-Quand un surmenage s'installe engendrant des états dépressifs.
-Quand l'irritation nous gagne.
-Quand tout nous apparaît lourd.
-Quand nous avons des comportements impulsifs, que l'on ne se reconnaît plus, etc.
Dans certaines circonstances, la prise de médicament est appropriée. Cependant, si elle n'est pas accompagnée par une bonne introspection et d'un désir sincère d'identifier et redresser ce qui ne va pas dans notre vie, c'est comme de refuser à nos risques et périls, de tenir compte de la grande sagesse de notre merveilleux corps.
Il est notre allié non pas notre ennemi. Il ne nous met pas par plaisir -des bâtons dans les roues- comme le dit l'expression. Il tente d'attirer notre attention sur un déséquilibre qui s'est installé.
Notre corps est loyal, on peut compter sur lui. Alors, pourquoi ne pas le considérer comme un précieux partenaire?
Avant que notre situation se dégrade, identifions et entreprenons les changements afin d'avancer dans une attitude respectueuse et à un meilleur rythme. Nous avons besoin de récupération, de se faire plaisir, de se ressourcer... faisons ce qui est nécessaire.
Ne pas être à l'écoute de nos besoins, c'est d'agir contre nature.
Mardi: Les deux cailloux