À priori, ça peut paraître plus simple de ne rien définir, de voguer sur la vie au gré du courant. Ce faisant dans les moments creux, la morosité s'empare facilement de nous. Il ne faut pas se le cacher, il y en a des périodes difficiles.
Donc, avoir un idéal c'est comme avoir une boussole. Notre trajectoire est définie. Si pour toutes sortes de raisons, on se retrouve à contre-courant on se réajuste tout en gardant bien vivant en nous, ce qui nous motive et nous permet de servir la vie, de meilleure façon.
Notre idéal fait sens pour nous. Il nous donne de l'énergie, de l'élan. Nous aide à faire appel à notre souffle créateur, à nous dépasser. Il garde notre feu sacré bien en vie et eurêka, arrivera un temps où tout se mettra en place parce que l'on y a toujours cru et avons été en mouvement.
James Allen cet écrivain et philosophe britannique décédé en 1912 a écrit: "Les circonstances vous sembleront peut-être hostiles, mais elles ne le resteront pas longtemps si vous avez un idéal et vous luttez pour l'atteindre. Vous ne pouvez pas évoluer intérieurement et rester stationnaire extérieurement."
Comme quoi, les paroles de sagesse restent toujours aussi pertinentes.
Je vous propose cette autre réflexion de Fletcher Peacock: "Arrosez les fleurs, par les mauvaises herbes. Parlez de ce que vous voulez, pas de ce que vous ne voulez pas. Énergisez les solutions plutôt que de corriger ou attaquer les problèmes. Hypnose positive plutôt qu'hypnose négative.
Lundi: Le bâton de pouvoir et l'Alzheimer