heurter. En réalité, exprimer sa vérité dans notre société est mal vu et souvent confrontant pour celui qui la reçoit. Les gens n'osent pas se dire vraiment afin de ne pas être mal interprétés. Quand je dis non à quelqu'un qui veut un oui, souvent arrive plein de pourquoi. La personne se met à se justifier comme si elle était à la petite école. Chemin faisant, elle "ouvre des portes" et l'autre personne en profite pour tellement manipuler ce non que celui-ci deviendra très souvent, un oui. Pour abriller, le non devenu oui, la personne dira qu'en fin de compte ça lui fait ou ça lui aura fait très plaisir de faire ce pourquoi elle avait préalablement dit non. Un mensonge vient de naître par peur de reconnaître qu'on ne s'est pas assumé. Il aurait été plus simple, au lieu de se justifier quand l'autre tente de manipuler notre non, de simplement dire "J'ai bien entendu ta demande, je t'ai répondu avec intégrité et je suis désolé que tu sois déçu". Et le non permettrait à la personne de se prendre en considération au lieu de se mentir à elle-même et de vivre plus authentiquement. Un acte courageux pensez-vous? Ou très simple au contraire me direz-vous? Observez-vous et plusieurs découvriront qu'ils préfèrent se nier et n'osent pas se respecter dans bien des circonstances. Demain, suite sur le mensonge À quoi sert le mensonge? Certaines personnes ne réalisent pas sur le coup qu'elles mentent, dans le sens que le manque de transparence leur sert de paravent, de mode compensatoire, de fuite, de façon à se donner du pouvoir, etc. C'est devenu pour elles, un mode de fonctionnement. Pour l'humain, il est parfois difficile de se regarder franchement, car le reflet que l'on perçoit continue d'être nourri par la perception de soi que nous avons intégrée à partir de notre petite histoire. Celle-là même de notre enfance. Quel rang j'occupais dans la famille? Qu’elles étaient les attentes de mes parents à mon égard, les ai-je déçus ? Est-ce que l'on m'a comparé à répétition, nommé d'un sobriquet non valorisant? Était-ce pour mettre en évidence certaines de mes "lacunes" ou pour faire grand état d'un de mes talents? Comment moi, j'ai interprété les rôles que j'ai joués volontairement ou pas? Ai-je le syndrome de l'imposteur ou de la personne capable de tout prendre en charge? Est-ce que je me suis identifié à une forte personnalité et aujourd'hui je mens afin de conserver "cette suprématie"? Ou est-ce que je me perçois comme une personne en déficit et je mens afin de ne pas rencontrer la douleur de "ne pas être assez" ayant régulièrement le sentiment de ne pas être à la hauteur? Le mensonge a une "commodité" avouée ou non, qui a la longue devient plutôt un enfermement. Pour se guérir, se libérer, il est important d'identifier d'abord à quoi le mensonge me sert. Demain, suite sur le mensonge Par la suite, je vous suggère de faire un rituel, imaginant que sont présents, présentes toutes les parties de vous de tous les âges puisque pardonner est un acte d'amour et d'unification.
