La vie va vite et le temps consacré à l’introspection est très limité. Chacun s’affaire à ceci ou cela, c’est ce que l’on appelle être sur le « pilote automatique ».
Soudain arrive cette mauvaise nouvelle laquelle nous déstabilise. À partir de ce moment, nos repères deviennent quasi inexistants. Nous sommes ramenés à nos choix, les intentions de ceux-ci, les résultats observables qui ne sont pas toujours ceux souhaités et le sentiment de vide et d’impuissance.
C’est là que nous sommes appelés à percevoir les éléments vivificateurs liés à cet événement, les assimiler afin de nous libérer de nos illusions pour mieux redéfinir nos valeurs et ce qui nous permettra quotidiennement de les manifester. Ce sont des périodes charnières, nous permettant d’apporter des rectifications à notre mode de vie, le cas échéant.
La vie est comme une pâte à modeler dans la main d’un artiste. Elle demande à être façonnée encore et encore.