Vous visualisez votre coeur plein d'amour, ouvert à vous recevoir tendrement dans cette démarche. Vous avez préalablement symbolisé tout ce que vous portez de nuisible relativement à cet événement et choisissez une façon qui fait sens pour vous, de vous en départir puisque vous avez choisi de vous libérer, de vous pardonner. Par la suite si des pensées reviennent tentant de vous hanter à nouveau, vous aurez en mémoire ce geste de libération de tout ce qui vous tenaillait et pourrez orienter votre pensée vers la tendresse de votre coeur lequel vous a accueilli dans cette démarche au lieu de focaliser sur cet événement. Les pensées de honte, de culpabilité et autres n'auront plus de prises sur vous. Dans la vie quand on se défait de certains articles, on ne peut plus le regarder, y toucher, on les a laissées aller c'est pareil dans le mental, l'émotionnel donc soyons conséquents. Accompagnez le rituel par une affirmation telle que: Je me pardonne ce geste malheureux et je m'en libère totalement (en vous départissant des objets symboliques choisis en ce sens). Je poursuis ma route en étant disponible à la vie, en étant ouvert, bienveillant et prévenant. Je fais le choix de me pardonner, car si je reste enchaîné à la honte, à la culpabilité ou autres, je serais tourné vers ces sentiments qui me grugeront et ne pourrai répandre les fruits de la tendresse, la bonté et la générosité de coeur qui m'habite. Moi, je veux honorer ce souffle de vie qui m'habite alors je me relève. Je rends grâce à la Vie de m'accompagner dans ma démarche qui est sincère, au travers laquelle je m'engage à développer toujours plus de conscience afin de mieux servir la Vie, de m'aimer et d'aimer et respecter mes semblables. Voyez maintenant votre coeur, vous entourez d'une lumière douce, apaisante, remplie d'amour. Entendez-le prononcer votre prénom, vous accueillant avec respect, sincérité, vous disant qu'il vous pardonne. Laissez-vous porter par ses paroles consolatrices et salvatrices. Sentez à nouveau le flot de la Vie qui vous habite. Goûtez bon cette énergie naissante et pleine de promesses. Rendez grâce de tout ce potentiel, de cette clémence qui maintenant occupe, répare cette espace intérieure vous libérant totalement. Vous redonnant vos "lettres de noblesse". Par la suite, prenez soin d'une petite plante dont vous aurez fait l'acquisition et en la voyant s'épanouir vous pourrez faire une association avec la beauté qui est à émerger en vous suite à votre démarche. La Vie est beauté, renouveau et elle se vit au présent. Elle est imprégnée d'un amour inconditionnel. C'est notre égo qui fait tout en son pouvoir pour nous priver de cet amour nous faisant croire que le pardon ne nous est pas accessible. Faisons échec à l'égo, nous le pouvons. Rappelons-nous que c'est dans notre coeur qu'il faut d'abord construire la paix. Mardi, le mensonge Dans la poursuite de ce processus puisque se pardonner se fait bien par étapes, chacun a son rythme et c'est important de respecter le vôtre.
Pour se pacifier avec la honte, il est important de la rencontrer, la laisser émerger, l'accueillir, l'entendre. Plus c'est fort, plus c'est en lien avec quelque chose qui nous a profondément marqués et qui est antérieur avec l'événement en cours. Ces événements font partie de notre parcours. Ils sont parfois plus simples qu'on pense et sont restés logés au fond de soi avec une intense charge émotive. Un exemple de honte nocive: quand j'étais en 6e année, la religieuse qui m'enseignait Soeur Louis-Marie Joseph était une personne à qui je vouais beaucoup d'admiration. Elle aussi m'aimait bien. J'ai toujours été une élève douée et serviable. Puis un jour, elle m'a accusée d'avoir menti devant toute la classe ce qui était faux d'ailleurs. Peu importe, le mal était fait, je suis restée profondément marquée de cet événement, jusqu'à ce qu'un jour j'en reprenne prendre conscience. Vous pouvez vous imaginer comment cet incident a été traumatisant et honteux. Quelques autres situations ont eu une intensité très forte de honte. Donc, j'ai facilement en mémoire des états d'âme très puissants qui se sont remanifestés quand j'ai eu à me pardonner pour certaines choses que j'ai faites dans ma vie d'adulte. Venant d'une famille dysfonctionnelle, mon parcours a été cahoteux. Beaucoup d'entre nous ont dans leur histoire, des moments qui nous ont fortement sollicités émotivement. Il nous faut donc retourner à la rencontre de soi, au moment de ou des événements et les recadrer afin de nous libérer de l'émotion vécue telle la honte. Par la suite, nous allons pouvoir nous affranchir de celle-ci qui amplifie ce sentiment d'être une personne "sans valeur" quand on veut se pardonner de l'événement de maintenant. Il nous faut vaincre la peur de rencontrer les parties de nous qui ont été "laissées en plan" suite à aux situations pénibles par manque de connaissance, à ce moment-là. "La plupart d'entre nous considèrent la douleur comme une menace pour notre bien-être. Or, si nous la laissons nous préoccuper, elle ne fait que s'intensifier. En revanche, si nous la prenons comme objet de méditation, de réflexion, elle devient un moyen d'accroître la clarté de notre esprit." Yongey Mingyour Rinpoché. Demain, la suite et fin de se pardonner. Il est essentiel d'admettre notre pleine implication. Si je ne l'accepte pas, je ne peux accéder au pardon et aussi, je me conforterai dans des idées fausses qui pourraient tout à fait m'amener à répéter quelque chose de semblable.
On a souvent tendance à mettre la faute sur un quelque chose qui aurait été consommé (drogue, boisson, lave-glace), atténuer les circonstances disant que l'on a été provoqué, etc. Il faut tout à fait admettre que c'est soi qui a pris des substances (à moins que ça été fait à notre insu, mais là on ne parle pas de la même chose) et/ou soi qui a perdu la maîtrise. C'est donc soi qui est pleinement impliqué dans ce qui a été fait. Ce faisant, nous reconnaissons aussi notre pauvreté intérieure, cette absence de conscience qui est manifestée quand on agit dans le non-respect de l'autre, des autres. Dans ce processus, l'entourage joue un rôle important dans le sens que de juger la personne impliquée ou lui trouver toutes sortes d'excuses sont à mon sens, l'emmurer dans l'événement douloureux. Personne n'a à juger qui que ce soit, personne n'est à l'abri d'un geste malheureux et être complaisant démontre notre absence d'intégrité. L'aveuglement ne permet pas de cheminement pour la personne ayant mal agi ni ne démontre de compassion pour la ou les personnes touchées par l'acte. Demain, la suite de se pardonner. Se pardonner est d'abord un acte d'humilité. Ça équivaut à ne pas simplement savoir ou clamer que, l'humain est un être parfaitement imparfait et le demeurera, mais prêter vie à la véracité de cette affirmation.
Certains autres postulats font partie du processus: -Reconnaître que notre intention consciente n'était ni de blesser ni de faire mal; -Convenir de notre pleine implication dans ce qui a été fait; -Avoir l'intention ferme de ne pas répéter l'acte; -Se pacifier avec la honte générée par cette action; -Dégager les apprentissages de l'expérience douloureuse. Qu'est-ce qui nous a conduits à faire ce qui a été fait? Comment aurions-nous pu faire différemment? -Avouer sincèrement nos regrets (si la personne n'est plus de ce monde, le faire au travers un rituel); -Réparer autant que c'est possible de le faire; -Demander l'aide de l'Être suprême auquel on croit et laisser Son amour inconditionnel, nous envelopper et ce, pour ceux et celles qui sont croyants. Il est évident que l'égo ne nous laissera pas facilement nous mettre en paix avec ce qui a été. Il nous fera plein de scénarios dans lesquels il nous montre comme étant un être minable. Il y aura un travail de constance à mettre en place afin de ne pas le laisser nous envahir. Nous aurons particulièrement au début, à refuser de porter attention aux scénarios qui sont destructeurs et nous ramener à de bons gestes que nous avons posés au fil de notre parcours de vie afin de porter notre attention sur la bonté de notre coeur. Ainsi, ce sera plus facile de mettre l'égo en échec. Dans les prochains billets, je vous donnerai des pistes afin de voir comment faire pour certains éléments de ces postulats. Il n'y a jamais une façon de faire les choses, par ailleurs ce que je vous propose a fait ses preuves. Cependant, si vous ne pouvez vous identifier à ce processus, poursuivez vos recherches, car se pardonner est essentiel à une vie qui se vit au présent. Demain, la suite de se pardonner. Votre fille vous dit que vous avez été une mère absente et quand elle aura des enfants, elle ne fera pas la même erreur.
Première réaction: peine et colère, vous qui aviez le sentiment d'avoir fait votre possible entre votre rôle de mère, le travail à l'extérieur, etc. Cédez au ressenti qui vous darde au coeur serait un mauvais pas, car vous risqueriez de dire des paroles dépassant votre pensée et creuseriez davantage le fossé entre votre fille et vous. Filez cheap et tout faire pour vous "racheter" serait aussi une mauvaise attitude puisque votre fille, n'est pas ouverte à vous recevoir et que vous avez fait votre possible. Elle s'est fait une idée sur laquelle vous n'avez aucun pouvoir et celle-ci pour le moment est cristallisée. Mais ces accusations ont réveillé quoi en vous? Le sentiment de ne pas avoir été à la hauteur, un sentiment d'échec.. . Ressenti que vous connaissez si bien puisque plus jeune, quoique vous fassiez vous n'arriviez pas à être appréciée par vos parents ni les personnes significatives qui ont fait partie de votre parcours. Prenez par exemple, une poupée lui donnant votre prénom. Vous la(cette partie blessée en vous) laissez vous dire comment son parcours a été difficile (vous la comprenez tellement). Que, peu importe ce qu'elle a fait, ce n'était pas le bon rythme, ni le bon temps, ni la bonne affaire, etc. Que vous vous êtes si souvent sentie lamentable. Par la suite, vous la (la poupée portant votre prénom, cette partie blessée) remerciez de vous faire assez confiance pour se confier à vous (l'adulte que vous êtes devenue). Vous lui dites que vous l'avez regardé aller et vous avez pu constater comment elle a fait de son mieux et que vous, vous l'accueillez telle qu'elle est. Que vous, quand vous pensez à elle, vous savez sa grandeur d'âme, connaissez sa générosité de coeur, et qu'un flot de tendresse vous envahit, etc. Par la suite, vous lui dites comment vous êtes fière d'elle. Que vous l'aimez avec tout ce qu'elle est. Vous vous imaginez réintégrer cette partie de vous qui est sur la voie du mieux-être. Graduellement, vous allez vous sentir mieux. La prochaine fois que votre fille vous fera un commentaire défavorable, il vous sera plus facile de lui dire que vous êtes désolée de ne pas avoir été la mère qu'elle aurait souhaitée. Vous pouvez lui dire que vous regrettez sincèrement qu'elle ait éprouvé des manques. Lui dire que vous ne pouvez refaire le passé, mais que si elle voulait, vous pourriez réapprendre à vous apprivoisez dans l'aujourd'hui et le maintenant. Si elle est ouverte, la relation peut se reconstruire graduellement. Sinon, dites-lui que la porte de votre coeur lui sera toujours ouverte et attendez patiemment le temps que ça prendra. Lundi: Se pardonner Il existe une loi psychologique: si l'on refuse de reconnaître les blessures de son enfance pour les assumer, on est condamné soit à blesser autrui, soit à se blesser soi-même, et le cas échéant à revivre des situations où se répètent les blessures de son enfance.
Ce qui se refoule en moi se réfugie dans l'ombre et aura des conséquences négatives sur moi et mes comportements, c'est incontournable. De là, l'importance de ne pas s'arrêter à l'événement extérieur qui a provoqué notre réaction. Aussitôt, que les choses se passent et que nous nous sentons déstabilisés, il serait opportun de se demander: Qu'est-ce qui est touché en moi quand...ou qu'est-ce que ce comportement de l'autre réveille en moi... comment ses propos me font me sentir, etc.? Une fois identifié, c'est à notre partie adulte d'accueillir ce qui vient d'être perçu. D'accompagner cette blessure, la rassurer, la réconforter et réorienter notre perception. Pour ce faire, il est parfois utile d'asseoir cette partie blessée sur une chaise en face de soi ou la personnifier au travers un toutou, une poupée ou simplement la mettre dans notre main face à nous et la faire verbaliser et ce, sans raisonner la situation. Autant que dans la vie, si quelqu'un vient de se blesser physiquement et qu'il a une plaie ouverte, vite vous allez nettoyer, désinfecter, soigner la blessure. J'espère que vous vous y emploierez au lieu de vous mettre à questionner les circonstances. Il en est de même pour les parties blessées non visibles à l'oeil que l'on porte. Le processus de guérison d'abord après si on en ressent l'utilité, on peut se questionner sur les circonstances. Demain: Un exemple du processus pour aller vers la guérison |
AuteureDiane Beauregard L'art de vivre ici
et maintenant Editions Messagers des étoiles Chacun a la liberté de vivre joyeusement et pleinement sa vie ou de la subir. C’est un choix intime et personnel, qui est souvent inconsciemment adopté en fonction de nos conditionnements... L’invitation vous est faite de vous laisser inspirer et de créer un monde meilleur en le devenant vous-même, ici et maintenant. Le petit livre des grands pourquoi
Les Éditions « Messagers des étoiles » C’est une réflexion donnant des réponses à ces grandes questions existentielles allant de : Pourquoi la vie à Pourquoi la mort En passant par Pourquoi moi, Pourquoi la souffrance, Pourquoi pardonner, Pourquoi lâcher prise, Pourquoi développer des relations et Pourquoi croire au hasard Vivons, sans crainte,
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Février 2016
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